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Les droits de l'homme toujours baffoués dans le royaume du maroc

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  • Les droits de l'homme toujours baffoués dans le royaume du maroc

    L'agence SPS de la RASD a évoqué il y a quelques jours la repression des étudiants sahraouis au cours de laquelle une pauvre étudiante a perdue un oeil, un hebdo marocain le confirme.

    Les cités universitaires d’Agadir, Marrakech, Casablanca et Errachidia ont connu cette semaine des violences impliquant des étudiants sahraouis et les activistes amazighs. Bilan : un mort et des dizaines de blessés. Le conflit du Sahara se serait-il déplacé jusqu’aux amphithéâtres ?


    La cité universitaire de Casablanca a des airs de village-fantôme en ce lundi après-midi. La salle de sports, le centre culturel et autre buvette, d’habitude bondés, sont quasiment déserts. Alors que de nombreux internes sont cloîtrés dans leur chambre ou ont rejoint le domicile
    familial, une poignée d’entre eux, “surveillée” de loin par des agents des renseignements généraux, pas très discrets au demeurant, squatte la pelouse centrale de l’enceinte. Dehors, en plus d’une présence policière accrue, ce ne sont pas moins d’une dizaine de véhicules des Forces auxiliaires qui sont postés dans les ruelles avoisinantes. “Juste au cas où l’fouda reprend”, lance cet agent.

    Bataille rangée à Casablanca
    “L’fouda” en question remonte au vendredi précédent. Cet après-midi, vers quinze heures, une violente altercation opposant des étudiants sahraouis à d’autres étudiants fait un blessé grave parmi les premiers, Omar Sayeh. Alors que de nombreux témoignages font état d’un simple accrochage entre deux étudiants qui aurait dégénéré, côté sahraoui, on avance que “Sayeh a été attaqué à l’arme blanche en revenant de la mosquée par une milice proche de l’administration et composée de cinq individus”. Qui croire ? Dans les heures qui suivent, Sayeh transite par les urgences, avant de se voir transféré, en compagnie de son présumé agresseur, à l’arrondissement de police de Lissasfa Entre-temps, les étudiants sahraouis, largement minoritaires, sont jetés à la porte de la cité universitaire par le clan adverse, sous l’oeil indifférent des forces de l’ordre. Ils décident illico de se rendre à l’arrondissement où est détenu leur camarade, aux portes duquel ils passeront toute la nuit à réclamer sa libération. Auparavant, raconte un résident de la cité universitaire, ils nous ont bombardés de jets de pierre, tout en scandant des slogans séparatistes.

    Le lendemain matin, le groupe de Sahraouis est évacué manu militari et conduit sous escorte policière jusqu’aux portes de la cité universitaire. Mais une fois à l’intérieur, ils sont reçus par des étudiants toujours plus nombreux, mais cette fois-ci armés de sabres et de gourdins… La bataille qui s’engage est encore plus violente que celle de la veille : on compte de nombreux blessés parmi les Sahraouis, dont un étudiant blessé à la tête (ce qui lui vaudra une dizaine de points de suture) et un autre brûlé au dos “par un cocktail Molotov”, rapportent des témoins de la scène. Il faudra l’intervention des forces de l’ordre pour que “les Sudistes” puissent récupérer quelques affaires dans leurs chambres et requitter les lieux. “Nous ne reviendrons pas tant que l’on ne nous garantit pas notre sécurité et qu’on n’arrête pas cette milice connue de tous, qui sévit depuis des années dans l’impunité”, annonce Rahma, une étudiante sahraouie.

    Comme une traînée de poudre…
    Ce qui vient d’arriver à Casablanca est loin d’être un cas isolé. Ces deux dernières semaines, d’autres universités ont connu des évènements similaires. Fin avril, un étudiant sahraoui de l’Université Ibnou Zohr d’Agadir, pris en flagrant délit de fraude, est expulsé par l’administration. En signe de solidarité, les étudiants sahraouis veulent imposer à l’ensemble des étudiants d’interrompre leurs examens. Un étudiant berbère, qui a manifesté son désaccord avec cette décision, se fait violemment malmener. L’altercation met le feu aux poudres, provoquant des affrontements entre étudiants berbères et sahraouis. Ces derniers, peu nombreux, d’après ce témoin, “sont rapidement défaits à coups d’arme blanche et de matraque”.

