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100 000 émigrés attendus en juin
Le plus grand arrivage des émigrés à Oran aura lieu durant la première quinzaine du mois de juin, avec un nombre de 100 000 personnes, avons-nous appris hier de sources crédibles, proches de l’entité portuaire.
« Grâce à l’introduction de nouvelles mesures en matière d’accueil, nous éviterons à nos compatriotes émigrés les tracasseries bureaucratiques auxquelles ils étaient confrontés jusqu’ici », estime-t-on au niveau de l’inspection principale des douanes du port d’Oran. Entrée en vigueur au mois de mai, la mesure d’assouplissement des formalités douanières permettra de faciliter les procédures de débarquement et d’embarquement à plus de 100 000 émigrés vacanciers, attendus au niveau du port d’Oran. Selon un responsable des services des douanes, une récente convention signée entre l’ENMTV et les services des douanes contribuera à favoriser l’introduction du titre de passage de douane (TPD), un document officiel que les émigrés redoutaient, compte tenu des lenteurs administratives pour son obtention. Mais, la nouveauté réside sans doute dans l’aménagement des aires de passage destinées aux familles nombreuses motorisées. Dans le même ordre d’idées, un couloir vert destiné aux personnes âgées et malades a été aménagé à l’effet d’accroître les mesures d’assouplissement envisagées cette année par les douanes algériennes. En 2006 et à la même période, les servies des douanes avaient recensé 70% des passagers en provenance de France et d’Espagne, lesquels avaient transité par le passage « spécial famille » et 30% des voyageurs avaient franchi le couloir « rouge », une zone douanière destinée à débusquer certains émigrés qui n’hésitent pas à transgresser la réglementation en vigueur. Enfin, notre interlocuteur a insisté sur le respect par les passagers de la réglementation douanière algérienne qui tend plutôt à protéger les émigrés contre les mauvaises surprises des fausses déclarations à l’arrivée au port d’Oran. Il estime que des campagnes de sensibilisation à l’endroit des émigrés doivent être menées au niveau des représentations officielles, en France et ailleurs, notamment au niveau des consulats et des agences de voyages.
A. Br. El Watan
« Grâce à l’introduction de nouvelles mesures en matière d’accueil, nous éviterons à nos compatriotes émigrés les tracasseries bureaucratiques auxquelles ils étaient confrontés jusqu’ici », estime-t-on au niveau de l’inspection principale des douanes du port d’Oran. Entrée en vigueur au mois de mai, la mesure d’assouplissement des formalités douanières permettra de faciliter les procédures de débarquement et d’embarquement à plus de 100 000 émigrés vacanciers, attendus au niveau du port d’Oran. Selon un responsable des services des douanes, une récente convention signée entre l’ENMTV et les services des douanes contribuera à favoriser l’introduction du titre de passage de douane (TPD), un document officiel que les émigrés redoutaient, compte tenu des lenteurs administratives pour son obtention. Mais, la nouveauté réside sans doute dans l’aménagement des aires de passage destinées aux familles nombreuses motorisées. Dans le même ordre d’idées, un couloir vert destiné aux personnes âgées et malades a été aménagé à l’effet d’accroître les mesures d’assouplissement envisagées cette année par les douanes algériennes. En 2006 et à la même période, les servies des douanes avaient recensé 70% des passagers en provenance de France et d’Espagne, lesquels avaient transité par le passage « spécial famille » et 30% des voyageurs avaient franchi le couloir « rouge », une zone douanière destinée à débusquer certains émigrés qui n’hésitent pas à transgresser la réglementation en vigueur. Enfin, notre interlocuteur a insisté sur le respect par les passagers de la réglementation douanière algérienne qui tend plutôt à protéger les émigrés contre les mauvaises surprises des fausses déclarations à l’arrivée au port d’Oran. Il estime que des campagnes de sensibilisation à l’endroit des émigrés doivent être menées au niveau des représentations officielles, en France et ailleurs, notamment au niveau des consulats et des agences de voyages.
A. Br. El Watan