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Les entreprises espagnoles favorisent le marché algérien
Les entreprises espagnole s’intéressent de plus en plus au marché algérien, et ce, après l’approbation (en Algérie) du Programme de soutien à la relance économique pour la période 2005-2009. En effet, l’intérêt des firmes espagnoles pour le marché algérien s’accroit de plus en plus. C’est ce qu’a souligné un rapport sur la coopération avec les pays du Maghreb arabe, examiné par le gouvernement espagnol en Conseil des ministres.
Dans ce sens, il a noté que les deux pays ont convenu, lors de leur 3e réunion de haut niveau, d’établir un «partenariat économique et énergétique qui accompagnerait celui que l’Union européenne souhaite développer avec l’Algérie».
Lors de la derrière visite, 9 mai dernier, du ministre espagnol de l’Economie et des Finances, Pedro Solbes à Alger, ce dernier a indiqué que les entretiens qu’il a eus lui ont permis d’avoir une «vision globale de ce qui pourrait être fait ensemble et de donner une nouvelle impulsion au partenariat» entre les deux pays, affirmant que les «potentialités» pour développer ce partenariat sont «importantes».
Pour sa part, l’ambassadeur d’Algérie à Madrid, Mohamed Haneche, a souligné, au cours d’une rencontre qu’il a eue, en avril dernier, avec des entrepreneurs et investisseurs espagnols, que le Programme de soutien à la relance économique offre aux compagnies espagnoles d’importantes opportunités de partenariat et d’investissement dans les secteurs des infrastructures, de la construction, des PME et PMI, du tourisme, de l’agriculture et la pêche et des transports. Il est utile de noter que les investissements espagnols en Algérie ont atteint 950 millions de dollars à la fin 2006, répartis sur 12 projets, notamment le dessalement de l’eau de mer, la construction d’une centrale électrique hybride et, surtout, le projet de l’usine d’ammoniac d’un montant de 750 millions de dollars. «L’Algérie est un partenaire stratégique pour l’Espagne», selon le ministre espagnol de l’Industrie, du Tourisme et du Commerce, Juan Carlos Mathieu. Le volume des échanges commerciaux entre les deux parties est passé de 1,5 milliard d’euros au milieu de la dernière 1990, à quelque 5,5 milliards d’euros en 2006.
La nouvelle république
Dans ce sens, il a noté que les deux pays ont convenu, lors de leur 3e réunion de haut niveau, d’établir un «partenariat économique et énergétique qui accompagnerait celui que l’Union européenne souhaite développer avec l’Algérie».
Lors de la derrière visite, 9 mai dernier, du ministre espagnol de l’Economie et des Finances, Pedro Solbes à Alger, ce dernier a indiqué que les entretiens qu’il a eus lui ont permis d’avoir une «vision globale de ce qui pourrait être fait ensemble et de donner une nouvelle impulsion au partenariat» entre les deux pays, affirmant que les «potentialités» pour développer ce partenariat sont «importantes».
Pour sa part, l’ambassadeur d’Algérie à Madrid, Mohamed Haneche, a souligné, au cours d’une rencontre qu’il a eue, en avril dernier, avec des entrepreneurs et investisseurs espagnols, que le Programme de soutien à la relance économique offre aux compagnies espagnoles d’importantes opportunités de partenariat et d’investissement dans les secteurs des infrastructures, de la construction, des PME et PMI, du tourisme, de l’agriculture et la pêche et des transports. Il est utile de noter que les investissements espagnols en Algérie ont atteint 950 millions de dollars à la fin 2006, répartis sur 12 projets, notamment le dessalement de l’eau de mer, la construction d’une centrale électrique hybride et, surtout, le projet de l’usine d’ammoniac d’un montant de 750 millions de dollars. «L’Algérie est un partenaire stratégique pour l’Espagne», selon le ministre espagnol de l’Industrie, du Tourisme et du Commerce, Juan Carlos Mathieu. Le volume des échanges commerciaux entre les deux parties est passé de 1,5 milliard d’euros au milieu de la dernière 1990, à quelque 5,5 milliards d’euros en 2006.
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