    Le mercredi 9 mai, à Marrakech, des étudiants sahraouis de l’Université Cadi Ayad improvisent une marche pacifique entre la Faculté de droit et la cité universitaire, en signe de solidarité avec leurs camarades d’Agadir. “Dès qu’ils se sont mis à scander des slogans séparatistes et à insulter des sacralités, rapporte cette étudiante, les forces de l’ordre les ont dispersés violemment”. Résultat : plus d’une dizaine de blessés plus ou mois graves, parmi lesquels Soultana Khaya, une étudiante sahraouie qui a perdu un œil durant l’assaut. Le week-end suivant, alors que Casablanca est rattrapée par la violence, la Faculté des sciences et techniques d’Errachidia est au bord de l’explosion. Ici, les affrontements ont lieu entre les étudiants basistes d’Annahj Addimocrati et des étudiants amazighs. Alors que les premiers voient dans ce conflit “une nouvelle tentative du régime de mettre à terre le mouvement estudiantin”, cet activiste amazigh se veut plus clair : “Les basistes ont été ciblés parce qu’ils voulaient importer chez nous les idées des séparatistes dont ils sont d’ailleurs très proches”. Le bilan est cette fois très lourd : un mort, Abderrahim Hasnaoui, étudiant affilié au parti de Abdellah El Harif et une dizaine de blessés graves, dont deux, transportés à l’hôpital de Meknès, sont dans le coma. Aux dernières nouvelles, l’un des deux serait décédé.

    La date qui fâche
    Chaque année, à la même époque - le 20 mai étant la date anniversaire du Polisaio - les manifestations de violence impliquant des Sahraouis se répètent. “Les universités sont considérées par le Polisario comme une zone de guerre en territoire occupé”, explique ce connaisseur du dossier du Sahara. La règle étant de profiter de chaque occasion qui se présente pour faire de la provocation. “C’est d’ailleurs ce qui s’est passé à Agadir : l’expulsion de l’étudiant était une occasion inespérée”, explique Réda Taoujni, président de l’Association le Sahara marocain, qui poursuit : “Il y a une cellule chargée spécialement de coordonner toutes ces actions à partir de Laâyoune. Le but des manifestants est de se faire prendre en photo en train de se faire violenter par les forces de l’ordre. Des photos qui serviront à influencer la communauté internationale, très sensible au volet des droits humains”. Est-ce pour cette raison que les services de sécurité se sont abstenus, sauf peut-être à Marrakech, de réagir ? “Il est clair, explique ce militant associatif, qu’ils ont reçu l’ordre de rester sur leurs positions et de ne pas intervenir. Du coup, le Polisario ne peut prétendre que c’est le Pouvoir marocain qui a réprimé des Sahraouis”. Du côté sahraoui, on balaie ces arguments d’un revers de la main : “il n’y a rien de prémédité dans ce qui s’est passé. Et nous ne faisons que rendre compte au monde entier des exactions que l’on nous fait subir tous les jours”.
    On nous a dit que le polisario était mort, le voilà bien vivant et activant sur les terres de ses colonisateurs..

  • #2
    Le polisario finance les protestations !

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    • #3
      On nous a dit que le polisario était mort, le voilà bien vivant et activant sur les terres de ses colonisateurs..
      Ils t'ont rien dit d'autre ?

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      • #4
        de toute facon on n'a pas utiliser la méthode algérienne lors des évenements survenus en kabylie...au moin on a tué personne,les forces de l'ordre sont intervenues pour matter ces "robots" qui se maniféstent par télécommande à partir de tindouf....et tt sa en respectant la loi et on les présentant à la justice...

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        • #5
          >>>Le polisario finance les protestations !

          A penser qu'il aurait dû financer la construction des palais royaux, bien sûr qu'il finance, combat et encadre la population sahraoui, n'est-il pas le représentant de ce peuple ?

          Ce ne sont pas des robots, ce sont des sahraouis, bien sûr ils sont partout y compris à Laayoune, ce qui fait gémir bien entendu, le robot haute technologie du makhzen Touajni pour ne pas le nommer...je cite
          explique Réda Taoujni, président de l’Association le Sahara marocain, qui poursuit : “Il y a une cellule chargée spécialement de coordonner toutes ces actions à partir de Laâyoune. Le but des manifestants est de se faire prendre en photo en train de se faire violenter par les forces de l’ordre
          Il nous décrit lui le casting organisé par une cellule de contrôle qui a pris siège à Laayoun, mais il oublie que le peuple sahraoui le rejette lui et ses commanditaires.

