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L’Algérie, première puissance énergétique en Méditerranée

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  • L’Algérie, première puissance énergétique en Méditerranée

    LE Guide investir de KPMG le souligne


    Elle est classée cinquième producteur de gaz dans le monde.

    Dans le chapitre consacré au secteur de l’énergie, le Guide Investir 2007, élaboré par le cabinet KPMG, classe l’Algérie à la 15e place en matière de réserves pétrolières au sein du paysage énergétique mondial. Notre pays occupe également le 18e rang du point de vue de la production et le 12e dans les exportations. Ses capacités de raffinage ont été estimées à 22 millions de tonnes/an en 2005. Pour le gaz naturel, les ressources prouvées hissent l’Algérie à la 7e place dans le monde, à la 5e en production et à la 3e en exportation après la Russie et le Canada. De par toutes ces statistiques, l’Algérie apparaît comme un “véritable géant énergétique”. Étant le premier producteur et exportateur de pétrole et de gaz, notre pays est qualifié par les experts de KPMG de “première puissance énergétique en Méditerranée”. Forte des 50% de réserves de gaz naturel, de 48% de la production totale et d’un taux d’exportations de 94%, l’Algérie n’a pas de rival dans le bassin méditerranéen. C’est le troisième fournisseur de l’UE en gaz naturel et le 4e dans le domaine de l’énergie d’une manière générale. L’Algérie est, selon le guide, un pays riche en hydrocarbures. Son domaine minier évalué à plus de 1,5 millions de km2 est encore largement sous-exploité. Ses réserves prouvées en hydrocarbures sont de l’ordre de 45 milliards de tonnes en équivalent pétrole. L’autre chapitre jugé important a trait au secteur privé. Les auteurs du guide souligneront que l’essor qu’a connu ce secteur durant les deux dernières décennies révèle le changement d’orientation et de structure subies par l’économie nationale.

    Le secteur privé : 75% du PIB hors hydrocarbures

    “L’entreprise privée intervient pour 75% dans le produit intérieur brut (PIB) hors hydrocarbures et représente 55% de la valeur ajoutée”, souligne-t-on. Malgré les lourdeurs administrative et bancaire, des PME/PMI continuent à se créer. Sur un autre registre, depuis l’adoption de la loi n°86-12 relative au régime des banques et du crédit et la promulgation de la loi sur la monnaie et le crédit en 1990, le système bancaire algérien, relève-t-on dans le document, commence à retrouver ses marques. Cette loi consacre le caractère universel du système bancaire et financier algérien en permettant l’ouverture de cet espace aux banques et institutions financières nationales et étrangères. “La part des établissements privés et étrangers évaluée à plus de 10% va en s’accroissant”, lit-on dans le guide.

    Le système autorise ainsi les banques et établissements financiers étrangers à s’installer ou à se faire représenter en Algérie. Les rédacteurs de ce document mettent aussi l’accent sur le sérieux effort de modernisation consenti par les pouvoirs publics. Le processus de réformes en cours vise à élever, affirme-t-on, le niveau de bancarisation encore très faible de l’économie nationale et à rendre plus fluides les opérations interbancaires en améliorant les réseaux de communication sécurisés et en introduisant toute la panoplie des moyens de paiement modernes. Le guide parle, à ce propos, de recapitalisation des banques publiques et l’assainissement de leurs portefeuilles d’engagement. Il propose aussi le lancement de chantiers interbancaires ayant trait aux nouvelles gammes de produits, cartes de paiement internationales, réseau de transmission de données monétiques… Le document mentionne en outre l’amorce d’une couverture élargie des besoins de la clientèle, des ménages et des particuliers avec le développement du crédit immobilier et celui lié à la consommation.

    B. K.(Liberté)

  • #2
    c'est pour encourager les investisseurs a venir c'est sa?!
    Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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    • #3
      Sans oublier son potentiel énergétique solaire

      En raison de sa situation climatique privilégiée, l'Algérie est un pays qui dispose d'un potentiel de production en énergie solaire évalué à 169 440 TWh par an, ce qui équivaut à environ 60 fois la consommation de l'Europe des 15 (estimée à 3 000 TWh par an).

      L'Algérie qui exporte d'importantes quantités de pétrole et de gaz vers l'Europe, recèle de grandes ressources d'énergie solaire à même de satisfaire la totalité des besoins de l'Europe en électricité.

      En outre, l'énergie solaire journalière dans le désert équivalent pétrole est estimée à 1,5 baril par km², ce qui fait que l'Europe pourra se passer, à l'avenir même, de l'énergie nucléaire en tant que source d'électricité.

      C'est dans ce contexte que vient d'être officialisé le lancement d'une centrale hybride, qui sera en production dès 2009, utilisant le gisement de gaz de Hassi Rmel (le plus gros gisement d'Algérie), et aussi l'energie solaire qui permettra tout de même d'économiser 38000 m3 du précieux gaz tous les ans. Ce type de projet est le premier au monde à associer gaz et énergie solaire.

      Sans oublier aussi le potentiel en energie Nucleaire

      La découverte de quatre gisements d’uranium (Timgaouine, Abankor, Tinef et
      Tahaggart ) avec des ressources mesurées estimées à plus de 12,7 millions
      de tonnes à 0,187% U, soit 23 000 tonnes d’uranium métal
      .

      http://www.mem-algeria.org/actu/comn...ranium_alg.pdf

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      • #4
        personnelement je ne le savais pas c'est etonnant, bravo mais je croyais que c'etait l'arabie saoudite

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        • #5
          POUR de plus amples informations
          voir ce lien
          http://www.eia.doe.gov/emeu/cabs/Algeria/Full.html
          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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