Le tourisme intérieur accapare en Tunisie 15% des nuitées totales, alors que le flux maghrébin se situe à 45% du total des touristes en Tunisie en 2006.
Le tourisme maghrébin en Tunisie
2005 2006
Total touristes
2005 : 6,2 Millions
2006 : 6,4 Millions
Total Touriste Maghrébins
2005 : 2,5 Millions
2006 : 2,7 Millions
Touristes Libyens
2005 : 1,430 Millions
2006 : 1,5 Millions
Touristes Algériens
2005 : 0,930 Millions
2006 : 1,2 Millions
Touristes Marocains
2005 : 16,5 Mille
2006 : 20 Mille
Touristes Mauritaniens
2005 : 4,3 Mille
2006 : 4,400 Mille
Cette embellie s’explique par plusieurs facteurs, dont :
- l’absence de visas,
- un coût de revient relativement bas par rapport à l’Europe et au Maghreb,
- la communauté de langue et de culture,
- la proximité géographique et un accès terrestre direct, particulièrement pour les Libyens et les Algériens.
Le coût de séjour en Tunisie –particulièrement à Tunis- est attractif. D’ailleurs, une étude du cabinet conseil britannique, Mercer Human Resource Consulting, a classé Tunis, comme l’une des villes les moins chères du monde (133ème sur 144 villes étudiées).
Cependant, c’est un tourisme familial non conventionnel avec des logements en famille chez des amis, ou dans des appartements meublés, d’où la nécessité pour les professionnels tunisiens de s’adapter à ce tourisme particulier.
En effet, le tourisme de santé, la qualité de service, le shopping à bas prix, etc. sont surtout des atouts attractifs pour nos voisins.
Pour les touristes maghrébins et libyens en particulier, la voie aérienne est aussi facile que l’accès par voie terrestre (à 1 heure de vol de Tunis, à partir de Tripoli ou d’Alger, avec un coût moyen pour un aller/retour de 300 DT).
Selon l’ONTT, chaque visiteur maghrébin dépense en moyenne 350 D par semaine, ce qui a poussé certains commerces à Tabarka, Nabeul ou Sfax à s’y adapter avec par exemple, des ouvertures nocturnes.
Parallèlement, l’ONTT intensifie ses efforts de promotion en Libye et en Algérie. Ainsi, un projet de remise en service de la liaison ferroviaire entre Tunis et Annaba, ainsi que de la route maritime entre le port de la Goulette (Tunis) et celui d’Alger seraient en cours. Reste à s’adresser au marché marocain, pour l’instant «capté » par l’Espagne.
L’ONTT a l’obligation de s’adresser à ce segment du marché et à développer avec les professionnels du tourisme des produits adaptés et une promotion spécifique qui demeure relativement discrète sur les marchés libyens et marocains.
Le tourisme maghrébin en Tunisie
2005 2006
Total touristes
2005 : 6,2 Millions
2006 : 6,4 Millions
Total Touriste Maghrébins
2005 : 2,5 Millions
2006 : 2,7 Millions
Touristes Libyens
2005 : 1,430 Millions
2006 : 1,5 Millions
Touristes Algériens
2005 : 0,930 Millions
2006 : 1,2 Millions
Touristes Marocains
2005 : 16,5 Mille
2006 : 20 Mille
Touristes Mauritaniens
2005 : 4,3 Mille
2006 : 4,400 Mille
Cette embellie s’explique par plusieurs facteurs, dont :
- l’absence de visas,
- un coût de revient relativement bas par rapport à l’Europe et au Maghreb,
- la communauté de langue et de culture,
- la proximité géographique et un accès terrestre direct, particulièrement pour les Libyens et les Algériens.
Le coût de séjour en Tunisie –particulièrement à Tunis- est attractif. D’ailleurs, une étude du cabinet conseil britannique, Mercer Human Resource Consulting, a classé Tunis, comme l’une des villes les moins chères du monde (133ème sur 144 villes étudiées).
Cependant, c’est un tourisme familial non conventionnel avec des logements en famille chez des amis, ou dans des appartements meublés, d’où la nécessité pour les professionnels tunisiens de s’adapter à ce tourisme particulier.
En effet, le tourisme de santé, la qualité de service, le shopping à bas prix, etc. sont surtout des atouts attractifs pour nos voisins.
Pour les touristes maghrébins et libyens en particulier, la voie aérienne est aussi facile que l’accès par voie terrestre (à 1 heure de vol de Tunis, à partir de Tripoli ou d’Alger, avec un coût moyen pour un aller/retour de 300 DT).
Selon l’ONTT, chaque visiteur maghrébin dépense en moyenne 350 D par semaine, ce qui a poussé certains commerces à Tabarka, Nabeul ou Sfax à s’y adapter avec par exemple, des ouvertures nocturnes.
Parallèlement, l’ONTT intensifie ses efforts de promotion en Libye et en Algérie. Ainsi, un projet de remise en service de la liaison ferroviaire entre Tunis et Annaba, ainsi que de la route maritime entre le port de la Goulette (Tunis) et celui d’Alger seraient en cours. Reste à s’adresser au marché marocain, pour l’instant «capté » par l’Espagne.
L’ONTT a l’obligation de s’adresser à ce segment du marché et à développer avec les professionnels du tourisme des produits adaptés et une promotion spécifique qui demeure relativement discrète sur les marchés libyens et marocains.