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L’autre visage de Messali El Hadj

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  • L’autre visage de Messali El Hadj

    Il aimait jouer du violon et porter des habits de luxe


    L’autre visage de Messali El Hadj


    Messali El Hadj n’était pas seulement un dirigeant nationaliste, il aimait aussi jouer du violent et appréciait de porter des habits de luxe, et son plat favori était le couscous avec du lait caillé. C’est l’image que nous ont présentée les proches de l’auteur de la célèbre phrase : « Ce sol n’est pas à vendre », trente-trois ans après sa disparition.
    El Hadj Bachir Mesli, 76 ans, porte en lui un grand pan de la mémoire méssaliste, il a connu le Hadj lorsqu’il avait à peine 15 ans.
    Lorsque nous avons rencontré El Hadj Bachir, il avait hâte de nous parler de Messali l’homme à propos duquel il a déclaré : « On ne sait pas toute la réalité sur l’homme, qui a consacré sa vie à la défense de l’Algérie », avant d’ajouter : « Messali vient d’une famille pauvre et conservatrice, il est né dans la région de Safsaf à quelques kilomètres de Tlemcen, puis il a habité chez sa sœur dans l’ancien quartier de Rahiba au centre-ville ».
    Notre interlocuteur a continué de parler avec passion de son ami d’enfance en nous révélant : « Messali a rejoint l’école française Ibili, puis la zaouïa Rahma où il a appris le Saint Coran », et il a ajouté : « Son père était pauvre, c’est pourquoi il a tenté de décrocher un emploi, mais il n’y parvint pas, alors il a été appelé à effectuer son service militaire à Bordeaux en France, avant de revenir à Tlemcen, mais comme il ne trouvait toujours pas de travail, il a décidé de retourner en France, où il rencontra l’ةmir Khaled El Hachemi ».
    El Hadj Bachir confirme que les idées du dirigeant du mouvement nationaliste était en avance sur son âge et sur son époque, car « Messali est rentré secrètement de France, pour assister à un rassemblement à Saint-Eugène (Bouloughine actuellement), à Alger, où il a pris la parole et enflammé la foule en tenant une poignée de terre, et en déclarant : « Ce sol n’est pas à vendre ».
    Quant à El Hadja Memchaoui Ezahra, 93 ans, qui considérait Messali comme son oncle, elle a affirmé : « Il nous a élevé, c’était l’enfant préféré de son père. Ma mère aimait beaucoup Messali et elle l’a ramené à sa maison à Haï El Kouran. Messali aidait son père depuis sa plus tendre enfance lors des repas et des offrandes ».


    03-06-2007
    Par A. Benchadli/ Traduit par F. L

  • #2
    Messali a rejoint l’école française Ibili
    L'école "al-abili"au nom du maître de Ibn Khaldoun, grand mystique, faqih, mathématicien et philosophe natif de Tlemcen.
    ᴎᴏᴛ ᴇᴠᴇᴎ ᴡᴙᴏᴎɢ!

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    • #3
      Salam

      vous pouvez également lire
      Madame Djanina Messali Benkelfat répond au livre de René Gallisot
      ‘’Algérie colonisée, Algérie algérienne 1870 1962 La république Française et les indigènes’’
      Voici le texte intégrale de la lettre envoyée par Mme. Djanina Messali Benkelfat en réponse au livre de M. René Gallisot :

      sur ce lien http://elkhabar.key4net.com/FrEn/lir...a=70712&idc=51

      Djanina Messali est la fille de Messali Alhadj de sa 2éme femme ( française).
      si tu sais partages ,si tu ne sais pas demandes

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      • #4
        elle a bien fait de répondre et d'eclaircir tous ces points trés importants en souvenir de son pere qui dérange , meme aprés sa mort .....

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        • #5
          Messali a rejoint l’école française Ibili, puis la zaouïa Rahma où il a appris le Saint Coran
          Encore un qui a étudié le Coran dans l'une de ses fameuses zaouias, vous savez ces fameuses mosquées construites autour du tombeau d'un saint.....
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • #6
            Salam

            @ZWINA
            "Encore un qui a étudié le Coran dans l'une de ses fameuses zaouias"
            pendant le colonialisme ,on avait soit les écoles françaises qui n'étaient pas ouvertes à tout le monde et avec des programmes scolaires qui n'ont rien avoir avec notre identité. soit nos écoles ,les zaouias et les mosquées ou on enseignait l'arabe, les sciences islamiques et les initiations aux mathématiques
            pour le tombeau ,c'est une autre histoire, c'est vrai la visite des tambeau n'a rien avoir avec notre religion ,mais un homme qui étudiait dans une zaouias sa veut pas dire un homme qui visitait son tambeau
            si tu sais partages ,si tu ne sais pas demandes

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            • #7
              Abir

              Non mais seulement veut simplement dire que pendant la révolution ce sont bel et bien les Zaouias qui ont continué à enseigner le Coran malgré l'interdiction et qui ont formé ceux qui allaient devenir les acteurs dominants de la guerre d'Algérie. Alors respect à tous ces Moudjahidines de la première heure dont beaucoup oublient le rôle important qu'ils ont joué pour l'indépendance.
              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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              • #8
                @zwina

                Salam
                désolée ma soeur, je t'avait mal compris a cause des points de suspension
                si tu sais partages ,si tu ne sais pas demandes

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