Depuis ces quelques lunes, la vie grandit en toi.
En regardant ton corps à présent l’on perçoit
Une tendre rondeur qui doucement se dessine
Et me fais prendre conscience qu’une époque se termine.
La vie est là c’est vrai, mais elle ne la fait pas.
Tu la sens, tu la vois et elle te met face à
Cette peur que je comprends, que je sais et conçois,
Celle de réaliser que seule tu serra.
Je souhaiterai te voir sous des airs de sourires,
Ne pas me murmurer que tu aimerais mourir.
Sentir que tu es fière et belle dans ton état,
Mais en te regardant je crains le pire parfois.
Ta situation est telle, je ne peux que compatir.
J’aimerai seulement que tu puisse t’affranchir
De ce poids qui te pèse plus que ta grossesse…
Croire qu’il reviendra alors qu’il te délaisse
Sa blanche vaut plus que tout, que sa chair, que son sang
Son âme s’est nécrosée sous ses paradis blancs.
Il ne croit plus en rien qu’à ces vides éphémères
Alors que de sa fille tu vas être la mère.
Ma belle tu seras seule, oui tu dois t’y résoudre
Si Dieu le veut un jour être père il pourra
Mais pour l’instant ma sœur tu vaux bien mieux que ça.
Mieux que son dédain…tellement plus que sa poudre !
.....
Alors je te conjure, relève toi et bats toi
Cette petite étincelle aura besoin de toi
Ne fais pas de cette perle une victime avant l’heure
Vis, vis, vis pour elle ! Pas pour son géniteur…
En regardant ton corps à présent l’on perçoit
Une tendre rondeur qui doucement se dessine
Et me fais prendre conscience qu’une époque se termine.
La vie est là c’est vrai, mais elle ne la fait pas.
Tu la sens, tu la vois et elle te met face à
Cette peur que je comprends, que je sais et conçois,
Celle de réaliser que seule tu serra.
Je souhaiterai te voir sous des airs de sourires,
Ne pas me murmurer que tu aimerais mourir.
Sentir que tu es fière et belle dans ton état,
Mais en te regardant je crains le pire parfois.
Ta situation est telle, je ne peux que compatir.
J’aimerai seulement que tu puisse t’affranchir
De ce poids qui te pèse plus que ta grossesse…
Croire qu’il reviendra alors qu’il te délaisse
Sa blanche vaut plus que tout, que sa chair, que son sang
Son âme s’est nécrosée sous ses paradis blancs.
Il ne croit plus en rien qu’à ces vides éphémères
Alors que de sa fille tu vas être la mère.
Ma belle tu seras seule, oui tu dois t’y résoudre
Si Dieu le veut un jour être père il pourra
Mais pour l’instant ma sœur tu vaux bien mieux que ça.
Mieux que son dédain…tellement plus que sa poudre !
.....
Alors je te conjure, relève toi et bats toi
Cette petite étincelle aura besoin de toi
Ne fais pas de cette perle une victime avant l’heure
Vis, vis, vis pour elle ! Pas pour son géniteur…
A mon amie d'enfance, ma soeur de coeur, Najla.
Et à la petite flamme qui brûle en elle...
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