Nous, êtres humains , des expériences d’autrui on retient des leçons
Nous , êtres humains , de toutes belles choses , on extrait une boisson
A chaque parcelle sa livraison , à chaque saison sa moisson
Sucrée , juteuse en automne , mielleuse , fruiteuse au printemps
Senteur , amère en hiver , liquide âpre et acide en été
Dans l’histoire qui va suivre , une leçon à retenir
Ils sont tous différents quoi qu’ils aient la même apparence
Ils marchent à deux pieds , un la marche du lion , l’autre la démarche d’un balance
Ils mangent des deux mains , un le fruit de son labeur , l’autre de l’effort il ne connaît pas une once
Ils ont tous un cœur , un une lave qui en dégage ne craignant pas que ça finisse, il en partage
L’autre reclus froid dans son effroi comme une glace
Entre ces deux extrêmes qui forment un tandem
Il y a ceux du milieu , plus à gauche ou plus à droite, dans cette catégorie on les connote
C’est leur place
C’est leur droit le plus absolu , sans conteste
Qu’ils laissent les autres vivre ,comme ils le sentent , c’est leur nature , qu’ils les laissent
TITANIC
La jeunesse , la fugue, l’envie d’une nouvelle vie
L’exalte à entamer cette croisière vers l’inconnu
Une contrée lointaine , qu’on disait sur terre , le paradis
Vaste, très vaste , elle est , des plaines à portée de vue
Vierge de toutes mains humaines, gorgée d’eau de perles et de rubis
Par terre éparpillées à bon entendeur, tu n’as qu’à te baisser pour renflouer
Poche, sac , sacoche tout est bon , afin et pour que tu emplisses
Les premiers qui y sont , les premiers servis .moi j’en serai parmi
Sur un paquebot , un immeuble flottant ,
Tout neuf, tout reluisant
Le titanesque , l’insubmersible dit-on ,
Les britanniques l’ont bâti Titanic
Divisé en cinq parties ,reliées par des portiques
Blindé jusqu’à la taille , de l’hélice au gouvernail
C’est pour ça , les britanniques n’étaient pas sceptiques
Ils croyaient , dommage mais c’était vrai
Le Titanic n’avait pas de hic
Guère ,aurait suffi à faire basculer les données
Pas , a fait couler ce titane , grâce à Dieu ,
Qu’on a omis d’oublier sa faveur et sa manne
Une leçon pour nous les humains ,ne dites jamais pas
Pas et après , ce serait des pas ,pas après pas ,vers le ghetto
Que vous fouillez , comme des appas
Dites peut – être que oui , peut-être pas et basta
Le jeune matador entre en arène
Il croyait que c’était un voyage d’hôtes
Sur un moyen , vers les moyens
De vie toute autre , pas sur ce tas qui flotte
Sur terre qu’il croyait que c’était la scène
Sans qu’il ne le savait , malgré lui
Une toute autre histoire se tissait
Ni sans ampleur ni sa destinée,tous lui échappait
Mon Dieu quelle fin et quelle destinée
Une jeune damoiselle , intelligente,vive et belle
Dans la vie toute nouvelle
Avec sa mère prétentieuse , zoble parmi les nobles
Malicieuse aussi , elle parait affable
Faire un beau mariage à sa fille , lui aurait ramené
ce qu’ils avaient perdu ,or et argent tant recherchés , tant indispensables
faute d’un père mort, rongé par les remords , après que rien n’est laissé
A une mère et sa fille de bonne famille , bien sûr de notable
Les deux pauvres , mère et fille entament ce voyage ,
L’heureux élu était , lui aussi de l’attelage
Il n’attendait que le jour , où à terre aura le mariage
C’est à mon tour , de narrer , ce qui s’est passé , après cette courte page
Voyez : les trois stars sans le savoir
Etaient sur la même scène
Chacun jouait sa partie, pas de fausses notes
Les rôles tout tracés,à peine perceptibles à peine
Un a péri et deux ont gagné la cagnotte
Qui et qui à votre avis ?
