Pour que le chomage baisse de facon significative, il faut que l'economie tourne plus vite et pour cela il faut exporter plus et attirer 2 fois plus d'IDE.
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Au moment où le ministre de l’Emploi et de la Solidarité en Algérie, M. Djamel Ould Abbès, a assuré la baisse du taux de chômage, qui ne dépasse pas 12,5%.
L’ex-ministre délégué de l’Economie allemand, Clause Benger, a déclaré que le taux de chômage dans notre pays reste élevé, car il avoisine, pour la catégorie des jeunes seulement, 30% lors des dernières années.
Les propos de l’ex-ministre confirment la non crédibilité des chiffres présentés par les autorités algériennes, qui sont en contradiction avec les déclarations des instances internationales, car le taux de chômage en Algérie prend en considération les contrats de pré emploi et les contrats de travail à durée déterminée, qui ne représentent pas des postes d’emploi permanents.
Dans son exposé de la situation économique de l’Algérie, M. Clause Benger a évoqué, lors du débat qui a été organisé hier à la Chambre algérienne de commerce et d’industrie, les points noirs qui continuent d’entraver la relance de l’économie nationale, malgré l’amélioration enregistrée ces dernières années.
Selon le responsable allemand, l’Algérie doit rattraper son retard dans le domaine des investissements étrangers directs, en plus de la privatisation, de la réforme du système bancaire et de la lutte contre la corruption. Concernant l’accord d’association avec l’Union européenne, l’ex-ministre allemand a appelé à libéraliser davantage le marché algérien, en diminuant la protection des produits nationaux.
30 mai 2007. El-Khabar
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Au moment où le ministre de l’Emploi et de la Solidarité en Algérie, M. Djamel Ould Abbès, a assuré la baisse du taux de chômage, qui ne dépasse pas 12,5%.
L’ex-ministre délégué de l’Economie allemand, Clause Benger, a déclaré que le taux de chômage dans notre pays reste élevé, car il avoisine, pour la catégorie des jeunes seulement, 30% lors des dernières années.
Les propos de l’ex-ministre confirment la non crédibilité des chiffres présentés par les autorités algériennes, qui sont en contradiction avec les déclarations des instances internationales, car le taux de chômage en Algérie prend en considération les contrats de pré emploi et les contrats de travail à durée déterminée, qui ne représentent pas des postes d’emploi permanents.
Dans son exposé de la situation économique de l’Algérie, M. Clause Benger a évoqué, lors du débat qui a été organisé hier à la Chambre algérienne de commerce et d’industrie, les points noirs qui continuent d’entraver la relance de l’économie nationale, malgré l’amélioration enregistrée ces dernières années.
Selon le responsable allemand, l’Algérie doit rattraper son retard dans le domaine des investissements étrangers directs, en plus de la privatisation, de la réforme du système bancaire et de la lutte contre la corruption. Concernant l’accord d’association avec l’Union européenne, l’ex-ministre allemand a appelé à libéraliser davantage le marché algérien, en diminuant la protection des produits nationaux.
30 mai 2007. El-Khabar
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