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Quelques projets au Sénégal.

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  • Quelques projets au Sénégal.

    Projet Immobilier "Tours Minam"

    Ce projet consiste en deux tours jumelles de 33 étages dans le quartier des affaires sur la place de l'indépendance de la ville de Dakar.
    Ces deux tours enjamberont les allées Robert Delmas par une arche surplombant la chaussée. Divers aménagements y seront opérés, Centre commercial, salle de conférences, etc.



    LE COMPLEXE KAWSARA : 176 milliards de F.CFA d’investissement pour 15.000 emplois à la réalisation et 10.000 à l’exploitation



    Le parc de sept tours, dont quatre tours jumelles, sortira de terre dans quatre ans, sur l’actuel emplacement du stade Assane Diouf. Un ensemble dont les blocs de béton, de verres et de ciment se mireront dans les eaux de l’Océan Atlantique, du haut de leurs 21 niveaux, sur la Corniche. Au commencement de ce projet, il y a la vision futuriste et la volonté politique clairement affichée du chef de l’Etat, le président Abdoulaye Wade, de faire de Dakar, l’une des plus grandes métropoles de l’Afrique. En matière d’affaires et de services.

    Cette ambition a trouvé un écho favorable auprès d’un investisseur pakistanais saoudien, Cheikh Nazir Ahmed, qui s’est associé à des compatriotes pour porter le projet de construction de la “ Cité des affaires Kawsara ”, qui est en fait un complexe immobilier de standing international et qui coûtera la bagatelle de 176 milliards de francs CFA. Ce financement est déjà bouclé, selon des sources proches du dossier. Cette nouvelle cité sera bâtie sur l’emplacement du stade Assane Diouf, qui et actuellement un repaire de bandits.

    “ La Cité des affaires Kawsara ” abritera un parking souterrain de 1.500 places, qui permettra de régler partiellement, à tout le moins, la question de la mobilité urbaine dans la ville de Dakar. Elle comprendra également deux plateaux commerciaux, avec des enseignes internationales de la grande distribution, quatre tours jumelles R+21 étages à usage de bureaux et d’appartements, de même qu’un Palais de Congrès multi-fonctionnel de 6.000 places. La mise en œuvre du projet, qui devra commencer avant le 31 décembre (démarrage des terrassements et travaux de sol) devra générer 15.000 emplois pendant quatre ans, pour une masse salariale globale estimée à une cinquantaine de milliards CFA.

    Elle permettra aussi la création de 10.000 emplois permanents nouveaux.
    Dernière modification par zek, 05 juin 2007, 10h41.
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

  • #2
    Dakar marina en construction







    SEA Plaza

    Dernière modification par zek, 05 juin 2007, 10h47.
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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    • #3
      beau et impressionnant

      cela sera un nouveau Abidjan
      .
      .
      ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
      Napoléon III

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      • #4
        Le Sénégal a amplement dépasser la Côte d'Ivoire, car il y a d'autres projets comme l'aéroports etc. Abidjan a eu sa révolution qui lui a porté malheur s'y j'ose dire.
        Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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        • #5
          effectivement apres abijan dans les annes 80 c'est dakar qui sera le noyaux de west africa.

          Bravo au senegal j'espere que les pays maghrebain et arabes vont aidez ce pays musulman pour qu'il deviens le centre du commerce west african.

          je sais que le maroc travaille beacoup avec le senegal dans tous les domaines et maintenant les emiratis j'espere que les algerien et saoudien et tous les autres pays arabes petrolier vont investire comme les emiratis et marocain.

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          • #6
            Faits Et Chifrres

            N'oublions pas la communauté libanaise qui participe à la stabilité et à la richesse du pays, 60 % des PME du Sénégal appartient à cette communauté.

