Toi, petit idiot, pourquoi Mahomet, tu importunes ?
Est-ce par mépris, ou seulement pour faire fortune.
Peut être par dédain ou uniquement pour paraître,
Ou bien encore pour venger Peut-etre, tes ancêtres.
Que sais-tu de ce prophète que tu diffames ?
Rien; mis à part qu’il avait plus d’une femme,
Qu’il vivait dans le désert brûlant d’Arabie
Et qu’il était berger et gardien de brebis.
Sais-tu que c’est grâce à cet illettré de Médine
Que ton pays a connu la science et la médecine
Les premiers savants étaient tous ses partisans
De votre progrès à vous, ils étaient les artisans.
Ô Toi petit idiot, Tant que le monde est monde
Que le soleil se lèvera et que la terre restera ronde,
Par des milliards de lèvres, Son nom sera murmuré,
Et dépassera les hautes cimes de tous les minarets.
Le chien qui aboie n’affecte en rien ce nuage,
Qui continue avec sérénité son paisible voyage,
Ce n’est pas avec un piètre morceau de toile,
Qu’on cachera le firmament et son étoile.
Vous ne pourrez jamais, par vos plumes envenimées,
Eteindre cette foi, cet amour qui ont toujours animé
Depuis la nuit des temps, tant d’âmes et de cœurs,
Malgré votre haine, vos malveillances et vos rancoeurs.
Il n’est pas fils de Dieu, mais un prophète, un semblable.
Il nous a appris à tout pardonner, même l’impardonnable.
Toi, petit idiot, cherche Mohamed, pioche dans l’histoire,
Tu sauras que devant sa grandeur, tu es bien dérisoire…
(Ce n'est pas de moi)
Est-ce par mépris, ou seulement pour faire fortune.
Peut être par dédain ou uniquement pour paraître,
Ou bien encore pour venger Peut-etre, tes ancêtres.
Que sais-tu de ce prophète que tu diffames ?
Rien; mis à part qu’il avait plus d’une femme,
Qu’il vivait dans le désert brûlant d’Arabie
Et qu’il était berger et gardien de brebis.
Sais-tu que c’est grâce à cet illettré de Médine
Que ton pays a connu la science et la médecine
Les premiers savants étaient tous ses partisans
De votre progrès à vous, ils étaient les artisans.
Ô Toi petit idiot, Tant que le monde est monde
Que le soleil se lèvera et que la terre restera ronde,
Par des milliards de lèvres, Son nom sera murmuré,
Et dépassera les hautes cimes de tous les minarets.
Le chien qui aboie n’affecte en rien ce nuage,
Qui continue avec sérénité son paisible voyage,
Ce n’est pas avec un piètre morceau de toile,
Qu’on cachera le firmament et son étoile.
Vous ne pourrez jamais, par vos plumes envenimées,
Eteindre cette foi, cet amour qui ont toujours animé
Depuis la nuit des temps, tant d’âmes et de cœurs,
Malgré votre haine, vos malveillances et vos rancoeurs.
Il n’est pas fils de Dieu, mais un prophète, un semblable.
Il nous a appris à tout pardonner, même l’impardonnable.
Toi, petit idiot, cherche Mohamed, pioche dans l’histoire,
Tu sauras que devant sa grandeur, tu es bien dérisoire…
(Ce n'est pas de moi)