Dans cette toile,
c'est comme dans ma rue,
collée au mur, aux reverberes,
j'ai vu s'aneantir le reve berbere,
l'ombre des gazelles dans la nuit
s'etire et s'etiole sans bruit,
Une odeur de mort au fond de l'air
Des bouches d'égout s'exhale
comme des poumons de la terre
une vapeur comme un chale
Et la, je la vois, a genoux, sale,
par terre, contre le mur, elle chiale.
Les enfants on le sait, sont cruels,
de cette façon naïve, presque sensuelle,
avec ce sourire vainqueur, ce regard de lion
qui sans façon, arrache les ailes des papillons.
Petite fille, les sphinx a tête de mort
sont papillons avant d'être objet,
Le coeur avant de devenir abject
use la raison jusqu'a l'oraison
ta floraison, Ô plante carnivore,
N'aura de palace que ta maison
Une toile trop tendue, dans une caverne d'acier,
ou croiser le fer avec des pensées tordue,
reste la seul distraction des coeurs corrompu.
c'est comme dans ma rue,
collée au mur, aux reverberes,
j'ai vu s'aneantir le reve berbere,
l'ombre des gazelles dans la nuit
s'etire et s'etiole sans bruit,
Une odeur de mort au fond de l'air
Des bouches d'égout s'exhale
comme des poumons de la terre
une vapeur comme un chale
Et la, je la vois, a genoux, sale,
par terre, contre le mur, elle chiale.
Les enfants on le sait, sont cruels,
de cette façon naïve, presque sensuelle,
avec ce sourire vainqueur, ce regard de lion
qui sans façon, arrache les ailes des papillons.
Petite fille, les sphinx a tête de mort
sont papillons avant d'être objet,
Le coeur avant de devenir abject
use la raison jusqu'a l'oraison
ta floraison, Ô plante carnivore,
N'aura de palace que ta maison
Une toile trop tendue, dans une caverne d'acier,
ou croiser le fer avec des pensées tordue,
reste la seul distraction des coeurs corrompu.
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