....................Vague...
Vague, tes mélancoliques écumes nous regardent,
Et veulent nous faire part d’un secret que tu gardes.
Parle-nous de cette tempête qui attise tes peines,
Et qui est toujours là, malgré le temps qui s’égrène.
Vague, qui de nous n’a pas traversé un cyclone,
Une bourrasque çà et là, qui fléchirait un pylône
Mais la tornade qui te hante n’est que passagère
Et son allure imposante est pourtant mensongère.
On t’a vu bien souvent, cogner la tête des falaises,
Mordre des récifs, des rochers encore plus balaises
Du bout de tes doigts tu as fais danser des bateaux,
Dans tes bras, autrefois, ont bâtissait des châteaux.
Espoir des fébriles qui lancent les bouteilles à la mer
Berceuse des marins qui n’ont vu que des chimères,
La vie, la force et la joute ont incarné ton emblème
Que hissaient sur leurs mats les rameurs des birèmes.
Tes farandoles incessantes sur les rives et les plages,
Qui Câlinent sans relâche le corail et les coquillages,
Sont audibles de loin, même quand La marée les retire
Ou lorsqu’ un orage prétentieux, voudrait les agonir.
Tu étreignes de bout en bout les îles et les océans,
En traquant les sirènes, tu as délivré Ulysse du néant
Mais je vois qu’aujourd’hui ta vigueur t’abandonne...
Vague, nous sommes là pour t’aider à rester sur le trône.
16/05/2007
Et veulent nous faire part d’un secret que tu gardes.
Parle-nous de cette tempête qui attise tes peines,
Et qui est toujours là, malgré le temps qui s’égrène.
Vague, qui de nous n’a pas traversé un cyclone,
Une bourrasque çà et là, qui fléchirait un pylône
Mais la tornade qui te hante n’est que passagère
Et son allure imposante est pourtant mensongère.
On t’a vu bien souvent, cogner la tête des falaises,
Mordre des récifs, des rochers encore plus balaises
Du bout de tes doigts tu as fais danser des bateaux,
Dans tes bras, autrefois, ont bâtissait des châteaux.
Espoir des fébriles qui lancent les bouteilles à la mer
Berceuse des marins qui n’ont vu que des chimères,
La vie, la force et la joute ont incarné ton emblème
Que hissaient sur leurs mats les rameurs des birèmes.
Tes farandoles incessantes sur les rives et les plages,
Qui Câlinent sans relâche le corail et les coquillages,
Sont audibles de loin, même quand La marée les retire
Ou lorsqu’ un orage prétentieux, voudrait les agonir.
Tu étreignes de bout en bout les îles et les océans,
En traquant les sirènes, tu as délivré Ulysse du néant
Mais je vois qu’aujourd’hui ta vigueur t’abandonne...
Vague, nous sommes là pour t’aider à rester sur le trône.
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