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Spécial Moralité

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  • Spécial Moralité

    Je lance le topic pour un acccueil des tout les bons textes ayant une moralité

    Je commence par un texte d'Abdoune sur:"le bonheur"


    Il y avait, dans un village, un homme très pauvre qui avait un très beau cheval. Le cheval était si beau que les seigneurs du château voulaient le lui acheter, mais il refusait toujours.
    "Pour moi ce cheval n'est pas un animal, c'est un ami. Comment voulez-vous vendre un ami ?" demandait-il.

    Un matin, il se rend à l'étable et le cheval n'est plus là.
    Tous les villageois lui disent : "On te l'avait bien dit ! Tu aurais mieux de le vendre. Maintenant, on te l'a volé... quel malchance !"

    Le vieil homme répond "Chance, malchance, qui peut le dire ?"

    Tout le monde se moque de lui. Mais 15 jours plus tard, le cheval revient, avec tout une horde de chevaux sauvages. Il s'était échappé, avait séduit une belle jument et rentrait avec le reste de la horde.

    "Quelle chance !" disent les villageois.

    Le vieil homme et son fils se mettent au dressage des chevaux sauvages. Mais une semaine plus tard, son fils se casse une jambe a l'entraînement.
    "Quelle malchance !" disent ses amis. "Comment vas-tu faire, toi qui est déjà si pauvre, si ton fils, ton seul support, ne peut plus t'aider !"

    Le vieil homme répond "Chance, malchance, qui peut le dire ?"

    Quelques temps plus tard, l'armée du seigneur du pays arrive dans le village, et enrôle de force tous les jeunes gens disponibles.

    Tous... sauf le fils du vieil homme, qui a sa jambe cassée.

    "Quelle chance tu as, tous nos enfants sont partis à la guerre, et toi tu es le seul à garder avec toi ton fils. Les nôtres vont peut-être se faire tuer..."

    Le vieil homme répond "Chance, malchance, qui peut le dire ?"

    les villageois pris de jalousie ils décidèrent de le bannir de leur village et de le dessaisir de tous ses biens , ils partagèrent ainsi ses richesses et pillèrent son patrimoine , et devenus riches du jour au lendemain ; ainsi le vieil homme et sa famille sont devenus les plus pauvres gens du villages vivant ainsi sans abris comme de malheureux mendiants dans le village natal et de s'installèrent dans une tente au bon lieux de celui ci .
    Un jour le roi de ce village se réveilla un matin après un cauchemar dans lequel il vit que le villageois le plus riche du village l'assassina lors de ses sorties en ville , comme il est superstitieux décida d'emprisonner la dite personne sur le champs, mais hélas le cauchemar ne quitta plus le roi , et il décida d'emprisonner tous les gens du village qui possèdent la moindre richesse , et comme ça la prison se remplie des villageois , qui détestèrent d'être riche et envieillir tous le vieil homme qui était épargné des injustices de leur ROI.
    Mais le roi toujours attaché à vivre et ne pouvant supporté le doute qu'il sera assassiné par l'un de ses prisonnier , il mit le feu à la prison et tua tous les villageois , le Veil homme vivat en paix tout étant pauvre mais épargné .

    "Quelle chance tu as, " lui dirent les femmes des villageois tous nos maris sont morts , toi tu es le seul à rester en vie avec ton fils..."

    Le vieil homme répond "Chance, malchance, qui peut le dire ?"

    Moralité :
    Le futur nous est livré par fragments. Nous ne savons jamais ce qu'il nous réserve. Mais une expectation positive permanente nous ouvre les portes de la chance, de la créativité, et nous rend plus heureux.

  • #2
    Salam Sensib et merci pour le texte.