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          • #6
            Ces affrontements sont le fruti de ce que tout le monde sait au Maroc, les raisons de leur declenchement a ete traite en long et en large dans toute la presse, ca a commence entre des altercations entre etudiants amazighs et etudiants sahraouis, les forces de l'ordre a mon avis auraient du intervenir au premier jet de pierre, qu'il vienne de n'importe quelle part. bien entendu , certains etudiants separatistes vont sauter sur l'occasion pour nous declarer qu'ils ont initié tout cela pour le polisario, mais les faits sont la et sont connues. D'ailleurs et des etudiants amazighs et des etudiants sahraouis vont passer en justice comme il se doit. Ils veulent manifester, c'est leur droit, s'attaquer aux forces de l'ordre, c'est hors la loi, point finale. Tu vas aux US et tu t'attaques a un policier, il te tire dessus et apres il te parle...

            citoyen, non le polisario n'est pas representant du peuple sahraoui, va-ton encore sortir les memes arguments?

            quant a Taoujni, je crois que tu n'as aucune de quoi tu parles quand tu dis qu'il vient du makhzen, il a deja mis le gouvernement en difficulté et s'est a maintes fois mis a contre courant de la position officielle marocaine. Il est de fait bcp plus credible que tu ne le penses. Et specialement aupres des sahraouis dont il defend les droits...
            Dernière modification par ayoub7, 25 mai 2007, 23h51.

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            • #7
              Citoyen

              T'es Invité a Bien Lire le rapport d'amnesty

              Le Voici le Lien

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              • #8
                ce sont des marocains qui doivent respecter les loi du royaume sinon ils ont leur passeports ils n'ont qu'a rejoindre almarrakchi à tindouf..on les empéchent pas comme vous faisez pour les séquéstrés de tindouf
                tu peux pas étudier dans des universités financées par les impots des marocains et les bléssé en demandant l'indépendance du sahara...de t facon c une minorité téléguidéé

                Commentaire


                • #9
                  driss, a la limite on va dire que dans le cadre de tes droits d'expression tu peux faire cela et plus, mais t'attaquer aux agents d'autorité ou a la propriete des autres est tout simplement inacceptable. et cela que la personne en question soit amazigh ou sahraoui.

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                  • #10
                    >>>T'es Invité a Bien Lire le rapport d'amnesty

                    Merci je n'ai pas l'habitude de vivre avec un fosse scéptique devant les yeux.

                    tout d'abord ce n'est pas un rapport, c'est un article écris par un journaliste payé par le palais, et de plus on parle d'un comunniqué qui n'existe nulle part, si vous êtes pas convaincus cherchez, voici la liste complète et elle accuse seulement le Maroc:
                    http://web.amnesty.org/library/fra-mar/index


                    Ceci est le dernier rapport dans la liste
                    Plusieurs graves violations des droits humains ont été commises depuis les années 1970, mais malheureusement, à cause de la censure, le monde n'en a rien su.»

                    Ali Salem Tamek, lors d'un entretien avec Amnesty International

                    La situation des droits humains au Sahara occidental continue de susciter de vives préoccupations. Dans cette région, les défenseurs des droits humains sont victimes d'atteintes à ces droits de la part des autorités marocaines. Ali Salem Tamek est défenseur des droits humains au Sahara occidental et membre du Collectif des défenseurs des droits de l'homme sahraouis. Il s'est entretenu avec Amnesty International le mois dernier au cours de sa dernière tournée en Europe

                    Ali Salem Tamek a été arrêté par les autorités marocaines à plusieurs reprises. Selon lui, Amnesty International a par deux fois contribué à sa libération.

                    «En 1992, j'ai été arrêté, jugé et condamné à cinq ans d'emprisonnement. J'ai passé presque un an en prison. En 1996 et aussi en 1997 j'ai été détenu pendant deux mois. En 1998, j'ai été condamné à deux mois avec sursis en raison de mes activités syndicales.

                    «La quatrième fois que j'ai été détenu, Amnesty International a aidé à me faire libérer, en 2004. J'ai été arrêté pour la cinquième fois à mon retour d'une tournée en Europe, le 18 juillet 2005, et Amnesty International a cette fois encore contribué à ma libération.»

                    En 2003, selon lui, les services du renseignement marocains ont tenté de recruter sa femme pour qu'elle espionne ses activités et celles de ses amis. Elle a refusé et a été enlevée avec sa fille non loin de la prison, et violée. Le 24 juillet 2007 on a interdit à Ali Salem Tamek d'entrer dans la province du Sahara occidental.

                    Ali Salem Tamek a rappelé les graves violations des droits humains qui ont été commises dans les années 1970, notamment des détentions politiques, des procès iniques et des déplacements forcés du Sahara occidental vers le Maroc.

