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BERNE - Après deux ans d'un sommeil agité, un Néo-Zélandais a enfin pu mettre un nom sur son mal nocturne: une colonie de mites qui nichait dans son oreille.
"Pendant des années, je n'ai pas compris ce qui clochait", a confié Paul Balvert au quotidien "New Zealand Herald"."J'entendais continuellement des bourdonnements et des grincements et c'était pire la nuit (...)", a-t-il raconté. "Sans parler des démangeaisons. Plusieurs fois nuit et jour, je m'enfonçais les doigts et des cotons-tiges dans l'oreille pour apaiser les démangeaisons", a-t-il raconté.
Son médecin a bien tenté d'inonder le conduit auditif avec de l'eau, mais sans succès. Balvert s'est alors tourné vers une clinique spécialisée où une infirmière, Theresa O'Leary, a fini par dépister son mal.
A sa plus grande stupéfaction, elle a pu observer les mites "extrêmement actives", petites mais "bulbeuses et semi-transparentes" avec des oeufs sur toute la paroi du canal auditif. "Il y en avait une centaine. C'était un excellent foyer de reproduction", a-t-elle relevé. Après un premier échec pour aspirer les importuns, un microbiologiste a fini par trouver la solution: de l'antipoux.
Swissinfo
BERNE - Après deux ans d'un sommeil agité, un Néo-Zélandais a enfin pu mettre un nom sur son mal nocturne: une colonie de mites qui nichait dans son oreille.
"Pendant des années, je n'ai pas compris ce qui clochait", a confié Paul Balvert au quotidien "New Zealand Herald"."J'entendais continuellement des bourdonnements et des grincements et c'était pire la nuit (...)", a-t-il raconté. "Sans parler des démangeaisons. Plusieurs fois nuit et jour, je m'enfonçais les doigts et des cotons-tiges dans l'oreille pour apaiser les démangeaisons", a-t-il raconté.
Son médecin a bien tenté d'inonder le conduit auditif avec de l'eau, mais sans succès. Balvert s'est alors tourné vers une clinique spécialisée où une infirmière, Theresa O'Leary, a fini par dépister son mal.
A sa plus grande stupéfaction, elle a pu observer les mites "extrêmement actives", petites mais "bulbeuses et semi-transparentes" avec des oeufs sur toute la paroi du canal auditif. "Il y en avait une centaine. C'était un excellent foyer de reproduction", a-t-elle relevé. Après un premier échec pour aspirer les importuns, un microbiologiste a fini par trouver la solution: de l'antipoux.
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