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Le Brent a franchi à la baisse le seuil technique des 71 dollars le baril vendredi mais reste proche de ce seuil technique alors que les tensions en Iran et au Nigeria continuent d'inquiéter les investisseurs.
Vers 15h15 GMT, le Brent de la mer du Nord efface 1,07% à 69,96 dollars tandis que le brut léger US avance de 0,36% à 64,41 dollars.
Au Nigeria, des ouvriers de la compagnie nationale de pétrole ont commencé une grève illimitée pour réclamer une amélioration de leurs conditions de travail et les syndicats ont déclaré que le mouvement pourrait affecter la production de pétrole si leurs demandes n'étaient pas examinées d'ici quelques jours.
"Beaucoup d'interrogations demeurent au Nigeria. La grève pourrait encore se prolonger", souligne Tony Machacek, courtier chez Bache Financial.
Le président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, a de nouveau rejeté jeudi les appels occidentaux à interrompre ses activités nucléaires et mis en exergue l'avancement des travaux.
Le président des Etats-Unis George Bush a déclaré que Washington travaillerait avec les gouvernements d'Europe, de Russie et de Chine pour imposer un troisième cycle de négociations au Conseil de sécurité de l'Onu contre l'Iran.
Par Reuters
Vers 15h15 GMT, le Brent de la mer du Nord efface 1,07% à 69,96 dollars tandis que le brut léger US avance de 0,36% à 64,41 dollars.
Au Nigeria, des ouvriers de la compagnie nationale de pétrole ont commencé une grève illimitée pour réclamer une amélioration de leurs conditions de travail et les syndicats ont déclaré que le mouvement pourrait affecter la production de pétrole si leurs demandes n'étaient pas examinées d'ici quelques jours.
"Beaucoup d'interrogations demeurent au Nigeria. La grève pourrait encore se prolonger", souligne Tony Machacek, courtier chez Bache Financial.
Le président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, a de nouveau rejeté jeudi les appels occidentaux à interrompre ses activités nucléaires et mis en exergue l'avancement des travaux.
Le président des Etats-Unis George Bush a déclaré que Washington travaillerait avec les gouvernements d'Europe, de Russie et de Chine pour imposer un troisième cycle de négociations au Conseil de sécurité de l'Onu contre l'Iran.
Par Reuters