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La bibliothèque de Béjaïa a été inaugurée le 12 mars 2004 par la ministre de la Culture, Khalida Toumi, ensuite fermée pour travaux d’aménagement et de rénovation, pour ne rouvrir qu’après deux ans, soit le 24 décembre 2006, l’annexe de la Bibliothèque nationale au niveau de Béjaïa est à la recherche d’un fonds documentaire qui pourrait satisfaire un tant soit peu les citoyens éprouvant un intérêt particulier pour le livre.
Depuis sa création en 2004, cette annexe, située à La Casbah et occupant une grande salle où enseignait le grand savant Ibn Khaldoun sa jurisprudence au XIVe siècle, n’a reçu qu’un unique quota destiné surtout aux amateurs de la littérature arabe.
Pourtant, au premier coup d’œil, on pourrait penser que tout est réuni pour répondre aux goûts de chacun, puisque quelques rayons sont bien remplis, mais il s’avère que la majorité de ces livres sont, soit de vieux manuscrits, soit des ouvrages spécialisés dans un domaine bien précis.
La responsabilité n’incombe pas uniquement au personnel, puisque la gestion de cette structure a été longtemps confiée à un personnel sans qualification dans le domaine, et ce n’est que maintenant que l’on fait appel aux spécialistes en bibliothéconomie.
Dans ce lieu du savoir, le visiteur fait face à la grande frustration de ne pouvoir trouver les lectures de son choix, sachant qu’ailleurs les prix sont prohibitifs.
Cette catégorie de lecteurs composée d’universitaires n’a d’autre choix que de se rabattre sur ce que leur offre les librairies privées, malgré les prix onéreux des ouvrages proposés.
Mais cet état de fait, ne rebute nullement les personnes férues de lecture et assidues qui continuent de s’y rendre avec l’espoir de la voir inscrite dans les projets des représentants de la culture dans la wilaya, et d’espérer qu’avec l’arrivée du nouveau directeur à la tête de la Direction de la culture, des projets nouveaux seront inscrits dans le but d’accorder un intérêt particulier au livre, à la lecture et d’inscrire par-là même une nouvelle dynamique culturelle et que le livre sera promu dans la région, sachant que Béjaïa est classée parmi les premières wilaya où l’on vend le plus de livress et où un fort lectorat existe.
Par la Dépêche de Kabylie
Depuis sa création en 2004, cette annexe, située à La Casbah et occupant une grande salle où enseignait le grand savant Ibn Khaldoun sa jurisprudence au XIVe siècle, n’a reçu qu’un unique quota destiné surtout aux amateurs de la littérature arabe.
Pourtant, au premier coup d’œil, on pourrait penser que tout est réuni pour répondre aux goûts de chacun, puisque quelques rayons sont bien remplis, mais il s’avère que la majorité de ces livres sont, soit de vieux manuscrits, soit des ouvrages spécialisés dans un domaine bien précis.
La responsabilité n’incombe pas uniquement au personnel, puisque la gestion de cette structure a été longtemps confiée à un personnel sans qualification dans le domaine, et ce n’est que maintenant que l’on fait appel aux spécialistes en bibliothéconomie.
Dans ce lieu du savoir, le visiteur fait face à la grande frustration de ne pouvoir trouver les lectures de son choix, sachant qu’ailleurs les prix sont prohibitifs.
Cette catégorie de lecteurs composée d’universitaires n’a d’autre choix que de se rabattre sur ce que leur offre les librairies privées, malgré les prix onéreux des ouvrages proposés.
Mais cet état de fait, ne rebute nullement les personnes férues de lecture et assidues qui continuent de s’y rendre avec l’espoir de la voir inscrite dans les projets des représentants de la culture dans la wilaya, et d’espérer qu’avec l’arrivée du nouveau directeur à la tête de la Direction de la culture, des projets nouveaux seront inscrits dans le but d’accorder un intérêt particulier au livre, à la lecture et d’inscrire par-là même une nouvelle dynamique culturelle et que le livre sera promu dans la région, sachant que Béjaïa est classée parmi les premières wilaya où l’on vend le plus de livress et où un fort lectorat existe.
Par la Dépêche de Kabylie