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    • #3
      L'homme et l'oiseau

      Un homme captura un jour un serin. L’oiseau, si petit qu’il tenait dans la paume de sa main, tenta de négocier sa liberté en ces termes :

      - Qu’attends-tu donc de moi ? dit-il. Je suis si petit, si maigre, je n’ai que la peau sur les os ! Rends-moi la liberté ! En échange, je te dirai trois vérités très utiles.
      - Soit, dit l’homme. Mais comment pourrai-je savoir si tes vérités sont utiles pour moi ?
      - C’est très simple, répondit le serin. Je te dirai la première vérité lorsque je serai encore dans ta main. Je te dirai la seconde lorsque je serai sur la branche de cet arbre ; ainsi, tu auras encore le pouvoir de me rattraper si cette vérité ne te convient pas. Enfin, je te dirai la troisième, la plus importante, lorsque je serai là-haut dans le ciel.

      - D’accord, dit l’homme. Dis-moi la première vérité.

      - La voici : si tu perds quelque chose, s’agirait-il de ta propre vie, tu ne dois pas le regretter.

      - Voilà une vérité profonde, pensa l’homme : le non-attachement aux formes extérieures, en effet, est le secret de la vraie liberté. Et il ouvrit la main.

      L’oiseau s’envola sur la branche, d’où il proféra sa deuxième vérité :

      - Si on te raconte une absurdité, n’y crois sous aucun prétexte avant d’en avoir eu la preuve !

      - Très bien, dit l’homme, tu es beaucoup plus sage que ne le laissait prévoir ton minuscule crâne d’oiseau : l’être humain, en effet, est naturellement attiré par le mensonge et l’illusion, nés de sa convoitise ! Mais quelle est donc la troisième vérité ?

      - C’est, lui répondit le serin qui planait désormais dans les hauteurs du ciel, que j’ai dans l’estomac, deux diamants gros chacun comme un de tes poings. Si tu m’avais tué, ta fortune était faite !

      Fou de rage, l’homme tenta de jeter des pierres au serin. Puis, s’accusant, maudissant sa stupidité, il se mit à pleurer sur son sort.

      - Imbécile ! s’exclama l’oiseau. Je t’ai dit de ne jamais regretter aucune chose, et tu regrettes déjà de m’avoir libéré ! Je t’ai dit de ne jamais croire une absurdité, et tu m’as cru lorsque j’ai prétendu, moi qui tiens dans la paume de ta main, avoir avalé deux diamants gros comme tes poings ! En raison de ta convoitise et de ton aveuglement, tu ne pourras jamais voler dans le ciel comme moi !
      ------------------
      Chacun comprendra le sens de "voler dans le ciel" selon sa propre interprétation du texte.. Prisonnier de ses passions et de sa convoitise, l'homme ne pourra pas s'élever spirituellement et ainsi se sentir libre.
      "Il faut avoir bcp de patience pour apprendre à être patient."

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      • #4
        sensib, CalamityJane

        Très beau topic
        Et de ce trait, je rajouterai......

        Un jour apparut un petit trou dans un cocon ; un homme qui passait à tout hasard, s'arrête de longues heures à observer le papillon qui s'efforçait de sortir du trou.

        Après un long moment, c'était comme si le papillon avait abandonné, et le trou demeurait toujours aussi petit.
        On dirait que le papillon avait fait tout ce qu'il pouvait, et qu'il ne pouvait plus rien faire d'autre.

        Alors l'homme décida d'aider le papillon: il prit un canif et ouvrit le cocon. Le papillon sortit aussitôt. Mais son corps était maigre et engourdi ; ses ailes étaient peu développées et bougeaient à peine.

        L'homme continua à observer, pensant que d'un moment à l'autre, les ailes du papillon s'ouvriraient et seraient capables de supporter le corps du papillon pour qu'il prenne son envol.
        Il n'en fut rien! Le papillon passa son existence à se trainer par terre avec son maigre corps et ses ailes rabougries. Jamais il ne put voler.

        Ce que l'homme, avec son geste de gentillesse et son intension d'aider, ne comprenait pas, c'est que le passage par le trou était l'effort necessaire pour que le papillon puisse transmettre le liquide de son corps à ses ailes de manière à pouvoir voler.
        C'était le moule à travers lequel la vie le faisait passer pour grandir et se développer.