            -----------------------------------------------------------------------

            Budget du Sénégal est passé de 500 milliards en 2000 à 1400 milliards en 2006
            Population au 31 décembre 2004 : 10. 564 .303 habitants
            Taux de croissance réel 5,1%
            Taux d’inflation entre 1et 2%
            Notation standard et Poors : B+ à long terme
            Fiscalité des entreprises en baisse dont : impôt sur les sociétés de 35 à 33% et à partir de 2006 à 25%
            Effacement de la dette à hauteur de 1300 milliards qui concerne 14 pays africains par le FMI
            Baisse des impôts sur les salaires depuis janvier 2005, fiscalité pétrolière en baisse également
            Suppression en 2007 de la taxe d’égalisation (2% et 5%)
            Budget de 1229,5 milliards en 2005, augmentation de plus de 130% en 5 ans
            Budget d’investissement 45% du budget total
            Budget de fonctionnement 55% du budget total dont 40% à l’éducation et 10% à la santé
            Taux de chômage de 12,9% (mais existe sous emploi)
            Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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            • #7
              Cyber Village



              Un « cyber-village » ? L’idée est de Me Abdoulaye Wade. Le projet a été dévoilée hier, à l’hôtel Méridien-Président, à de nombreux acteurs du secteur privé oeuvrant ou non dans le domaine des nouvelles technologies, par M. Tidiane Seck, directeur général de la Direction informatique de l’Etat (DIE) et de M. Ousmane Sy, conseiller spécial du président de la République pour les NTIC.

              Le concept est celui d’un parc technologique à la manière de la Silicone Valley, et surtout de Bangalore en Inde, l’un des parcs les plus importants au monde dans ce domaine avec une population de 85.000 personnes. Etait d’ailleurs présent à la réunion l’ambassadeur de l’Inde dont le pays devrait apporter son assistance à la réalisation du projet. La société sud-africaine, African Business Ventures (ABV), réputée être le plus grand cabinet d’architecture en Afrique du Sud, a été invitée à présenter son expertise pour la mise en œuvre du projet. Le cyber-village devrait être abrité par le site actuel du Technopôle de Dakar.

              Il bénéficiera aussi de l’expérience de l’un des plus grands cabinets d’architecture intérieure d’Afrique du Sud ainsi que de l’ingénierie d’une société qui a « géré les plus grands projets ». ABV entend doter le cyber-village d’une technologie ouverte sur le futur, avec une sécurité sans faille aussi bien au niveau de l’environnement que des bâtiments. Facilité d’accès, facilité de circulation, flexibilité dans les aménagements intérieurs, ont-ils plaidé, seront prioritaires dans la conception qui tiendra cependant largement compte des besoins des utilisateurs (les entreprises privées qui vont s’y installer). Des espaces de loisirs sont également prévus (restaurants, cafés, gymnase, etc.) ainsi que des centres d’éducation et de formation, des banques, des résidences, etc. Tout cela pour tenir compte des « nouvelles façons de travailler ». Il est normal que les entrepreneurs privés, à qui l’on demande d’être partenaires du projet, se posent des questions. Beaucoup de questions, en effet, ont été soulevées devant les représentants de l’Etat. Ce cyber-village n’est-il pas tout juste un autre nom pour le Technopôle qui n’a jamais véritablement décollé ? Avant de l’initier, ne convient-il pas d’examiner pourquoi le Technopôle n’a pas été une réussite ? Ne faut-il pas commencer par élaborer un cadre légal d’intervention des sociétés ? A-t-on pensé aux problèmes d’accès de la zone choisie (le Technopôle), avec tous ces embouteillages que connaît notre capitale ? Pourquoi ne pas installer le projet dans la nouvelle ville ou nouvelle capitale prévue ? Comment compte-on régler le problème de la formation et du déficit d’ingénieurs en informatique ? Comment va-t-on le financer ? Et d’autres questions encore.