Le paquebot était devisé en trois classes, trois niveaux
-la haute classes (les hala toz) pour le moment en haut.
-la classe moyenne , toujours peinards , les hauts et les bas
On les connaît pas, nous, nous restons au même niveau
- les pauvres au bas niveau avec les cuisiniers et les matelots
Le jeune matador ne faisait que jouir
De ce que le bon Dieu lui a octroyé comme atout
Il ne faisait attention à quiconque de ces sbires
Il en profitait à Max de chaque instant, fou .
Diriez-vous , peut- être que oui , mais il s’en fou
Du moment où , il est bien ce prince, cet Emir
Dans sa peau , dans son élément a quoi bon
Prendre le temps de , pour qui et pour quand
Apres tout , ce n’est qu’un trajet
A bord d’un tas de ferraille
L’avenir est ailleurs , à jet d’archer
Là-bas je marcherais sur les rails
Je tracerai le chemin de ma sueur
Je puiserai leurs fers de mon enfer
Je les taillerai à ma taille
Sans faille , de mes entrailles
Notre fleur , manquait d’air
Arrosée par une eau mal saine
Elle se voyait fanée
De jour en jour , elle peine
Craignant de s’asphyxier
Elle ne pouvait plus respirer , quelle odeur
C’est le souffre ou bien , c’est elle qui souffre
Sur son lit se jetait , pleurant son malheur
Rien n’arrivait à sécher ses larmes , qui coulent
D’un lit de chagrin , au plus profond d’elle enfui
Je vais prendre la fuite , vers le destin
Qui tarde à venir , des nuits durant
Sans que je puisse , l’apercevoir de loin
Ne serait-ce qu’un bref instant
Afin que mon cœur, se met à battre de nouveau.
Et que mes yeux se mettent à reluire.
Je m’enfuirais du cime de ce paquebot.
De-là vers des cimes plus beaux que beau, au summum du plaisir.
Notre jeune matador, se la coulait douce.
Allongé sur un banc, contemplant les étoiles filantes.
Brise d’automne, balayant les feuilles rousses.
De son cœur, égayant sa flamme ardente.
De ses soucies, nettoyait la pelouse.
Je vais, là où les grands ont trouvé, quiétude et refuge.
Le paradis, pour nous immortels, de la volonté on le bâtit.
Je vais, au nouveau monde, là-bas pas d’entre loupes pas de subterfuge.
Une manne, que le bon DIEU l’a offerte aux bons vivants, moi y compris.
Je vais, sans me retourner partir, ni regret le moindre, ni nostalgie.
Rien ne me retenait, sur la terre où je suis né.
Pas de passé auquel je tiens, autant fut l’avenir.
Pas de terres, pas d’argent, pas d’espoir, mes rêves vont faner.
ADIEU , misère, le jour où je vous ai connue, je le honnie.
Je suis enfin libre, rêver, mes acquis.
Entreprendre, jouir, agir, s’en suit.
Je suis, sans que personne me suit.
Me compte mes allers et venues, me nuit
Bonjour liberté, me voilà enfin, de toi épris.
Soudain, une note imprévisible et insoupçonnable.
Vient changer le cour de ses vies, vers une fable.
= Non, que fais-tu, arrête, je t’en conjure.
Arrête je t’en supplie.
= Qui es-tu, laisse-moi je vais me jeter.
= Te jeter, non, moi en premier.
= Qu’est-ce que t’as ? laisse moi. !
= Te laisser, je te laisse ?
Tu n’es pas accrochée à une laisse.
= Quoi ?
= Oui.
Belle, riche que vous êtes, le bon DIEU t’en a tout donné,
De-là à te jeter, pour une quelconque connerie.
Ne mérite à mon humble avis, que d’être qualifiée,
Comme la plus grosse des conneries.
Comparé à moi, à mes déboires,
C’est moi qui devais me jeter ?
