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La meilleure manière de se prémunir contre ce phénomène des enlèvements en Algérie qui suscite l’appréhension des parents et qui met en péril la vie des enfants figure parmi les recommandations essentielles du Comité international des droits de l’enfant aux Nations unies.
De passage hier sur les ondes de la Chaîne III à la veille de la célébration de la Journée mondiale de l’enfance, le 1er Juin de chaque année, Kamel Fillali, vice-président du dit comité insistera sur la nécessité de faire prendre conscience aux enfants des dangers qui les guettent dans la rue et leur apprendre à se méfier des inconnus et des personnes suspectes. Appelant à faire appliquer la loi dans toute sa rigueur contre les auteurs des crimes à l’égard des enfants, M. Fillali exigera un châtiment extrême et de très lourdes peines d’emprisonnement et ira même jusqu’à dire qu'il faut inculquer aux enfants l’idée d’arriver à décrire ces personnes qui leur paraissent suspectes et en faire un rapport détaillé à leurs enseignants qui devraient alors prendre attache avec les services de police.
Estimant que la protection de l’enfance passe essentiellement aussi bien par une prise de conscience et un travail de sensibilisation, que par l’implication des magistrats, de la police, de la gendarmerie et du personnel médical, M.Fillali louera les mérites du code de déontologie qui oblige le médecin à passer outre le secret médical, pour signaler systématiquement toute forme de violence corporelle subie par l’enfant. Suite au signalement qui, faut-il le souligner, doit être à grande échelle afin de pouvoir mener une enquête apte à faire le suivi sur toute forme d’abus, les autorités compétentes agiront. Le représentant du Comité international des droits de l’enfant à l’ONU abordera également la question très délicate des violences "dont on ne parle jamais" et citera en exemple "la différence sciemment faite entre enfant naturel né sous X et enfant légitime, les filles qui vendent des galettes dans les rues tout en étant exposées aux multiples risques, et la violence entre élèves et enseignants dans les écoles".
Pour conjuguer leurs efforts et canaliser les différentes compétences, l’hôte de la radio réitérera la proposition formulée par le mouvement associatif et qui consiste en la création d’un observatoire de l’enfant muni d’un budget conséquent, d’attributions diverses et de mécanismes solides, de manière à ce qu’il puisse recevoir des plaintes, d’enquêter et d’arriver à des résultats probants.
Par La Dépêche de Kabylie
De passage hier sur les ondes de la Chaîne III à la veille de la célébration de la Journée mondiale de l’enfance, le 1er Juin de chaque année, Kamel Fillali, vice-président du dit comité insistera sur la nécessité de faire prendre conscience aux enfants des dangers qui les guettent dans la rue et leur apprendre à se méfier des inconnus et des personnes suspectes. Appelant à faire appliquer la loi dans toute sa rigueur contre les auteurs des crimes à l’égard des enfants, M. Fillali exigera un châtiment extrême et de très lourdes peines d’emprisonnement et ira même jusqu’à dire qu'il faut inculquer aux enfants l’idée d’arriver à décrire ces personnes qui leur paraissent suspectes et en faire un rapport détaillé à leurs enseignants qui devraient alors prendre attache avec les services de police.
Estimant que la protection de l’enfance passe essentiellement aussi bien par une prise de conscience et un travail de sensibilisation, que par l’implication des magistrats, de la police, de la gendarmerie et du personnel médical, M.Fillali louera les mérites du code de déontologie qui oblige le médecin à passer outre le secret médical, pour signaler systématiquement toute forme de violence corporelle subie par l’enfant. Suite au signalement qui, faut-il le souligner, doit être à grande échelle afin de pouvoir mener une enquête apte à faire le suivi sur toute forme d’abus, les autorités compétentes agiront. Le représentant du Comité international des droits de l’enfant à l’ONU abordera également la question très délicate des violences "dont on ne parle jamais" et citera en exemple "la différence sciemment faite entre enfant naturel né sous X et enfant légitime, les filles qui vendent des galettes dans les rues tout en étant exposées aux multiples risques, et la violence entre élèves et enseignants dans les écoles".
Pour conjuguer leurs efforts et canaliser les différentes compétences, l’hôte de la radio réitérera la proposition formulée par le mouvement associatif et qui consiste en la création d’un observatoire de l’enfant muni d’un budget conséquent, d’attributions diverses et de mécanismes solides, de manière à ce qu’il puisse recevoir des plaintes, d’enquêter et d’arriver à des résultats probants.
Par La Dépêche de Kabylie
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