        Parfois, l'effort est exactement ce dont nous avons besoin dans notre vie.
        Si l'on nous permettait de vivre notre vie sans rencontrer d'obstacles, nous serions limités.
        Nous ne pourrions pas être aussi forts que nous le sommes.
        Nous ne pourrions jamais voler.

        J'i demandé la force....
        Et la vie m'a donné les difficultés pour me rendre fort.

        J'ai demandé la sagesse.....
        Et la vie m'a donné des problèmes à résoudre.

        J'ai demandé la prospérité......
        Et la vie m'a donné un cerveau et des muscles pour travailler.

        J'ai demandé de pouvoir voler.....
        Et la vie m'a donné des obstacles à surmonter.

        J'ai demandé l'amour.....
        Et la vie m'a donné des gens à aider dans leurs problèmes.

        J'ai demandé des faveurs....
        Et la vie m'a donné des potentialités.

        Je n'ai rien reçu de ce que j'ai demandé.....
        Mais j'ai reçu tout ce dont j'avais besoin.

        Vis la vie sans peur, affronte tous les obstacles et démontre que tu peux les surmonter.
        Dernière modification par octopus, 24 mai 2007, 22h25.
        "Actions speak louder than words"

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        • #5
          je vous remercie tous de votre participation

          j'ai un autre texte , C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le désert

          Un moment,ils se disputèrent et l'un des deux donna une gifle à l'autre. Ce
          dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable: AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M'A DONNE UNE GIFLE.
          Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de se baigner. Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva. Quand il se fut repris, il écrivit sur une Pierre: AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M'A SAUVE LA VIE.
          Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda:
          "Quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as écrit sur la pierre. Pourquoi ?" L'autre ami répondit: "quand quelqu'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l'effacer. Mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut l'effacer ".

          APPRENDS A ÉCRIRE TES BLESSURES DANS LE SABLE ET A GRAVER TES JOIES DANS LA PIERRE.
          Dernière modification par Tamedit n-was, 25 mai 2007, 10h02.

          Commentaire


          • #6
            sensib

            Encore une fois je ne peux résister à dire que c'est très beau, très profond.
            "Actions speak louder than words"

            Commentaire


            • #7
              merci octopus


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              • #8
                Rien d’autre que rien

                "Dis-moi, combien pèse un flocon de neige ?", demanda la mésange à la colombe.
                "Rien d’autre que rien", fut la réponse.
                Et la mésange raconta alors à la colombe :
                "J’étais sur une branche d’un sapin quand il se mit à neiger. Pas une tempête, non, juste comme un rêve, doucement, sans violence. Comme je n’avais rien de mieux à faire, je commençais à compter les flocons qui tombaient sur la branche où je me tenais. Il en tomba 3.751.952. Lorsque le 3.751.953ème tomba sur la branche - rien d’autre que rien comme tu l’as dit - celle-ci cassa."
                Sur ce, la mésange s’envola.
                La colombe, une autorité en matière de paix depuis l’époque d’un certain Noé, réfléchit un moment et se dit finalement :
                "Peut-être ne manque-t-il qu’une personne pour que tout bascule et que le monde vive en paix !

                La même idée exprimée différemment :