Car la vie pour moi n’en vaut rien, si ce n’est de l’espoir.
Alors que pour toi, c’est du gâchis.
Et puis, tant pis.
Elle s’arrête un moment, elle réfléchit.
Elle sent quelques chose, un déclic dans son cœur.
Une envie soudaine, oui une envie.
Là le cour de deux histoires, tout à fait différentes.
Ce mêlent et s’accompagnent.
Deux fleuves qui coulent en aval,
Dans une chute se rejoignent.
C’est une histoire qui s’est écrite à l’eau de rose,
Je l’admets.
Dans le cœur de quelqu’un qui sait rêver.
Dans la réalité, c’est une toute autre chose.
Qui va se dérouler.
Notre jeune malheureuse, dans le doute et dans le songe.
Peur et envie, se mélangent.
Peur de ce nouveau état d’âme.
Peur de sa mère, de ses supplices.
Peur de l’avenir qui la pousse,
Vent fort vers un précipice.
Peur de ce qui vient de naître,
En elle et qui va tout chambouler.
Et qu’elle doit à la va-vite l’enfuir,
Au plus profond d’elle, elle l’enfuit.
Ce n’est pas facile, de le cacher.
A dire vrai, très très difficile,
Il le saurait.
Il vous faut être habile : manier la cape et l’épée.
Tirer à l’arc, précise, très agile.
Car celui qui est devant vous, est immortel.
Sauf si, tu le frappe dans son talent,
Le talon d’ACHILLE.
L’histoire après cela, va connaître des hauts et des bas.
L’un guerroit, avec les moyens qu’il possède.
L’autre avec le talent qu’il a.
L’un avec le porte monnaie.
L’autre avec le cœur comme valet.
L’un avec l’astuce et la malice.
L’autre avec une eau qui coule et en découle fraîche et douce.
Pas de comparaison à faire.
C’est un don divin.
On l’a,ou on l’a « peut-être pas ».
La finalité est, que le cœur de sa dulcinée lui est
Je pense, je ne suis pas sûr, que tout les cœurs des fleurs.
A son tic-tac, vibrent, obligés.
A sa montre elles sont réglées, pile à l’heure.
Le paquebot nommé TITANIC heurta un ICE BERG
Les lettres du premier, ont cédé place aux lettres du dernier.
A cause et pour cause.
Le « T » ne devance jamais le »I » , pareil pour le « C ».
Alors le ICEB a battu le TITA, ce dernier s’est reclus
Au fond de la mer, il croule comme un rebut.
Les voyageurs sautaient de ce tas de ferraille .
Pauvres où notables, ce CHAOS, les accable.
Tous pareil, ils sont devant la mort.
Alors devant DIEU le tout puissant, quand serait le sort ?.
Le malicieux, prend place à bord du canoë.
C’est sa place, près des vieux et des enfants, normal.
Puisque c’est un raté.
La malheureuse suit son malheur, jusqu’à terme.
Puisque son bonheur, l’a trouvé à terme.
Elle veut l’épuiser jusqu’à la dernière goutte.
Elle ne veut rien laisser au doute.
Le pauvre lui, le vaillant, voulait tant l’avoir.
A bord de ce canoë.
Il courait dans tout les sens, rien n’y fait.
Il voulait, qu’à ce naufrage, elle survive.
Pour que lui continue à vivre dans son cœur, à jamais.
Ils tombèrent tout deux à l’eau.
Lui dégota une planche, dans ce méli-mélo.
Lui tenait sa main,lui souriait enfin.
S’enfonce dans l’eau jusqu’au cou, il la contempla dormir.
