La croissance de ce secteru se confirme...
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Maroc: Trois fois plus de centres d'appel en deux ans
RABAT - Le Maroc héberge aujourd'hui trois fois plus de centres d'appel qu'il y a deux ans et ce secteur en pleine expansion emploie 17.500 personnes, affirme une étude que vient de publier l'Agence nationale de régulation des télécommunications (ANRT).
Fin 2006, il y avait 137 centres d'appel (CAP) opérationnels et 6 en cours de démarrage, contre 50 en 2004. Ils emploient 175.000 personnes contre 5.500 il y a deux ans, et la majorité de ceux qui travaillent dans ce secteur possèdent un bac+2 et une trés bonne maitrise des langues.
Le chiffre d'affaires a été multiplié par quatre passant de 830 millions de dirhams (74 millions d'euros) à 2,94 milliards de dirhams (262,5 millions d'euros) en deux ans.
Si 80% des CAP sont situés à Casablanca et Rabat, d'autre villes émergent comme Tanger, Tétouan, Marrakech et Fès. La langue la plus largement utilisée est le français (91%) loin devant l'arabe dialectal (5%) et seulement 4% pour l'espagnol et les autres langues.
"Ce secteur d'activité peut être considéré comme l'un des plus porteurs en matière de création d'empois et comme ayant un fort potentiel en matière d'investissement", a estimé l'ANRT pour qui le CAP est "un levier important de l'économie marocaine".
La moitié des CAP ont un capital étranger: 86% français, 8% américain, 4% espagnol et 4% belge.
Les deux tiers des centres ont une clientèle mixte à la fois marocaine et étrangère, alors 19,6% ne travaillent uniquement avec des donneurs d'ordre étrangers et 15,7% uniquement marocains. Si le premier secteur d'activité des clients des CAP est l'internet et les telecoms (26%) puis le commerce (18%), les banques et assurances ont progressé et représentent 8%.
(©AFP / 17 mai 2007 16h00)
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Maroc: Trois fois plus de centres d'appel en deux ans
RABAT - Le Maroc héberge aujourd'hui trois fois plus de centres d'appel qu'il y a deux ans et ce secteur en pleine expansion emploie 17.500 personnes, affirme une étude que vient de publier l'Agence nationale de régulation des télécommunications (ANRT).
Fin 2006, il y avait 137 centres d'appel (CAP) opérationnels et 6 en cours de démarrage, contre 50 en 2004. Ils emploient 175.000 personnes contre 5.500 il y a deux ans, et la majorité de ceux qui travaillent dans ce secteur possèdent un bac+2 et une trés bonne maitrise des langues.
Le chiffre d'affaires a été multiplié par quatre passant de 830 millions de dirhams (74 millions d'euros) à 2,94 milliards de dirhams (262,5 millions d'euros) en deux ans.
Si 80% des CAP sont situés à Casablanca et Rabat, d'autre villes émergent comme Tanger, Tétouan, Marrakech et Fès. La langue la plus largement utilisée est le français (91%) loin devant l'arabe dialectal (5%) et seulement 4% pour l'espagnol et les autres langues.
"Ce secteur d'activité peut être considéré comme l'un des plus porteurs en matière de création d'empois et comme ayant un fort potentiel en matière d'investissement", a estimé l'ANRT pour qui le CAP est "un levier important de l'économie marocaine".
La moitié des CAP ont un capital étranger: 86% français, 8% américain, 4% espagnol et 4% belge.
Les deux tiers des centres ont une clientèle mixte à la fois marocaine et étrangère, alors 19,6% ne travaillent uniquement avec des donneurs d'ordre étrangers et 15,7% uniquement marocains. Si le premier secteur d'activité des clients des CAP est l'internet et les telecoms (26%) puis le commerce (18%), les banques et assurances ont progressé et représentent 8%.
(©AFP / 17 mai 2007 16h00)
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