              Concernant le financement, M. Sy a révélé que, conformément à la philosophie de Me Wade et du NEPAD dont le chef de l’Etat est l’un des principaux concepteurs, le financement doit être l’affaire des entreprises privées. L’Etat n’a pas la vocation de fournir les 40 millions de dollars nécessaires à la réalisation d’un tel bijou (plus de 22 milliards de FCFA, au cours actuel), étant donné les nombreuses priorités auxquelles il doit faire face (éducation, santé, infrastructures routières, etc.), mais plutôt de « mettre le cadre » et faciliter les discussions avec le consortium chargé de la réalisation, en l’occurrence l’African Business Ventures dont les dirigeants ont présenté la quintessence du projet. Quant aux coûts de location ou des acquisitions, « ils doivent être discutés avec le consortium [car] nous, Etat, nous ne serons pas impliqué », a tenu à préciser le conseiller du chef de l’Etat pour les NTIC.

              Faut-il attendre l’existence d’un cadre légal adéquat avant de lancer le projet, comme l’a notamment préconisé M. Ibrahima Sall de la société Silicon Valley ? Pour M. Tidiane Seck, patron de la Direction informatique de l’Etat, « il ne faut pas voir les choses de manière séquentielle ». Elles doivent plutôt se faire « en même temps » dans le cadre d’une « interactivité » et d’un « débat national » auquel devraient participer tous les acteurs. Abondant dans le même sens, M. Sy a cité l’exemple d’Internet qui, au début, s’est fait sans aucun cadre normatif, les tentatives de réglementation étant survenues, et se poursuivant, après. Toutefois, les craintes des uns et des autres viennent aussi du fait que l’idée du Technopôle, qui date de dix ans, n’est pas d’aujourd’hui. « Nous tournons en rond, on discute de tout », a averti un chef d’entreprise qui émet des doutes sur l’efficacité d’une telle initiative sans, auparavant, un diagnostic des causes de l’échec du Technopôle et sans la mise en place d’un cadre légal adéquat. M. Samba Sène, directeur de la Sonatel, a même interpellé les représentants du gouvernement sur le fait qu’à quinze mois de la fin du monopole de la Sonatel, l’Etat n’ait pas encore donné sa « feuille de route » (c’est la nouvelle expression à la mode), car on ne sait toujours pas « ce qui va se passer en juillet 2004 », date de la fin du monopole de l’opérateur traditionnel de télécommunications.

              M. Ousmane Sy a, cependant, révélé que lorsque le président de la République lui a parlé de ce projet, sa première démarche fut d’aller voir comment ça marche ailleurs. « Je suis allé regarder pourquoi [le Technopôle] n’a pas fonctionné ». Etats-Unis, Europe et Inde ont été les différentes étapes de son pèlerinage technologique. « Notre pays, a-t-il affirmé, paraphrasant Me Wade, a assez perdu de temps et il lui faut aller très vite ». Le temps perdu, c’est, par exemple, le fait que, depuis 1996, on ait parlé de régulation des télécommunications, ce que les nouvelles autorités ont réalisé en huit mois avec la création de l’ART (Agence de régulation des télécommunications). Le temps perdu, c’est aussi ce projet de réseaux voies et données du gouvernement qui date de dix ans, alors que la DIA va maintenant le boucler avant janvier 2004. Autres exemples cités, le vieux projet d’informatisation de l’état civil (qui date de quinze ans) et que la DAF serait en train de réaliser. Et si la deuxième licence sur le mobile avait été donnée un peu n’importe comment, la prochaine licence va l’être prochainement dans les règles de l’art. M. Sy estime donc, comme pour rassurer les sceptiques, qu’il y a « une nouvelle philosophie de l’Etat » en matière de gestion des Nouvelles technologies. Si le Technopôle était plus un espace où l’on vendait des terrains aux entreprises, le cyber-village découle, lui, d’un concept, d’une idée, a encore déclaré M. Sy, qui dit aussi que l’Etat est en train de travailler sur les incitations : « Nous allons mettre toute une batterie de lois pour inciter les gens à venir, et l’organisme qui s’occupe d’incitation financière en Inde va venir au Sénégal » pour nous appuyer.