La mer avec son froid glacial
Je ne sens plus la douleur
Me berce, les yeux dans les yeux
Elle me veut dans son cœur
Le cœur accepte volontiers l’échange
Je crie sans murmurer une voix
Je pars pour que je puisse vivre
En vous de mille façons
En mille couleurs et couleurs
Longue vie aux fleurs
Sin et sain
Orifardi
Nous , êtres humains , de toutes belles choses , on extrait une boisson
A chaque parcelle sa livraison , à chaque saison sa moisson
Sucrée , juteuse en automne , mielleuse , fruiteuse au printemps
Senteur , amère en hiver , liquide âpre et acide en été
Dans l’histoire qui va suivre , une leçon à retenir
Ils sont tous différents quoi qu’ils aient la même apparence
Ils marchent à deux pieds , un la marche du lion , l’autre la démarche d’un balance
Ils mangent des deux mains , un le fruit de son labeur , l’autre de l’effort il ne connaît pas une once
Ils ont tous un cœur , un une lave qui en dégage ne craignant pas que ça finisse, il en partage
L’autre reclus froid dans son effroi comme une glace
Entre ces deux extrêmes qui forment un tandem
Il y a ceux du milieu , plus à gauche ou plus à droite, dans cette catégorie on les connote
C’est leur place
C’est leur droit le plus absolu , sans conteste
Qu’ils laissent les autres vivre ,comme ils le sentent , c’est leur nature , qu’ils les laissent
TITANIC
La jeunesse , la fugue, l’envie d’une nouvelle vie
L’exalte à entamer cette croisière vers l’inconnu
Une contrée lointaine , qu’on disait sur terre , le paradis
Vaste, très vaste , elle est , des plaines à portée de vue
Vierge de toutes mains humaines, gorgée d’eau de perles et de rubis
Par terre éparpillées à bon entendeur, tu n’as qu’à te baisser pour renflouer
Poche, sac , sacoche tout est bon , afin et pour que tu emplisses
Les premiers qui y sont , les premiers servis .moi j’en serai parmi
Sur un paquebot , un immeuble flottant ,
Tout neuf, tout reluisant
Le titanesque , l’insubmersible dit-on ,
Les britanniques l’ont bâti Titanic
Divisé en cinq parties ,reliées par des portiques
Blindé jusqu’à la taille , de l’hélice au gouvernail
C’est pour ça , les britanniques n’étaient pas sceptiques
Ils croyaient , dommage mais c’était vrai
Le Titanic n’avait pas de hic
Guère ,aurait suffi à faire basculer les données
Pas , a fait couler ce titane , grâce à Dieu ,
Qu’on a omis d’oublier sa faveur et sa manne
Une leçon pour nous les humains ,ne dites jamais pas
Pas et après , ce serait des pas ,pas après pas ,vers le ghetto
Que vous fouillez , comme des appas
Dites peut – être que oui , peut-être pas et basta
Le jeune matador entre en arène
Il croyait que c’était un voyage d’hôtes
Sur un moyen , vers les moyens
De vie toute autre , pas sur ce tas qui flotte
Sur terre qu’il croyait que c’était la scène
Sans qu’il ne le savait , malgré lui
Une toute autre histoire se tissait
Ni sans ampleur ni sa destinée,tous lui échappait
Mon Dieu quelle fin et quelle destinée
Une jeune damoiselle , intelligente,vive et belle
Dans la vie toute nouvelle
Avec sa mère prétentieuse , zoble parmi les nobles
Malicieuse aussi , elle parait affable
Faire un beau mariage à sa fille , lui aurait ramené
ce qu’ils avaient perdu ,or et argent tant recherchés , tant indispensables
faute d’un père mort, rongé par les remords , après que rien n’est laissé
A une mère et sa fille de bonne famille , bien sûr de notable
Les deux pauvres , mère et fille entament ce voyage ,
L’heureux élu était , lui aussi de l’attelage
Il n’attendait que le jour , où à terre aura le mariage
C’est à mon tour , de narrer , ce qui s’est passé , après cette courte page
Voyez : les trois stars sans le savoir
Etaient sur la même scène
Chacun jouait sa partie, pas de fausses notes
Les rôles tout tracés,à peine perceptibles à peine
Un a péri et deux ont gagné la cagnotte
Qui et qui à votre avis ?
