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Elles accordent une note particulière ces 9 558 femmes qui ont intégré le corps de la police.
Réparties entre policières (6 035) et agents assimilés (3 523) (état arrêté au 27 janvier 2006), ces femmes qui ont le grade de commissaire, d’officier, d’inspectrice, d’agent de l’ordre public, etc.
assument différentes fonctions tant dans l’administration centrale que dans les services décentralisés, par exemple, chef de Sûreté de wilaya, daïra ou urbaine, chef de brigade.
Quelques-unes sont chargées de la communication au sein des Sûretés de daïra dont dépendent les commissariats urbains et les brigades mobiles de police judiciaire. Quel est l’avis du citoyen sur l’intégration du «sexe faible» au sein de la police ? L’écrasante majorité est favorable à cette présence féminine «plus rassurante car le sourire est plus naturel» et surtout parce que «la femme est plus encline à la clémence».
La démarche de la DGSN a fait tache d’huile dans le monde arabe puisque, lors du dernier congrès arabe de la police tenu à Beyrouth, deux recommandations ont été faites : l’une pour «féminiser» les corps de police, et l’autre pour généraliser la police de proximité.
- La Nouvelle Republique
Réparties entre policières (6 035) et agents assimilés (3 523) (état arrêté au 27 janvier 2006), ces femmes qui ont le grade de commissaire, d’officier, d’inspectrice, d’agent de l’ordre public, etc.
assument différentes fonctions tant dans l’administration centrale que dans les services décentralisés, par exemple, chef de Sûreté de wilaya, daïra ou urbaine, chef de brigade.
Quelques-unes sont chargées de la communication au sein des Sûretés de daïra dont dépendent les commissariats urbains et les brigades mobiles de police judiciaire. Quel est l’avis du citoyen sur l’intégration du «sexe faible» au sein de la police ? L’écrasante majorité est favorable à cette présence féminine «plus rassurante car le sourire est plus naturel» et surtout parce que «la femme est plus encline à la clémence».
La démarche de la DGSN a fait tache d’huile dans le monde arabe puisque, lors du dernier congrès arabe de la police tenu à Beyrouth, deux recommandations ont été faites : l’une pour «féminiser» les corps de police, et l’autre pour généraliser la police de proximité.
- La Nouvelle Republique