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Du nouveau pour les Algériens désirant se rendre au Canada. De nouvelles mesures facilitant l’obtention du visa sont actuellement en gestation au niveau de l’ambassade du Canada à Alger. C’est M.Robert Peck, ambassadeur du Canada en Algérie lui-même qui a fait part de cette information.
Hier, au cours d’un point de presse qu’il a animé à la Safex d’Alger dans le cadre de la 40e édition de la Foire internationale d’Alger, M.Peck a fait valoir la nécessité de revoir les conditions d’octroi de visa aux Algériens.
Et de cette révision, il est attendu la mise en place d’un nouveau système actuellement en phase de préparation, et dont les contours seront portés prochainement sur la place publique.
Ce nouveau système, que M.Peck a présenté comme une nécessité impérieuse vise à mettre fin au «calvaire» des Algériens qui s’entassent par dizaines, voire par centaines devant l’ambassade du Canada pour l’obtention de ce précieux document.
A l’entendre parler de cette situation, Robert Peck donnait l’impression d’être offusqué par ces files interminables d’Algériens devant l’ambassade. «C’est une situation à laquelle il faut mettre un terme définitivement» a-t-il clamé. D’où la nécessité de mettre en place «un nouveau système plus fiable qui sera connu de tous dans un futur très proche», a-t-il promis.
L’ambassadeur du Canada en Algérie a également mis l’accent sur le fait que l’accueil des immigrés désirant se rendre dans son pays est un choix politique privilégié chez le gouvernement canadien. Bien sûr, des critères s’imposent et certains Algériens ont plus de chance que d’autres eu égard à leurs études, leur état civil etc. Toujours est-il que le diplomate a conseillé les candidats à l’immigration de se rendre directement à l’ambassade, sans passer par aucun bureau de liaison.
Notons au passage que la communauté algérienne établie au Canada est estimée à quelque 50.000 ressortissants. M.Robert Peck a, par ailleurs, émis publiquement le souhait de voir le ministre des Participations et de la Promotion des investissements M.Hamid Temmar, se rendre au Canada dans le cadre d’une visite officielle.
S’agit-il d’une invitation? L’ambassadeur répond par l’affirmative.
D’autre part, le conférencier qui a rappelé que le premier vol Alger-Montréal est prévu pour le 15 de ce mois, ne manquera pas de souligner l’achat par la compagnie Tassili Airlines de quatre nouveaux appareils auprès du constructeur Bombardier et qui seront réceptionnés au plus tard le mois de juillet prochain. Rappelons dans ce cadre que la compagnie algérienne a paraphé en juillet 2006 ce contrat d’achat de ces appareils de type Q400 et ce, pour un montant global de 84 millions de dollars US.
Quant à la trentaine de locomotives acquises par la Sntf auprès d’un autre constructeur canadien pour un coût de 82 millions de dollars US, une partie sera réceptionnée tout prochainement.
De manière générale, M.Robert Peck a estimé que la récente visite en Algérie, de Mme Michaelle Jean, gouverneure générale du Canada, a permis de hisser au plus haut niveau les relations bilatérales établies entre les deux pays. Dans le cadre de la 40e édition de la Foire internationale, une quarantaine d’entreprises canadiennes exposent, depuis hier, à la Safex.
Par L'Expression
Hier, au cours d’un point de presse qu’il a animé à la Safex d’Alger dans le cadre de la 40e édition de la Foire internationale d’Alger, M.Peck a fait valoir la nécessité de revoir les conditions d’octroi de visa aux Algériens.
Et de cette révision, il est attendu la mise en place d’un nouveau système actuellement en phase de préparation, et dont les contours seront portés prochainement sur la place publique.
Ce nouveau système, que M.Peck a présenté comme une nécessité impérieuse vise à mettre fin au «calvaire» des Algériens qui s’entassent par dizaines, voire par centaines devant l’ambassade du Canada pour l’obtention de ce précieux document.
A l’entendre parler de cette situation, Robert Peck donnait l’impression d’être offusqué par ces files interminables d’Algériens devant l’ambassade. «C’est une situation à laquelle il faut mettre un terme définitivement» a-t-il clamé. D’où la nécessité de mettre en place «un nouveau système plus fiable qui sera connu de tous dans un futur très proche», a-t-il promis.
L’ambassadeur du Canada en Algérie a également mis l’accent sur le fait que l’accueil des immigrés désirant se rendre dans son pays est un choix politique privilégié chez le gouvernement canadien. Bien sûr, des critères s’imposent et certains Algériens ont plus de chance que d’autres eu égard à leurs études, leur état civil etc. Toujours est-il que le diplomate a conseillé les candidats à l’immigration de se rendre directement à l’ambassade, sans passer par aucun bureau de liaison.
Notons au passage que la communauté algérienne établie au Canada est estimée à quelque 50.000 ressortissants. M.Robert Peck a, par ailleurs, émis publiquement le souhait de voir le ministre des Participations et de la Promotion des investissements M.Hamid Temmar, se rendre au Canada dans le cadre d’une visite officielle.
S’agit-il d’une invitation? L’ambassadeur répond par l’affirmative.
D’autre part, le conférencier qui a rappelé que le premier vol Alger-Montréal est prévu pour le 15 de ce mois, ne manquera pas de souligner l’achat par la compagnie Tassili Airlines de quatre nouveaux appareils auprès du constructeur Bombardier et qui seront réceptionnés au plus tard le mois de juillet prochain. Rappelons dans ce cadre que la compagnie algérienne a paraphé en juillet 2006 ce contrat d’achat de ces appareils de type Q400 et ce, pour un montant global de 84 millions de dollars US.
Quant à la trentaine de locomotives acquises par la Sntf auprès d’un autre constructeur canadien pour un coût de 82 millions de dollars US, une partie sera réceptionnée tout prochainement.
De manière générale, M.Robert Peck a estimé que la récente visite en Algérie, de Mme Michaelle Jean, gouverneure générale du Canada, a permis de hisser au plus haut niveau les relations bilatérales établies entre les deux pays. Dans le cadre de la 40e édition de la Foire internationale, une quarantaine d’entreprises canadiennes exposent, depuis hier, à la Safex.
Par L'Expression
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