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L’Algérie recense, chaque année, plus de 8750 nouveaux cas de cancer des poumons. Comme on le sait cette maladie est considérée comme le cancer le plus meurtrier chez les hommes, mais touche aussi les femmes ces derniers temps, vu leur consommation de ce produit. Les dernières statistiques ont indiqué que 1,05 milliard de paquets de cigarettes sont consommés annuellement, dont 97 % sont importés.
Ce qui signifie que les décès provoqués par le tabac ont touché en Algérie, 15 000 personnes par an. L’Office national des statistiques (ONS) a également confirmé, de son côté, que le tabagisme est la deuxième cause de décès dans notre pays avec un taux de 21%, derrière les accidents de la circulation avec 28 %, alors que la consommation de drogues représente 10 %, suivie du sida et des boissons alcoolisées. Les cigarettes algériennes sont trois fois plus nocives que celles importées, selon le professeur Nafti Le professeur Salim Nafti, chef du service des maladies pulmonaires à l’hôpital Mustapha Bacha, a révélé dans un entretien à El Khabar que les cigarettes commercialisées en Algérie sont de seconde qualité et plus nocives et nuisibles que les cigarettes étrangères.
Ce qui explique que la majorité des fumeurs algériens ignorent, voire ne s’en inquiètent pas-, que les cigarettes qu’ils consomment sont de seconde qualité, car en plus du tabac, fabriqué en Algérie qui est de mauvais choix, a précisé le professeur, les cigarettes importées (97% de la consommation) sont de seconde qualité, et trois fois plus nocives et préjudiciables que les cigarettes européennes.
Selon le même professeur, le tabagisme tue, chaque année, plus de 5 millions de personnes de par le monde, dont 15 000 en Algérie, et il se pourrait que ce phénomène devienne " la première cause principale de décès ", en 2030, si la consommation actuelle persiste.
Malheureusement, depuis que l’Algérie est devenue un centre de transit important pour les réseaux de trafic de cigarettes à travers la Grand Sahara, où différentes formes de cigarettes sont apportées d’endroits inconnus, elle est confrontée à de graves et pénibles difficultés. D’un autre côté, ce produit qui s’accroît de plus en plus dans nos marchés à travers la contrebande, qui a pris de l’ampleur ces derniers temps, leur provenance d’usines clandestines en Afrique et en Chine, fait qu’elles ne sont soumises à aucun contrôle médical.
La sonnette d’alarme a été tirée à cet effet, par les spécialistes de la santé afin d’inciter l’Etat à prendre en charge en urgence ce fléau qui cause des milliers de victimes chaque année, alors que dans notre pays, on dénombre plus de trois millions de consommateurs de tabac qui mettent en péril la santé de leur voisinage et entourage.
Par la dépêche de Kabylie
Ce qui signifie que les décès provoqués par le tabac ont touché en Algérie, 15 000 personnes par an. L’Office national des statistiques (ONS) a également confirmé, de son côté, que le tabagisme est la deuxième cause de décès dans notre pays avec un taux de 21%, derrière les accidents de la circulation avec 28 %, alors que la consommation de drogues représente 10 %, suivie du sida et des boissons alcoolisées. Les cigarettes algériennes sont trois fois plus nocives que celles importées, selon le professeur Nafti Le professeur Salim Nafti, chef du service des maladies pulmonaires à l’hôpital Mustapha Bacha, a révélé dans un entretien à El Khabar que les cigarettes commercialisées en Algérie sont de seconde qualité et plus nocives et nuisibles que les cigarettes étrangères.
Ce qui explique que la majorité des fumeurs algériens ignorent, voire ne s’en inquiètent pas-, que les cigarettes qu’ils consomment sont de seconde qualité, car en plus du tabac, fabriqué en Algérie qui est de mauvais choix, a précisé le professeur, les cigarettes importées (97% de la consommation) sont de seconde qualité, et trois fois plus nocives et préjudiciables que les cigarettes européennes.
Selon le même professeur, le tabagisme tue, chaque année, plus de 5 millions de personnes de par le monde, dont 15 000 en Algérie, et il se pourrait que ce phénomène devienne " la première cause principale de décès ", en 2030, si la consommation actuelle persiste.
Malheureusement, depuis que l’Algérie est devenue un centre de transit important pour les réseaux de trafic de cigarettes à travers la Grand Sahara, où différentes formes de cigarettes sont apportées d’endroits inconnus, elle est confrontée à de graves et pénibles difficultés. D’un autre côté, ce produit qui s’accroît de plus en plus dans nos marchés à travers la contrebande, qui a pris de l’ampleur ces derniers temps, leur provenance d’usines clandestines en Afrique et en Chine, fait qu’elles ne sont soumises à aucun contrôle médical.
La sonnette d’alarme a été tirée à cet effet, par les spécialistes de la santé afin d’inciter l’Etat à prendre en charge en urgence ce fléau qui cause des milliers de victimes chaque année, alors que dans notre pays, on dénombre plus de trois millions de consommateurs de tabac qui mettent en péril la santé de leur voisinage et entourage.
Par la dépêche de Kabylie