                Si la note disait : ce n’est pas une note qui fait une musique,
                ... il n’y aurait pas de symphonie.
                Si le mot disait : ce n’est pas un mot qui peut faire une page,
                ... il n’y aurait pas de livre.
                Si la pierre disait : ce n’est pas une pierre qui peut monter un mur,
                ... il n’y aurait pas de maison.
                Si la goutte d’eau disait : ce n’est pas une goutte d’eau qui peut faire une rivière,
                ... il n’y aurait pas d’océan.
                Si le grain de blé disait : ce n’est pas un grain de blé qui peut ensemencer un champ,
                ... il n’y aurait pas de moisson.
                Si l’homme disait : ce n’est pas un geste d’amour qui peut sauver l’humanité,
                ... il n’y aurait jamais de justice et de paix, de dignité et de bonheur sur la terre des hommes.
                Comme la symphonie a besoin de chaque note,
                Comme le livre a besoin de chaque mot,
                Comme la maison a besoin de chaque pierre,
                Comme l’océan a besoin de chaque goutte d’eau,
                Comme la moisson a besoin de chaque grain de blé,

                l’humanité tout entière a besoin de toi, là où tu es, unique, et donc irremplaçable.

                bon pour qui traverse un coup de blues parfois, et se sent inutile....
                "Il faut avoir bcp de patience pour apprendre à être patient."

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                • #9
                  la femme, cette noble créature...

                  Le jeune roi Arthur

                  Le jeune roi Arthur tomba un jour dans une embuscade et fut fait prisonnier par le monarque d’un royaume voisin.

                  Le monarque aurait pu le tuer mais fut ému de la jeunesse et de la joie de vivre d’Arthur. Alors, il lui offrit la liberté contre la réponse à une question très difficile. Arthur aurait une année pour deviner la réponse et s’il ne pouvait la donner au bout de ce délai, il serait tué.

                  La question était : que veulent réellement les femmes ?

                  Une telle question laisserait perplexes les hommes les plus savants et, pour le jeune Arthur, cela semblait être une quête impossible. Comme c’était quand même mieux que la mort, il accepta la proposition du monarque de lui ramener la réponse au bout d’un an.

                  Il retourna dans son royaume pour interroger tout le monde : les princesses, les prostituées, les prêtres, les sages, le fou de la cour. Il parla à chacun mais personne ne put lui donner une réponse satisfaisante. Ce que la plupart des gens lui dirent fut d’aller consulter la vieille sorcière qui était la seule à pouvoir connaître la réponse. Le prix en serait élevé car la sorcière était connue dans tout le royaume pour les prix exorbitants qu’elle demandait.

                  Le dernier jour de l’année arriva et Arthur n’avait pas d’autre choix que d’aller parler à la sorcière. Elle accepta de répondre à sa question mais il devait d’abord accepter son prix. La vieille sorcière voulait épouser Gauvain, le plus noble des Chevaliers de la Table Ronde et le plus cher ami d’Arthur.

                  Le jeune Arthur fut horrifié : la vieille sorcière était bossue et terriblement laide, n’avait qu’une dent, sentait comme l’eau des égouts, faisait souvent des bruits obscènes, ... Il n’avait jamais rencontré de créature aussi répugnante. Il refusait de forcer son ami à l’épouser et d’endurer un tel fardeau. Gauvain, en entendant la proposition, parla à Arthur. Il lui dit que ce n’était pas un si terrible sacrifice pour sauver la vie d’Arthur et préserver la Table Ronde.

                  Ainsi, le mariage eut lieu et la sorcière répondit à la question :

                  Ce qu’une femme veut vraiment c’est de pouvoir décider de sa propre vie.
                  Chacun sut à l’instant que la sorcière venait de dire une grande vérité et que la vie d’Arthur serait épargnée.

                  Et ce fut le cas. Le monarque voisin épargna la vie d’Arthur et lui garantit une totale liberté.

                  Quel mariage ! Arthur était tenaillé entre le soulagement et l’angoisse. Gauvain se montrait agréable comme toujours, charmant et courtois. La vieille sorcière montra ses plus mauvaises manières. Elle mangea avec les doigts, rota et péta et mis tout le monde mal à l’aise.

                  La nuit de noce approcha. Gauvain se préparant psychologiquement pour la nuit de noce entra dans la chambre.

