Sous la lumière blafarde,
Vibrait ton corps nu ;
Sans y prendre garde,
Je l’ai entrevu….
J’ai parcouru les désirs de ton corps,
Vapeurs exaltés d’une terre nouvelle
Inconnue de chaque jour jusqu’aux aurores…
Redécouvrant ces mots de tes mains sans sommeil…
Quand ton corps à mon corps s’est fait lourd
Quand de nos souffles en fusion murmuraient
La passion vibrante des amants sans atours,
J’ai su alors de quel Féminin j’étais.
Voile obscur d’une nuit à la ronde,
Par les cieux d’une mer en furie …
Je renaissais pour chaque seconde
Par le don de soi à l’instant d’une vie.
Goutte voluptueuse d’ivresse,
Trépassant la cime des monts,
Alcool piqué de tendresse
Au delà des déraisons…
Aux lendemains des matins soleils
A la quiétude des chemins
Toute la plaine se réveille
Pour mieux goûter ses parfums.
La terre , alors, s’est entrouverte,
Et a offert ses bouquets…
J’ai senti dans tes caresses
La beauté des près fleurir
Comme d’une découverte,
Elle nous souriait
Vibrait ton corps nu ;
Sans y prendre garde,
Je l’ai entrevu….
J’ai parcouru les désirs de ton corps,
Vapeurs exaltés d’une terre nouvelle
Inconnue de chaque jour jusqu’aux aurores…
Redécouvrant ces mots de tes mains sans sommeil…
Quand ton corps à mon corps s’est fait lourd
Quand de nos souffles en fusion murmuraient
La passion vibrante des amants sans atours,
J’ai su alors de quel Féminin j’étais.
Voile obscur d’une nuit à la ronde,
Par les cieux d’une mer en furie …
Je renaissais pour chaque seconde
Par le don de soi à l’instant d’une vie.
Goutte voluptueuse d’ivresse,
Trépassant la cime des monts,
Alcool piqué de tendresse
Au delà des déraisons…
Aux lendemains des matins soleils
A la quiétude des chemins
Toute la plaine se réveille
Pour mieux goûter ses parfums.
La terre , alors, s’est entrouverte,
Et a offert ses bouquets…
J’ai senti dans tes caresses
La beauté des près fleurir
Comme d’une découverte,
Elle nous souriait
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