              A quand la pose de la première pierre de ce cyber-village, a demandé un participant ? « Je ne sais pas », a répondu le conseiller du chef de l’Etat pour les NTIC, insistant sur le fait que cela dépendrait des discussions entre le consortium et les entreprises du secteur privé.

              ALAIN JUST COLY
              9 mai 2003. Source Le Soleil
              Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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              • #8
                Sicap Keur Gorgui

                Construction de 173 villas et de 235 appartements, pour la 1ère phase. Localisation : sur la VDN (site pyrotechnie)
                Des Résidences sélectionnées pour votre Confort




                Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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                • #9
                  Marina Port Saly

                  Premier port de plaisance de l’Afrique de l’Ouest, Marina Port Saly est situé au Sénégal, sur la “petite côte”, à 80 Km au Sud de Dakar où le soleil brille 365 jours par an.
                  La marina s’étend entre l’Océan et l’élégant Country Golf Club de Saly.
                  Vous pourrez ainsi pratiquer la navigation de plaisance, la pêche sportive (Espadons, Marlins, Dorades Coryphénes ....) ou encore jouer au golf sur un parcours de rêve.

                  La Marina:
                  C’est un bassin de 350 places sur 14 hectares et 4800 m de quais entièrement aménagés avec eau et électricité. Le port comprendra tous les services, comme l’avitaillement en nourriture, boissons et carburants, ainsi qu’un chantier naval, une école de voile, un centre de pêche sportive ainsi qu'un club de plongée sous-marine.

                  L’immobilier:
                  Marina Port Saly comprendra au total 109 villas, une résidence de tourisme, 1500 m2 de boutiques et commerces, une plage privée avec restaurant.

                  Les Villas:
                  Toutes les villas sont vendues avec un emplacement pour bateau inclus dans le prix.
                  Les surfaces habitables sont de 80 à 200 m2. Toutes les villas bénéficient de larges et profondes terrasses en teck.

                  Il existe 3 types de villas :
                  .Les villas Lagons, les pieds dans l'eau, avec garage à bateau de 3 et 4 pièces (82, 100 et 114 m2)
                  .Les maisons de pêcheurs, les pieds dans l’eau, avec garage à bateau (197 m2)
                  .Les maisons de golfeurs, avec piscine privée (en option) et place de port. (197 m2)

                  Les boutiques:
                  Elles s’étendront sur 1 500 m2 et comprendront un shipchandler, un bar, une alimentation, une boulangerie, une agence de voyage et de location de véhicules, des boutiques de modes…

                  Sur la plage, un restaurant de 320 m2 avec piscine.

                  L’ensemble du domaine sera clos et sa surveillance sera assurée 24h/24 bien qu’il n’y ait aucun problème majeur de sécurité au Sénégal.

                  Le programme
                  MARINA PORT SALY, c'est:
                  350 places de port de 8 à 17 mètres
                  109 villas de 80 à 200 m2
                  1 500 m2 de boutiques de luxe
                  1 restaurant "les pieds dans l'eau"
                  1 centre de pêche sportive
                  1 école de voile
                  1 centre de plongée

                  Enfin, une plage de sable fin ... et un magnifique golf de 18 trous à 100 mètres de votre villa!

                  Villa Lagon
                  A PARTIR DE 110 500 €
                  Surface habitable 82 m2
                  Surface totale terrasses 59 m2

                  + garage à bateaux et garage pour un véhicule

                  Les villas se composent d'un séjour de 24 m2, toilettes invités, d'une cuisine, 2 chambres et 2 salles de bains chacune avec dressing.
                  En façade terrasse ponton de 3,50 m de profondeur.

                  La villa est entièrement climatisée


                  Livraison 1er semestre 2007.

                  Commercialisation octobre 2006



                  Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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