                  Mais quelle surprise ! La plus belle femme qu’il ait jamais vue se tenait devant lui. Gauvain était éberlué et demanda ce qui se passait. La beauté répondit que comme il avait été gentil avec elle (quand elle était la sorcière), elle serait la moitié du temps horrible et déformée et l’autre moitié une magnifique jeune fille. Quelle forme voulait-il qu’elle prenne le jour et la nuit ? Quelle question cruelle ! Gauvain commença à réfléchir à ce problème : pendant la journée une belle femme à montrer à ses amis mais la nuit, dans l’intimité une vieille et sinistre sorcière ? Ou bien dans la journée une hideuse sorcière mais la nuit une belle femme pour jouir des moments intimes ?

                  [Que feriez-vous ?

                  Ce que choisit Gauvain est écrit plus bas mais ne lisez pas avant d’avoir fait votre propre choix.

                  Après avoir mûrement réfléchi, puis fait votre choix, vous pouvez visualiser ]

                  [la reponse de Gauvain]

                  Le noble Gauvain répondit à la sorcière qu’il la laisserait choisir elle-même.






                  En entendant cela, elle annonça qu’elle serait belle tout le temps parce qu’il l’avait respectée et l’avait laissée décider elle-même de sa vie.

                  "Il faut avoir bcp de patience pour apprendre à être patient."

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                  • #10
                    pour être heureux

                    Bonjour tout le monde

                    Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits.
                    L'animal gémissait pitoyablement pendant des heures,et le fermier se demandait quoi faire. Finalement, il a décidé que l'animal était vieux et le puits devait disparaître de toute façon,ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne. Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider.
                    Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer le puits. Au début, l'âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier terriblement.
                    Puis, à la stupéfaction de chacun, il s'est tu.. Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu'il a vu. Avec chaque pelleté de terre qui tombait sur lui,l'âne faisait quelquechose de stupéfiant.Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus. Pendant que les voisins du fermier continuaient à pelleter sur l'animal,ilse secouait et montait dessus. Bientôt, chacun a été stupéfié que l'âne soit hors du puits et se mit à trotter !


                    Conclusion :
                    La vie va essayer de vous engloutir de toutes sortes d'ordures. Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer. Chacun de nos ennuis est une pierre qui permet de progresser. Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant
                    jamais. Ne jamais abandonner ! Secouez-vous et foncez !
                    Rappelez-vous les cinq règles simples pour être heureux :
                    1. Libérez votre coeur de la haine.
                    2. Libérez votr e esprit des inquiétudes.
                    3. Vivez simplement.
                    4. Donnez plus.
                    5. Attendez moins.

                    A ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres.
                    Dernière modification par Tamedit n-was, 25 mai 2007, 09h27.

                    Commentaire


                    • #11
                      "Un de ces jours......"

                      Mon ami ouvrit le tiroir de la commode de son épouse et en sortit un petit paquet enveloppé de soie : Ceci, dit-il, n'est pas un simple paquet, c'est de la lingerie". Il jeta le papier et observa la soie et la dentelle. "J'ai acheté ceci la 1ère fois que nous sommes allés à New York il y a 8 ou 9 ans, mais elle ne l'a jamais utilisé. Elle voulait le conserver pour une occasion spéciale. Eh bien....je crois que c'est le bon moment justement". Il s'approcha du lit et rajouta ce paquet à d'autres choses que les pompes funèbres emmèneraient. Sa femme venait de mourir.

                      En se tournant vers moi, il me dit : "Ne garde rien pour une occasion spéciale. Chaque jour que tu vis est une occasion spéciale!".

                      Je pense toujours à ces paroles, elles ont changé ma vie. Aujourd'hui, je lis beaucoup plus qu'avant et je nettoie moins. Je m'assieds sur ma terrasse et admire le paysage sans preter attention aux mauvaises herbes du jardin. Je passe plus de temps avec ma famille et mes amis, et moins de temps au travail.

