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Fidel Castro : "Je ne suis pas un zombie!"

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  • Fidel Castro : "Je ne suis pas un zombie!"

    Les américains ont voulu enterrer Fidel Castro un peu trop vite. Ce dernier, après un séjour dans le monde des morts, est revenu plus souriant que jamais. Pour prouver qu'il n'est pas devenu un zombie, il s'est affiché dans les bras du vietnamien Nong Duc Manh sans le mordre!

    - clip : Fidel Castro : "Je suis vivant et entier!"


  • #2
    waw il est en pleine forme
    « Tout ce qui peut être compté ne compte pas nécessairement. Et tout ce qui compte ne peut pas nécessairement être compté. »

    Albert Einstein

    Commentaire


    • #3
      Au passage..

      VietnamNong Duc Manh
      Secrétaire général du parti communiste

      (JPEG) Reconduit à la tête du Parti communiste en avril 2006, Nong Duc Manh s’est vengé des médias libéraux et dissidents qui avaient osé publier des informations et des commentaires gênants pendant la préparation du congrès du parti. Il a fait promulguer, quelques mois plus tard, une loi sanctionnant les médias qui diffament le "prestige de l’Etat" ou attaquent les "acquis révolutionnaires et les héros nationaux". Dans la foulée, quatre publications ont été suspendues. Et l’un des proches du chef du parti, l’idéologue Nguyen Duc Binh, a déclaré : “Les discussions ouvertes sont dangereuses." Nong Duc Manh a également ordonné à la police politique de renforcer son contrôle sur les journalistes et militants des droits de l’homme du "Bloc 8406", qui ont défié le pouvoir en lançant deux revues indépendantes. Au moins vingt journalistes dissidents ont été convoqués, menacés ou placés sous surveillance pour leurs écrits en faveur de la démocratie. Considéré comme un réformateur économique, Nong Duc Manh se méfie également d’Internet. Il a fait arrêter une dizaine d’internautes en 2006, accusés notamment d’avoir demandé plus de démocratie sur des forums de discussion.



      Prédateurs
      Derrière les violations de la liberté de la presse se cachent des responsables et des commanditaires. Qu’ils soient président, ministre, chef d’état-major, chef religieux ou leader d’un groupe armé, ces prédateurs de la liberté de la presse ont le pouvoir de censurer, emprisonner, enlever, torturer et, dans les pires des cas, assassiner des journalistes. Pour mieux les dénoncer, Reporters sans frontières dresse leurs portraits.


      NB t'es sur que c'est pas un chanteur du Buena Vista Social Club?

      Commentaire

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