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ALGÉRIE - Renforcement de l'arabe dans les écoles

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  • ALGÉRIE - Renforcement de l'arabe dans les écoles

    Article du courrier international:



    ALGÉRIE - Renforcement de l'arabe dans les écoles
    "Le président Bouteflika a très fermement rappelé à l'ordre les responsables de l'enseignement algérien : les écoles qui enseignent en langue étrangère sont appelées à disparaître", annonce le quotidien Le Jeune Indépendant. Le président visait les écoles privées en priorité, mais aussi tous ceux qui, dans le public, prônent l'utilisation d'une autre langue que l'arabe, favorisant ainsi des filières d'élite menant tout droit à la fuite des cerveaux.


    "La priorité est donnée à la langue arabe, unique langue officielle de l'Algérie. Je suis favorable à l'enseignement du français à partir de la première année du primaire, à condition qu'il soit enseigné comme première langue étrangère", a martelé le président, le 10 avril à Alger, lors de la conférence des ministres de l'Education de l'Union africaine.

    Les pays africains sont en effet confrontés à des problèmes inextricables, dont l'analphabétisme et la faiblesse du taux de scolarisation. L'éducation y est très souvent reléguée au deuxième plan. En Algérie, la démocratisation de l'enseignement est prioritaire et passe par l'obligation d'assurer un enseignement de qualité en arabe.
    L'ensengnement en arabe n'en fini de faire des poussées d'hystérie en Algérie

  • #2
    Vous écoutez Boutef?

    Vraiment amelle, vous comprenez quelque chose vous? Boutef s'adressait aux ministres de l'éducation de l'union africaine, et leur parle comme s'il s'adressait aux algeriens pour donner des directives ou orientations.

    De toute façon, lui, il est toujours rattaché au passé par l'ésprit de révolutionnaire, c'est pourquoi il parle toujours en opposant, en celui qui refuse l'existant, et qui ignore un fait: pas tous les pays africains sont arabophones, et puis le degré d'enseignement et d'importance du français dans l'enseignement correspond à chaque identité culturelle et linguistqie de chaque pays membre de l'union africaine. à moins si Boutef, se considère guide spirituel, politique, militaire, culturel de toute l'Afrique.

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    • #3
      Il n'en péche que les études supérieurs " dans le domaine scientifique " sont en français et que bon nombre d'étudiants souffrent lors du passage de l'enseignement de l'arabe au français. Ce n'est pas évident de faires de maths en français quand on a tout appris en arabe. Il faut un certain temps d'adaptation ce qui est une contrainte de plus.
      LEs marocains et les tunisiens ont, je pense, un meilleurs système éducatif notament en ce qui concerne l'enseignement des matières scientifiques. Il appreinnent les maths en arabes mais aussi en français ( la terminologie ) ce qui est un atout pour eux surtout quand on font plus tard des étdues à l'étranger.

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      • #4
        @ Amelle : L'ensengnement en arabe n'en fini de faire des poussées d'hystérie en Algérie

        __________________________________________________ _______________

        Et qui fera ses crises d'hystérie d'après toi ?

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        • #5
          Et si on fait un fellow up

          Salam,

          Une différence entre un discours dans un contexte précis et la réalité du terrain est à considéerer. Voici un suivi mentionné dans la presse algérienne: Le Quotidien Jeun Indépendant, date 13 Avril 2005:


          Elles maintiennent leur exigence d’enseigner les matières scientifiques en français

          Ecoles privées : encore de la résistance

          par Nassima Oulebsir

          Les écoles privées feront encore de la résistance. Elles maintiennent leur exigence d’enseigner les matières scientifiques en langue française, en dépit de la ferme décision annoncée par le président Bouteflika de les fermer si elles ne se conforment pas au programme officiel et à l’enseignement en langue arabe.

          «Nous maintenons notre position d’enseigner, au moins les matières scientifiques en langue française. Nous continuons toujours à réclamer cela. Le Président, dans son discours le 10 avril dernier, voulait expliquer que l’arabe doit être enseigné et pris en charge dans nos programmes d’enseignement.

          Et c’est ce que nous faisons depuis toujours.» C’est la réaction des responsables des écoles privées aux sévères instructions du président Bouteflika à son ministre de l’Education nationale de fermer les écoles ayant refusé l’enseignement en langue arabe.

          C’est du moins ce qu’une responsable d’une école privée située à Alger, Mme Benabdesselem, contactée hier, nous a affirmé. Toutes les écoles privées, du moins celles d’Alger, n’affichent aucune disponibilité à enseigner les sciences naturelles, les mathématiques et la physique en arabe.

          «Nous sommes des écoles qui veulent former des élèves bilingues», a indiqué notre interlocutrice. Contrairement aux programmes disponibles dans les écoles publiques, les nôtres forment «des élèves ouverts à la culture universelle».

          Sinon, à quoi donc sert-il d’ouvrir des écoles privées si les programmes et les méthodes sont identiques à ceux proposés dans les écoles publiques, s’interroge, Mme Benabdesslem ? «Si nous formons de la même qualité, ce n’est plus la peine de proposer nos offres», a-t-elle ajouté.
          De l'algérie je suis nostalgique

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