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La chanson suite et fin

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  • La chanson suite et fin

    Le vent est à son apogée
    Une petite diablesse, qui se sent tirer par son demi- mot.
    Vers les buissons, vers sa délivrance, de tous ses maux.
    Un son, une chanson, qui sais-je, peut- être le vent ?
    L’invite à un tel point, qu’elle se voit obligée à courir le plus vite,
    Vers ces buissons, la hache en main.
    Elle entend la voix, elle s’approche enfin.
    De sa proie qu’elle croit être, sa proie !
    Elle ne sait pas la malheureuse,
    Et pourtant, je l’ai rappelé maintes fois,
    Ne vous approchez pas, je vous en prie, n’approchez pas.
    Dommage, je n’y peux, c’est la nature qui veut çà.
    J’aime les fleurs, et c’est malgré moi .

    Où es-tu, montre-toi.
    Petit, petit, petit.
    Ne te cache pas,
    J’aime beaucoup ta mélodie,
    J’aime ta voix.
    Viens-là, que je puisse t’entendre mieux,
    Plus claire est ta voix.

    Je suis là.
    Tout près de toi.

    Approche plus, plus encor
    Je te sens mais je ne te vois pas
    Pas encor

    Et pourtant, je suis très près de toi.
    Mes mains sont à ta portée.
    Ou c’est toi qui l’es,
    Qui sait ?.

    Où ,où, où
    Où es-tu ?.
    Touche-moi , si tu dis vrai.

    Tiens voilà ma main,
    Pose-la sur ta joue,
    Voila mon autre main,
    Pose-la sur l’autre joue.
    C’est froid, non c’est chaud.
    Celle-ci est, l’autre je ne sais !
    Hum, où suis-je, et ce bonheur d’où serait-ce ?.

    Réveille-toi, diablesse.

    Ma hache, où est ma hache ?.
    Donne-moi ma hache, salaud.

    Là voici, n’aie pas peur,
    Je ne vais pas te la voler .

    Eh , tiens, tiens.
    Je te déteste,

    Ha , ha, ha…

    Tiens, tiens
    Où es-tu viens-là, viens.
    Que je te découpe en petits morceaux,
    Je te déteste , je vais te découper en lambeaux.

    Je suis là

    Eh, tiens, tieeeeeens
    Aaaah, je n’aariiive pas à t’avoireeeuh.
    Je ne puis te voir.
    Je te déteste, je te détéééééste.

    Ha, ha, ha
    Bien sûr, que tu ne peux.
    Je suis là

    Où ?.

    Derrière toi.

    Où, où ça ?.

    Je suis là, à ta gauche, à ta droite, en haut,
    Mais pas en bas !.
    Je suis là.

    Où ça, où ça ?.

    Dedans en haut de ton esprit.
    Au fond de ton cœur, tout au fond.

    Tiens, tieeeen.
    Je te déteste, mais pas du fond.
    Ca c’est vrai.

    Tu as peur d’y puiser de ton fond !
    Tu as peur que je ne rejaillisse de, comme un démon.

    Où es-tu salaud, montre - toi ?.

    Enfin petite, je suis là, devant toi.
    Tu me vois maintenant, tu me vois ?.

    Oh que oui, maintenant je te vois,
    Et de quel manièèèèère !.

    Prends ta hache des deux mains petite,
    Et frappe de toutes tes forces.

    Comme tu l’a très bien dit,
    Je vais te couper en deux lanières.
    Ehhhh, tieens, ….CHLAKH

    Le sang a giclé d’une telle force
    Qu’il a englouti les deux rives du cœur.
    Celle de l’amour et celle de la haine.
    Mes graines vont pousser,
    Elles vont pousser mes graines,
    Dans ton cœur petite, n’as-tu pas la migraine ?.

    La hache tombe, de ses mains, tient sa tête.
    Ma tête, j’ai mal à la tête.
    A l’aide, aidez-moi, à l’aide.
    Une migraine, c’est une migraine.
    Sauvez-moi, S ,V,P , personne ne pourrait,
    Sauf toi, dans cette plaine.
    Migraine , ma tête, une douleur atroce , cette migraine
    Aidez -moi svp
    Est-ce que tu m’entends ?

    Parle du fond de ton cœur , tout au fond
    Tu sais que je suis d’abord là-bas, là-dedans

    Je t’en supplie aide-moi , je t’en supplie

    Plus fort, je n’ai pas entendu, je n’ai pas compris

    Je t’en suppliiiiiiiiie hum hum hum
    Des rivières de pluie qui coulent sur ces joues
    D’où viens toute cette eau
    Elle coule sans cesse , elle coule à flot
    Ça ne peut être que de mon Mont
    Tout en haut , revêtu de blanc
    Et puisque nous sommes au printemps
    La neige commence à fondre
    Ce mois jusqu’à septembre
    C’est cela , c’est bien de mon Mont
    Qu’elle puise toute cette eau , cette enfant

    Aide moiiiiiiii
    S’il te plaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit
    Tu vois du vous à toi de toi à moi et de moi à toi
    Du courtois aux désobligeants, au cœur blessé , à celui de moi et c’est
    Tiens prends , prends ma main
    Mais là sur ta joue gauche
    Chaleur et fraîcheur à la fois
    Te sauveront de tes débauches
    Je suis un Ange , petite ,
    Pour toi et pour vous toutes
    Je ne vous ferai pas de mal
    Par amour pour les fleurs
    Que vous ayez compris ou pas
    Que vous ayez senti ou pas
    Je ne suis là que pour égayer vos cœurs
    Pour vous donner une touche de bonheur
    Ni plus ni moins
    sin et sain
    orifardi

  • #2
    c etait le chant de la mort
    osez affronter une diablesse
    par les vibrations d un son
    qu elle ne voulait entendre
    qu elle ne pouvait comprendre
    peu importe l auteur
    peu importe l empleur
    cruelle est elle quand on s approche de trop pres
    de ceux qu'elle a prit sous son aile
    alors on se plie
    on accepte
    d etre reclues
    mieux cela qu un monde ou le faux s abat
    du sang des demons
    rien de bien bon
    mais une finalité a l histoire
    que seul ceux qui connaissent
    l histoire du donjon
    et de son dragon
    ont saisi la fin d un conte
    ou la mandol les ames
    et les princesses
    n ont pas droit de sejour...

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    • #3
      Bon soir : MAYSARAH,
      Je te remercie deux fois plutôt qu’une.
      Maysarah, un si beau pseudo idem.
      Maysarah, celle qui se place à gauche, près du cœur, ou même.
      A droite, gauche ou droite, où est le problème ?.
      L’essentiel est que ça me va droit au cœur,
      Ce que t’as écrit comme poèmes.

      J’étais en train de peaufiner un poème, que j’ai écrit
      Il y a de cela quelques jours.
      L’opportunité n’était pas au rendez-vous.
      Bien des hauts et des bas depuis.
      C’est pas grave, il est toujours temps.
      D’actualité il reste, toujours un bon sujet.
      Je l’ai intitulé :
      « COMME UN MONDE PARFAIT »
      Pour ceux qui aiment les films.
      Pour ceux qui ont place aux rêves dans leurs cœurs.
      Pour toutes les fleurs sur FA sans exceptions aucunes.
      Toi MAY, avec tous mes respects en premier.
      Je dédie mon poème.
      Sur fond d’une chanson de CELINE DION ;
      Celle du TITANIC en particulier.
      Que j’affectionne le plus et pour cause…

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