Le paquebot était devisé en trois classes, trois niveaux
-la haute classes (les hala toz) pour le moment en haut.
-la classe moyenne , toujours peinards , les hauts et les bas
On les connaît pas, nous, nous restons au même niveau
- les pauvres au bas niveau avec les cuisiniers et les matelots
Le jeune matador ne faisait que jouir
De ce que le bon Dieu lui a octroyé comme atout
Il ne faisait attention à quiconque de ces sbires
Il en profitait à Max de chaque instant, fou .
Diriez-vous , peut- être que oui , mais il s’en fou
Du moment où , il est bien ce prince, cet Emir
Dans sa peau , dans son élément a quoi bon
Prendre le temps de , pour qui et pour quand
Apres tout , ce n’est qu’un trajet
A bord d’un tas de ferraille
L’avenir est ailleurs , à jet d’archer
Là-bas je marcherais sur les rails
Je tracerai le chemin de ma sueur
Je puiserai leurs fers de mon enfer
Je les taillerai à ma taille
Sans faille , de mes entrailles
Notre fleur , manquait d’air
Arrosée par une eau mal saine
Elle se voyait fanée
De jour en jour , elle peine
Craignant de s’asphyxier
Elle ne pouvait plus respirer , quelle odeur
C’est le souffre ou bien , c’est elle qui souffre
Sur son lit se jetait , pleurant son malheur
Rien n’arrivait à sécher ses larmes , qui coulent
D’un lit de chagrin , au plus profond d’elle enfui
Je vais prendre la fuite , vers le destin
Qui tarde à venir , des nuits durant
Sans que je puisse , l’apercevoir de loin
Ne serait-ce qu’un bref instant
Afin que mon cœur, se met à battre de nouveau.
Et que mes yeux se mettent à reluire.
Je m’enfuirais du cime de ce paquebot.
De-là vers des cimes plus beaux que beau, au summum du plaisir.
Notre jeune matador, se la coulait douce.
Allongé sur un banc, contemplant les étoiles filantes.
Brise d’automne, balayant les feuilles rousses.
De son cœur, égayant sa flamme ardente.
De ses soucies, nettoyait la pelouse.
Je vais, là où les grands ont trouvé, quiétude et refuge.
Le paradis, pour nous immortels, de la volonté on le bâtit.
Je vais, au nouveau monde, là-bas pas d’entre loupes pas de subterfuge.
Une manne, que le bon DIEU l’a offerte aux bons vivants, moi y compris.
Je vais, sans me retourner partir, ni regret le moindre, ni nostalgie.
Rien ne me retenait, sur la terre où je suis né.
Pas de passé auquel je tiens, autant fut l’avenir.
Pas de terres, pas d’argent, pas d’espoir, mes rêves vont faner.
ADIEU , misère, le jour où je vous ai connue, je le honnie.
Je suis enfin libre, rêver, mes acquis.
Entreprendre, jouir, agir, s’en suit.
Je suis, sans que personne me suit.
Me compte mes allers et venues, me nuit
Bonjour liberté, me voilà enfin, de toi épris.
Soudain, une note imprévisible et insoupçonnable.
Vient changer le cour de ses vies, vers une fable.
= Non, que fais-tu, arrête, je t’en conjure.
Arrête je t’en supplie.
= Qui es-tu, laisse-moi je vais me jeter.
= Te jeter, non, moi en premier.
= Qu’est-ce que t’as ? laisse moi. !
= Te laisser, je te laisse ?
Tu n’es pas accrochée à une laisse.
= Quoi ?
= Oui.
Belle, riche que vous êtes, le bon DIEU t’en a tout donné,
De-là à te jeter, pour une quelconque connerie.
Ne mérite à mon humble avis, que d’être qualifiée,
Comme la plus grosse des conneries.
Comparé à moi, à mes déboires,
C’est moi qui devais me jeter ?
