Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Neutralisation de deux terroristes dont un « émir

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Neutralisation de deux terroristes dont un « émir

    Des sources sûres ont révélé que l’on a pu identifier l’un des deux terroristes abattus, samedi en début d’après-midi, par les forces de sécurité aux environs de Skikda. Il s’agit de « l’émir » de la sixième région B. Tarek, alias « El Mouthana », qui était précédemment « émir » de la Salafiya El Hora (Salafiya libre), avant de rejoindre le Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat (GSPC), connu actuellement sous le nom d’Al Qaïda du Maghreb islamique.
    Les mêmes sources ont précisé que « l’émir » El Mouthana était derrière de nombreux assassinats et opérations terroristes. Les mêmes sources ont ajouté que ce terroriste pourrait bien être le commanditaire principal de l’explosion qui a secoué le quartier de Daksi à Constantine à la veille des élections législatives, et qui avait provoqué un mort et 14 blessés. Le deuxième terroriste abattu, qui est aussi « émir », n’a toujours pas été identifié, et qu’il activait dans la wilaya de Boumerdès, selon la même source.
    Par ailleurs, la région d’El Harouch dans la wilaya de Skikda était, hier, en état d’alerte, à cause des doutes de certains citoyens sur la présence d’une voiture piégée de marque Clio, sur la Route nationale N° 44, reliant El Harrouch à Skikda, ce qui a nécessité l’intervention des services de la brigade itinérante de la Police judiciaire, appuyés par la brigade spécialisée dans le désamorçage de bombes, aux environs de huit heures du matin, et il s’est avéré après la fouille du véhicule que la voiture contenait à l’intérieur de l’alcool.
    elkhabar
    Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

  • #2
    Zouabri a égorgé sa femme et deux de ses enfants
    Le dernier « émir » du GIA devant le juge

    La cour criminelle d’Alger examinera, le 18 juin prochain, le dossier du dernier « émir » du Groupe Islamique Armé (GIA) impliqué dans de nombreuses affaires de terrorisme, il s’agit de Nourredine Boudiaf, qui a succédé à « Rachid Abou Tourab » à la tête du GIA, et qui a été capturé par les services de sécurité, en 2005, dans la région Est de la capitale.
    Le procès-verbal de l’interrogatoire devant le juge d’instruction, dont El Khabar a obtenu une copie, indique que cinq chefs d’inculpation sont retenus contre Boudiaf à savoir appartenance à un groupe terroriste, atteinte à la sûreté de l’Etat et aux biens des personnes, possession d’armes de guerre, propagation de meurtre, faux et usage de faux. Le document judiciaire indique que Boudiaf a reconnu de nombreux faits qui lui sont reprochés, dont l’assassinat de membres des forces de sécurité et de civils dans les régions où il activait depuis qu’il avait rejoint les groupes terroristes depuis 1993, c'est-à-dire Blida, Médéa, Aïn Defla et Chlef.
    Il a aussi révélé qu’il a assisté en 2001, au massacre de 13 femmes et de 15 enfants, dans les fiefs du GIA à Djebel Zekkar à Miliana, par l’ancien « émir » Antar Zouabri, et parmi les victimes se trouvaient sa femme et ses deux enfants.
    Boudiaf a déclaré au juge d’instruction que Zouabri les avait égorgés pour « qu’ils ne tombent pas entre les mains de l’armée ».
    Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

    Commentaire

    Chargement...
    X