Le vent est à son apogée
Une petite diablesse, qui se sent tirer par son demi- mot.
Vers les buissons, vers sa délivrance, de tous ses maux.
Un son, une chanson, qui sais-je, peut- être le vent ?
L’invite à un tel point, qu’elle se voit obligée à courir le plus vite,
Vers ces buissons, la hache en main.
Elle entend la voix, elle s’approche enfin.
De sa proie qu’elle croit être, sa proie !
Elle ne sait pas la malheureuse,
Et pourtant, je l’ai rappelé maintes fois,
Ne vous approchez pas, je vous en prie, n’approchez pas.
Dommage, je n’y peux, c’est la nature qui veut çà.
J’aime les fleurs, et c’est malgré moi .
Où es-tu, montre-toi.
Petit, petit, petit.
Ne te cache pas,
J’aime beaucoup ta mélodie,
J’aime ta voix.
Viens-là, que je puisse t’entendre mieux,
Plus claire est ta voix.
Je suis là.
Tout près de toi.
Approche plus, plus encor
Je te sens mais je ne te vois pas
Pas encor
Et pourtant, je suis très près de toi.
Mes mains sont à ta portée.
Ou c’est toi qui l’es,
Qui sait ?.
Où ,où, où
Où es-tu ?.
Touche-moi , si tu dis vrai.
Tiens voilà ma main,
Pose-la sur ta joue,
Voila mon autre main,
Pose-la sur l’autre joue.
C’est froid, non c’est chaud.
Celle-ci est, l’autre je ne sais !
Hum, où suis-je, et ce bonheur d’où serait-ce ?.
Réveille-toi, diablesse.
Ma hache, où est ma hache ?.
Donne-moi ma hache, salaud.
Là voici, n’aie pas peur,
Je ne vais pas te la voler .
Eh , tiens, tiens.
Je te déteste,
Ha , ha, ha…
Tiens, tiens
Où es-tu viens-là, viens.
Que je te découpe en petits morceaux,
Je te déteste , je vais te découper en lambeaux.
Je suis là
Eh, tiens, tieeeeeens
Aaaah, je n’aariiive pas à t’avoireeeuh.
Je ne puis te voir.
Je te déteste, je te détéééééste.
Ha, ha, ha
Bien sûr, que tu ne peux.
Je suis là
Où ?.
Derrière toi.
Où, où ça ?.
Je suis là, à ta gauche, à ta droite, en haut,
Mais pas en bas !.
Je suis là.
Où ça, où ça ?.
Dedans en haut de ton esprit.
Au fond de ton cœur, tout au fond.
Tiens, tieeeen.
Je te déteste, mais pas du fond.
Ca c’est vrai.
Tu as peur d’y puiser de ton fond !
Tu as peur que je ne rejaillisse de, comme un démon.
Où es-tu salaud, montre - toi ?.
Enfin petite, je suis là, devant toi.
Tu me vois maintenant, tu me vois ?.
Oh que oui, maintenant je te vois,
Et de quel manièèèèère !.
Prends ta hache des deux mains petite,
Et frappe de toutes tes forces.
Comme tu l’a très bien dit,
Je vais te couper en deux lanières.
Ehhhh, tieens, ….CHLAKH
Le sang a giclé d’une telle force
Qu’il a englouti les deux rives du cœur.
Celle de l’amour et celle de la haine.
Mes graines vont pousser,
Elles vont pousser mes graines,
Dans ton cœur petite, n’as-tu pas la migraine ?.
La hache tombe, de ses mains, tient sa tête.
Ma tête, j’ai mal à la tête.
A l’aide, aidez-moi, à l’aide.
Une migraine, c’est une migraine.
Sauvez-moi, S ,V,P , personne ne pourrait,
Sauf toi, dans cette plaine.
Migraine , ma tête, une douleur atroce , cette migraine
Aidez -moi svp
Est-ce que tu m’entends ?
Parle du fond de ton cœur , tout au fond
Tu sais que je suis d’abord là-bas, là-dedans
Je t’en supplie aide-moi , je t’en supplie
Plus fort, je n’ai pas entendu, je n’ai pas compris
Je t’en suppliiiiiiiiie hum hum hum
Des rivières de pluie qui coulent sur ces joues
D’où viens toute cette eau
Elle coule sans cesse , elle coule à flot
Ça ne peut être que de mon Mont
Tout en haut , revêtu de blanc
Et puisque nous sommes au printemps
La neige commence à fondre
Ce mois jusqu’à septembre
C’est cela , c’est bien de mon Mont
Qu’elle puise toute cette eau , cette enfant
Aide moiiiiiiii
S’il te plaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit
Tu vois du vous à toi de toi à moi et de moi à toi
Du courtois aux désobligeants, au cœur blessé , à celui de moi et c’est
Tiens prends , prends ma main
Mais là sur ta joue gauche
Chaleur et fraîcheur à la fois
Te sauveront de tes débauches
Je suis un Ange , petite ,
Pour toi et pour vous toutes
Je ne vous ferai pas de mal
Par amour pour les fleurs
Que vous ayez compris ou pas
Que vous ayez senti ou pas
Je ne suis là que pour égayer vos cœurs
Pour vous donner une touche de bonheur
Ni plus ni moins
sin et sain
orifardi
Une petite diablesse, qui se sent tirer par son demi- mot.