Car la vie pour moi n’en vaut rien, si ce n’est de l’espoir.
Alors que pour toi, c’est du gâchis.
Et puis, tant pis.
Elle s’arrête un moment, elle réfléchit.
Elle sent quelques chose, un déclic dans son cœur.
Une envie soudaine, oui une envie.
Là le cour de deux histoires, tout à fait différentes.
Ce mêlent et s’accompagnent.
Deux fleuves qui coulent en aval,
Dans une chute se rejoignent.
C’est une histoire qui s’est écrite à l’eau de rose,
Je l’admets.
Dans le cœur de quelqu’un qui sait rêver.
Dans la réalité, c’est une toute autre chose.
Qui va se dérouler.
Notre jeune malheureuse, dans le doute et dans le songe.
Peur et envie, se mélangent.
Peur de ce nouveau état d’âme.
Peur de sa mère, de ses supplices.
Peur de l’avenir qui la pousse,
Vent fort vers un précipice.
Peur de ce qui vient de naître,
En elle et qui va tout chambouler.
Et qu’elle doit à la va-vite l’enfuir,
Au plus profond d’elle, elle l’enfuit.
Ce n’est pas facile, de le cacher.
A dire vrai, très très difficile,
Il le saurait.
Il vous faut être habile : manier la cape et l’épée.
Tirer à l’arc, précise, très agile.
Car celui qui est devant vous, est immortel.
Sauf si, tu le frappe dans son talent,
Le talon d’ACHILLE.
L’histoire après cela, va connaître des hauts et des bas.
L’un guerroit, avec les moyens qu’il possède.
L’autre avec le talent qu’il a.
L’un avec le porte monnaie.
L’autre avec le cœur comme valet.
L’un avec l’astuce et la malice.
L’autre avec une eau qui coule et en découle fraîche et douce.
Pas de comparaison à faire.
C’est un don divin.
On l’a,ou on l’a « peut-être pas ».
La finalité est, que le cœur de sa dulcinée lui est
Je pense, je ne suis pas sûr, que tout les cœurs des fleurs.
A son tic-tac, vibrent, obligés.
A sa montre elles sont réglées, pile à l’heure.
Le paquebot nommé TITANIC heurta un ICE BERG
Les lettres du premier, ont cédé place aux lettres du dernier.
A cause et pour cause.
Le « T » ne devance jamais le »I » , pareil pour le « C ».
Alors le ICEB a battu le TITA, ce dernier s’est reclus
Au fond de la mer, il croule comme un rebut.
Les voyageurs sautaient de ce tas de ferraille .
Pauvres où notables, ce CHAOS, les accable.
Tous pareil, ils sont devant la mort.
Alors devant DIEU le tout puissant, quand serait le sort ?.
Le malicieux, prend place à bord du canoë.
C’est sa place, près des vieux et des enfants, normal.
Puisque c’est un raté.
La malheureuse suit son malheur, jusqu’à terme.
Puisque son bonheur, l’a trouvé à terme.
Elle veut l’épuiser jusqu’à la dernière goutte.
Elle ne veut rien laisser au doute.
Le pauvre lui, le vaillant, voulait tant l’avoir.
A bord de ce canoë.
Il courait dans tout les sens, rien n’y fait.
Il voulait, qu’à ce naufrage, elle survive.
Pour que lui continue à vivre dans son cœur, à jamais.
Ils tombèrent tout deux à l’eau.
Lui dégota une planche, dans ce méli-mélo.
Lui tenait sa main,lui souriait enfin.
S’enfonce dans l’eau jusqu’au cou, il la contempla dormir.
La mer avec son froid glacial
Je ne sens plus la douleur
Me berce, les yeux dans les yeux
Elle me veut dans son cœur
Le cœur accepte volontiers l’échange
Je crie sans murmurer une voix
Je pars pour que je puisse vivre
En vous de mille façons
En mille couleurs et couleurs
Longue vie aux fleurs
Sin et sain
Orifardi