                      J'ai compris que la vie est un ensemble d'expériences à apprécier.
                      Désormais, je ne conserve rien.
                      J'utilise mes verres en cristal tous les jours. Je mets ma nouvelle veste pour aller au supermarché si l'envie m'en prend.
                      Je ne garde plus mon meilleur parfum pour les jours de fete, je l'utilise dés que j'en ai envie.

                      Les phrases du type "un jour...." et "un de ces jours..." sont en train d'etre bannies de mon vocabulaire. Si cela en vaut la peine, je veux voir, entendre et faire les choses maintenant. Je ne suis pas tout à fait sur de ce qu'aurait fait la femme de mon ami si elle avait su qu'elle ne serait plus là demain (un demain que nous prenons tous à la légère). Je crois qu'elle aurait appelé sa famille, ses amis intimes. Peut-etre aurait-elle appelé quelques vieux amis pour faire la paix ou s'excuser pour une vieille querelle passée. J'aime penser qu'elle serait peut-etre allée manger chinois (sa cuisine préférée). Ce sont toutes ces petites choses non faites qui m'énerveraient beaucoup si je savais que mes heures étaient comptées. Je serai énervé de ne plus avoir vu certains de mes amis avec lesquels je devais me remettre en contact "un de ces jours".

                      Enervé de ne pas avoir écrit les lettres que j'avais l'intention d'écrire "un de ces jours...".
                      Enervé de ne pas avoir dit assez souvent à mes proches combien je les aime.

                      Maintenant, je ne retarde rien, ne repousse ou conserve rien qui pourrait apporter de la joie et des rires à nos vies. Je me dis que chaque jour est spécial...

                      Chaque jour, chaque heure, chaque minute est spéciale...

                      "Si tu reçois ce message, c'est que quelqu'un te veut du bien, et parce que toi aussi, de ton coté, tu as des gens qui te sont chers".



                      Un texte qu'on m'a donnée il y a deja qques temps et que je voulais vous faire partager.....



                      Carpe diem
                      "Il faut avoir bcp de patience pour apprendre à être patient."

                      Commentaire


                      • #12
                        Que de superbes récits et histoire de toi CalamityJane

                        merci beaucoup


                        Ce qu’une femme veut vraiment c’est de pouvoir décider de sa propre vie.
                        Oui c'est ce que on voit , mais est ce que les femmes arrivent à décider de leurs propre vie ?
                        (ps : c'est pas dans le sense femme = mineur )

                        Commentaire


                        • #13
                          Oui c'est ce que on voit , mais est ce que les femmes arrivent à décider de leurs propre vie ?
                          Maintenant oui, généralement, la femme d'aujourd'hui s'impose et décide, que ce soit dans le domaine des études, du travail, dans le choix du mari, etc...
                          "Il faut avoir bcp de patience pour apprendre à être patient."

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                          • #14
                            je pense pas CalamityJane et je trouve ça que c'est domage !

                            même aujourd'hui , dans nos jours la femme est toujours cette blonde , cette brune , qui fait les conneries pour être vue .

                            les féminsites qui ont brulé leurs soutient-gorges n'ont pas pensé à brulé leurs outils de maquillage .

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                            • #15
                              j'en ai beaucoup

                              Voilà une, j'espére qu'elle vous plaira:
                              Il était une fois deux frères, Tham et Hiên. À peine avaient-ils atteint l'adolescence que leurs parents moururent. Ils laissaient aux deux frères la maison des ancêtres, simple mais spacieuse, quelques champs, ainsi qu'une parcelle de bois et une petite cabane.

                              Tham était cupide, avare et orgueilleux. Hiên était bon, serviable et généreux. Quand les deux frères songèrent à se marier, Tham chercha l'épouse la plus riche possible, tandis que Hiên chercha une épouse selon son cœur, douce et aimante.

                              Sitôt les noces terminées, Tham vint voir son frère et lui dit : "Maintenant que nous avons chacun une épouse,la maison est trop petite pour nous 2. Comme je suis l'aîné, il est normal qu'elle me revienne. Mais je suis généreux, et je ne te laisserai pas sans rien. Tu prendras donc la petite cabane et le lopin de terre qui l'entoure.