                    «Il y a eu une vague d'enlèvements commis de manière aveugle et 357 hommes et femmes pris en otages ont passé environ seize ans dans des centres de détention secrets», a-t-il poursuivi.

                    Dans les années 1990, en raison de changements au sein d'organisations internationales et de l'énorme nombre de victimes de violations des droits humains, on a assisté à l'émergence d'un mouvement de défense des droits.

                    «Les Marocains et les Sahraouis coexistent pacifiquement au Sahara occidental, et ils travaillent ensemble dans des syndicats et des organisations politiques et de défense des droits humains au sein de la société civile marocaine. Pendant presque trente ans, il n'y a eu aucune violence d'aucune sorte», a souligné Ali Salem Tamek.

                    Les commissions des droits humains avec lesquelles il travaille ont déposé des plaintes auprès de la justice marocaine mais ces plaintes n'ont jamais donné lieu à des enquêtes. Des Sahraouis sont détenus dans des postes de polices où «ils sont torturés puis forcés à signer des déclarations écrites».

                    En 2006, un groupe de huit défenseurs des droits humains a été libéré en deux fois. Mais depuis, d'autres ont été arrêtés et ils sont dispersés dans plusieurs prisons marocaines.

                    Concernant l'action que mène Amnesty International en faveur des défenseurs des droits humains au Sahara occidental, Ali Salem Tamek a déclaré: «Avec les lettres qu'envoient ses membres du monde entier, les appels qu'elle lance et ses rapports sur les pays, Amnesty International exerce une pression considérable sur les pays occidentaux afin d'obtenir la libération des prisonniers politiques.»

                    Des militants des droits humains sahraouis au Sahara occidental attribuent à l'organisation le mérite d'avoir réparé certaines des injustices infligées à des défenseurs des droits humains sahraouis par les autorités marocaines. Ali Salem Tamek a ainsi ajouté: «Je pense qu'Amnesty International doit continuer de mener des actions de manière énergique car cela contribuera fortement à réduire le nombre de violations graves de ce type.»

                    Du fait de ses 22 grèves de la faim, dont une d'une durée de cinquante-deux jours, Ali Salem Tamek a souffert de maladies chroniques et a dû rester confiné dans une chaise roulante. Lorsqu'il a été détenu pendant dix jours en juillet 2005, avec cinq autres défenseurs des droits humains, sa famille a aussi enduré des souffrances.

                    «Nous avons été enlevés et séquestrés dans des conditions humiliantes. On nous a laissés sans nourriture ni boisson, menottés et les yeux bandés. Mes collègues [codétenus] ont été transférés dans la prison d'Okasha à Casablanca. Trois jours plus tard les autorités marocaines ont décidé de m'interner dans un hôpital psychiatrique.»

                    Au sujet des épreuves que sa famille a endurées, il a déclaré: «Il est difficile de supporter certaines pratiques qui vous blessent au plus profond de vous-même, comme le viol qu'a subi ma femme. Ce serait exagéré de dire que j'ai réussi à surmonter ça. Ce crime est gravé dans ma mémoire. J'ai du mal à raconter les détails de cette histoire. Je suis convaincu que ce qui est arrivé à ma femme est aussi arrivé à des centaines de femmes sahraouies au Sahara occidental, et à des centaines de femmes qui défendent les droits humains ou qui ont des liens avec des défenseurs des droits humains, partout dans le monde.»
                    http://web.amnesty.org/library/Index...pen&of=FRA-MAR
                    La productivité de la MAP est proche de zéro. Ayoub7 faut pas se fatiguer en cherchant ce rapport, il n'existe pas. Je suis presque sûr qu'en cherchant dans le plus profondes des fosses scéptiques on trouvera rien.

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                    • #11
                      hehe, non mon ami, il existe, et je le chercherais, la MAP ou n'importe quel journaliste ne peut pas se payer la tete d'Amnesty en citant des rapports fictifs, je comprends que c'est chose courant du cote de l'ENTV mais meme Amnesty International a un droit de regard sur ce qui s'ecrit sur elle, donc dors sur tes 2 lauriers de ce coté la. Ce dont je me mefie surtout s'est la SPS et le polisario qui "se citent" eux meme en voulant faire la pluie et le beau temps... Tu dois savoir ce dont je parle, tu sais, le Maroc qui soudoie l'ONU avec des parfums, le frere du roi qui s'exile, le Maroc sioniste, la famine au Maroc, etc...