Vers les buissons, vers sa délivrance, de tous ses maux.
Un son, une chanson, qui sais-je, peut- être le vent ?
L’invite à un tel point, qu’elle se voit obligée à courir le plus vite,
Vers ces buissons, la hache en main.
Elle entend la voix, elle s’approche enfin.
De sa proie qu’elle croit être, sa proie !
Elle ne sait pas la malheureuse,
Et pourtant, je l’ai rappelé maintes fois,
Ne vous approchez pas, je vous en prie, n’approchez pas.
Dommage, je n’y peux, c’est la nature qui veut çà.
J’aime les fleurs, et c’est malgré moi .
Où es-tu, montre-toi.
Petit, petit, petit.
Ne te cache pas,
J’aime beaucoup ta mélodie,
J’aime ta voix.
Viens-là, que je puisse t’entendre mieux,
Plus claire est ta voix.
Je suis là.
Tout près de toi.
Approche plus, plus encor
Je te sens mais je ne te vois pas
Pas encor
Et pourtant, je suis très près de toi.
Mes mains sont à ta portée.
Ou c’est toi qui l’es,
Qui sait ?.
Où ,où, où
Où es-tu ?.
Touche-moi , si tu dis vrai.
Tiens voilà ma main,
Pose-la sur ta joue,
Voila mon autre main,
Pose-la sur l’autre joue.
C’est froid, non c’est chaud.
Celle-ci est, l’autre je ne sais !
Hum, où suis-je, et ce bonheur d’où serait-ce ?.
Réveille-toi, diablesse.
Ma hache, où est ma hache ?.
Donne-moi ma hache, salaud.
Là voici, n’aie pas peur,
Je ne vais pas te la voler .
Eh , tiens, tiens.
Je te déteste,
Ha , ha, ha…
Tiens, tiens
Où es-tu viens-là, viens.
Que je te découpe en petits morceaux,
Je te déteste , je vais te découper en lambeaux.
Je suis là
Eh, tiens, tieeeeeens
Aaaah, je n’aariiive pas à t’avoireeeuh.
Je ne puis te voir.
Je te déteste, je te détéééééste.
Ha, ha, ha
Bien sûr, que tu ne peux.
Je suis là
Où ?.
Derrière toi.
Où, où ça ?.
Je suis là, à ta gauche, à ta droite, en haut,
Mais pas en bas !.
Je suis là.
Où ça, où ça ?.
Dedans en haut de ton esprit.
Au fond de ton cœur, tout au fond.
Tiens, tieeeen.
Je te déteste, mais pas du fond.
Ca c’est vrai.
Tu as peur d’y puiser de ton fond !
Tu as peur que je ne rejaillisse de, comme un démon.
Où es-tu salaud, montre - toi ?.
Enfin petite, je suis là, devant toi.
Tu me vois maintenant, tu me vois ?.
Oh que oui, maintenant je te vois,
Et de quel manièèèèère !.
Prends ta hache des deux mains petite,
Et frappe de toutes tes forces.
Comme tu l’a très bien dit,
Je vais te couper en deux lanières.
Ehhhh, tieens, ….CHLAKH
Le sang a giclé d’une telle force
Qu’il a englouti les deux rives du cœur.
Celle de l’amour et celle de la haine.
Mes graines vont pousser,
Elles vont pousser mes graines,
Dans ton cœur petite, n’as-tu pas la migraine ?.
La hache tombe, de ses mains, tient sa tête.
Ma tête, j’ai mal à la tête.
A l’aide, aidez-moi, à l’aide.
Une migraine, c’est une migraine.
Sauvez-moi, S ,V,P , personne ne pourrait,
Sauf toi, dans cette plaine.
Migraine , ma tête, une douleur atroce , cette migraine
Aidez -moi svp
Est-ce que tu m’entends ?
Parle du fond de ton cœur , tout au fond
Tu sais que je suis d’abord là-bas, là-dedans
Je t’en supplie aide-moi , je t’en supplie
Plus fort, je n’ai pas entendu, je n’ai pas compris
Je t’en suppliiiiiiiiie hum hum hum
Des rivières de pluie qui coulent sur ces joues
D’où viens toute cette eau
Elle coule sans cesse , elle coule à flot
Ça ne peut être que de mon Mont
Tout en haut , revêtu de blanc
Et puisque nous sommes au printemps
La neige commence à fondre
Ce mois jusqu’à septembre
C’est cela , c’est bien de mon Mont
Qu’elle puise toute cette eau , cette enfant
Aide moiiiiiiii
S’il te plaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit
Tu vois du vous à toi de toi à moi et de moi à toi
Du courtois aux désobligeants, au cœur blessé , à celui de moi et c’est
Tiens prends , prends ma main
Mais là sur ta joue gauche
Chaleur et fraîcheur à la fois
Te sauveront de tes débauches
Je suis un Ange , petite ,
Pour toi et pour vous toutes
Je ne vous ferai pas de mal
Par amour pour les fleurs
Que vous ayez compris ou pas
Que vous ayez senti ou pas
Je ne suis là que pour égayer vos cœurs
Pour vous donner une touche de bonheur
Ni plus ni moins
sin et sain
orifardi
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