                              Tu es travailleur, tu pourras aisément la réparer et exploiter ton champ." Hiên baissa la tête et alla parler à sa femme.

                              La petite cabane était dans un piteux état et la minuscule parcelle était dure et rocailleuse. Seul, tout au bout du champ, trônait un carambolier majestueux et encore plein de vigueur malgré son âge. Ses frondaisons ombrageaient la cabane et, en le voyant, Hiên songea qu'au moins, les Dieux ne l'avaient pas abandonné.

                              Hiên et sa femme travaillaient très dur mais ce qu'ils gagnaient ne suffirait pas à nourrir une famille, or la jeune femme attendait son premier enfant. Un soir que Hiên désespérait, sa femme le tira par la manche pour l'entraîner dehors. " Regarde le carambolier, dit-elle. Il croule sous les fruits. Bientôt je pourrai les cueillir et les vendre au village. Il y a toujours de l'espoir. "

                              Mais le lendemain, alors qu'il partait vers la forêt, Hiên aperçut un grand oiseau au plumage de feu qui était posé sur l'arbre et qui piquait les caramboles. " Bel oiseau, tu devrais avoir pitié de nous. Ces caramboles sont tout ce qu'il nous reste, si tu nous les enlèves, nous n'aurons plus rien ! "

                              Hiên ne savait pas que le bel oiseau était le légendaire Phénix. Aussi fut-il très surpris quand l'oiseau se tourna vers lui et lui répondit : "Je ne serai pas un ingrat, et vous serez largement récompensés pour m'avoir permis de picorer ces caramboles. Demande à ta femme de coudre un sac et revient me voir sur le carambolier demain matin."

                              Le lendemain Hiên se tint sous le carambolier, son sac à la main. Il entendit un bruit de plumes, leva la tête et aperçut le phénix qui se régalait encore des caramboles.

                              L'oiseau le prévint alors : " ouvre ton sac et place-le sous l'arbre ". Hiên obtempéra : au fur et à mesure que l'oiseau digérait les fruits, il lâchait dans le sac des pierres précieuses, des diamants et des pépites d'or. Avant même que le sac ne soit rempli, Hiên alerta le Phénix : " Arrête bel oiseau ! J'ai déjà bien plus qu'il ne me faut pour vivre. Je te remercie. Tu as été trop bon pour moi. "

                              Le Phénix reconnut la sagesse du jeune paysan et lui dit alors : "Si à nouveau la misère frappe à ta porte, regarde ce carambolier et tu te souviendras que le désespoir n'est jamais complet, qu'il existe toujours une solution cachée et que je ne serai pas loin si tu as besoin de moi."

                              .................................................. ............
                              La moralité:
                              Ce conte populaire recèle une grande vérité : la richesse n'est pas dans le nombre des numéraires, mais dans la possibilité de compter sur notre force, notre imagination, notre intelligence, notre créativité. Ces dons sont exploitables à l'infini ! Pour s'enrichir, il suffit de savoir tirer d'une situation donnée tous les avantages possibles.
                              Certes le carambolier est le Phénix sont providentiels, mais le bel oiseau n'a pas daigné parler au méchant frère. C'est à Hiên qu'il s'est adressé. Cela signifie que la chance ne sourit qu'à ceux qui entreprennent, qui sont courageux, persévérants, confiants dans leur capacité de réussir et qui ne rejettent pas la responsabilité de leur situation sur le Destin en accusant la
                              fatalité.

                              " Il y a deux sortes de gens sur terre : ceux qui trouvent les moyens de réussir et ceux qui trouvent des excuses à leur échec. "
                              M. de Cornouardt

                              " Avoir le courage d'entreprendre quelque chose est l'un des principaux facteurs du succès. "
                              James A. Worsham
                              " It's only when we follow our dreams, that we can discover the magic within ourselves" William Blake
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