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                      • #12
                        des etudiant sahraoui qui etudie au maroc dans des universites financée par le peuple marocain et qui veulent l'independance c trop cool.on se croierais en suisse.c comme si en france un etudiant corse scandait haut et fort que la corse n'est pas francaise.
                        mais a ce que je sait tous les etudiant sahraoui ont la bourse et ont des bon de transport gratuit,ce qui n'est pas le cas de la plupart des etudiant marocain.
                        le maroc comme notre algerie et notre belle tunisie ne sont pas la suisse alors faut s'attendre a ce que ces sahraoui soit juger et bastoner,sarkozy l'as fait pour moin que ca alors mohamed 6.passon

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                        • #13
                          La règle est simple, pas de rapport, donc propagande pas vraie. Tu devrais le savoir depuis le temps.
                          La SPS a annoncé qu'une jeune et belle étudiante sahraouie a été eborgnée par les forces de repression de leur majesté, non seulement personne ne s'en est émeut, audela du sort malheureux de cette pauvre jeune femme, la ruée vers les démentis a été immédiatement appliquée selon la démarche ROBOT. Mais manque de bol, telquel a joué dans le camps de la SPS. Bref SPS-telquel même combat voire partage et circulation des informations.
                          Faut pas trop abuser de google, à petites doses.

                          >>>des etudiant sahraoui qui etudie au maroc dans des universites financée par le peuple marocain et qui veulent l'independance c trop cool.on se croierais en suisse.c comme si en france un etudiant corse scandait haut et fort que la corse n'est pas francaise.

                          Des marocains par centaines de milliers qui creusent remplissent des sacs de phosphate, chargent des camions, pêchent le poisson, vendent et distribuent puis empochent le pognon des autres, on se croirait au moyen âge.
                          Les étudiants sahrouis n'on rien à cirer des bourses sinon ils se contenteraient du peu, non ils veulent leur indépendance et si possible leur propres universités.
                          cela fait 30 ans qu'on bastonne les sahraouis : il refusent d'apprendre ce mot honni "la mère patrie", rien à faire ca passe pas. Il faut bien accepter la réalité un jour.

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                          • #14
                            """“Les Sahraouis se croient supérieurs et ont droit à beaucoup de choses que les autres étudiants ne peuvent se permettre”. Les paroles de cette étudiante en droit à la Faculté de Casablanca ressemblent à celles de nombreux camarades. Aux Sahraouis, on reproche, en vrac, de ne pas faire la queue comme tout le monde au restaurant universitaire (“certains ne payent même pas leurs repas”) de prononcer souvent des propos racistes, de harceler les filles… Et puis il y a les avantages dont ils sont les seuls à bénéficier. Ils ont la priorité sur les chambres, se voient offrir des postes de télévision, ont le droit de ramener des filles dans les pavillons réservés aux hommes et, à l’occasion des vacances ou des fêtes, des cars sont réquisitionnés pour les accompagner gratuitement dans leur région d’origine. Mais ce qui fait véritablement enrager l’ensemble des étudiants, c’est l’impunité dont ils bénéficient. “Un Sahraoui n’est jamais coupable par ici, rapporte cette étudiante dépitée. Et on comprend pourquoi : l’administration ne veut pas prendre le risque de voir une simple altercation se transformer en manifestation séparatiste”."""
                            source: telquel

                            tel quel est un journal independant plutot antimonarchiste et qui a ete interdit plusieur fois.
                            lisez monsieur citoyen et juger de vous meme .
                            merci

                            Commentaire


                            • #15
                              merci paz, j'allais gaspiller 5 min encore a expliquer ou se place la ligne editorialiste de Telquel, les positions de Taoujni etc... Mais a quoi bon? les idees sont figees et signees SPS, on les repete comme de si c'etait des versets du coran.

                              Ok M. Citoyen, Telquel est makhzeniste, Taoujni est makzeniste, le polisario est un modele de mouvement democratique et respectueux des droits de l'homme, les jornalistes australiens sont makhzenistes, les ex-polisario qui se sont echappes sont makhzenistes aussi, les jeunes qui se sont enfuis de cuba aussi bien entendu, les US sont makhzenistes, l'espagne et la france bien evidement et en gros tout ce qui ne plait pas aux oreilles d'alger est makhzeniste. Continues avec cette politique de l'autruche, Bedjaoui l'a fait, il en a paye les pots casses. On verra si la prochaine nomination du futur MAE positionnera l'algerie vers une sortie de crise ou vers le statut quo. J'attends surtout de voir ta raction quand Alger mettra la pate et deviendra serieuse, j'imagine que le gouvernement algerien a ce moment deviendra "makhzeniste" aussi comme les 30 millions de marocains...

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