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COUR CRIMINELLE DE BOUMERDES
La cour criminelle de Boumerdès, qui siège en seconde session de l’année courante, a rendu un verdict concernant la mise en cause des éléments composant la sériate de Zemmouri, liée au GSPC Al-Qaïda Maghreb. 33 accusés ont été cités dans un dossier concernant 3 attentats à l’explosif visant l’ancien député du FNA, l’ex-P/APC, désormais sénateur et le patriote H. Lounès. La bombe visant le premier magistrat de la commune a été déposée au stade de la localité tandis que deux engins piégés ont été placés sous les châssis de véhicules respectifs des deux autres victimes.
Les trois bombes ont été mises à feu à l’aide de commandes à distance (téléphone portable). Fort heureusement, les trois personnalités s’en étaient sorties indemnes de ces agressions. Selon l’acte d’accusation, c’est l’“émir” Telha et les frères Hadjerès, qui écument la région de Zemmouri, qui ont chargé, en 2006, les deux frères R. Toufik et Mohamed neveux de l’élu précédemment cité, de coordonner ces attentats. Lors de son interrogatoire par les policiers de Zemmouri et le juge d’instruction, R. Toufik a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Il a même divulgué des complicités non soupçonnées par les services de sécurité. A l’issue des délibérations, la cour a rendu son verdict : 27 accusés en situation de fuite ont été condamnés à la prison à vie, R. Toufik, R. Mohamed et B. Mohamed Amine, présents à l’audience, ont écopé chacun de 10 de prison ferme ; par contre, 3 accusés ont été acquittés.
La cour criminelle de Boumerdès, qui siège en seconde session de l’année courante, a rendu un verdict concernant la mise en cause des éléments composant la sériate de Zemmouri, liée au GSPC Al-Qaïda Maghreb. 33 accusés ont été cités dans un dossier concernant 3 attentats à l’explosif visant l’ancien député du FNA, l’ex-P/APC, désormais sénateur et le patriote H. Lounès. La bombe visant le premier magistrat de la commune a été déposée au stade de la localité tandis que deux engins piégés ont été placés sous les châssis de véhicules respectifs des deux autres victimes.
Les trois bombes ont été mises à feu à l’aide de commandes à distance (téléphone portable). Fort heureusement, les trois personnalités s’en étaient sorties indemnes de ces agressions. Selon l’acte d’accusation, c’est l’“émir” Telha et les frères Hadjerès, qui écument la région de Zemmouri, qui ont chargé, en 2006, les deux frères R. Toufik et Mohamed neveux de l’élu précédemment cité, de coordonner ces attentats. Lors de son interrogatoire par les policiers de Zemmouri et le juge d’instruction, R. Toufik a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Il a même divulgué des complicités non soupçonnées par les services de sécurité. A l’issue des délibérations, la cour a rendu son verdict : 27 accusés en situation de fuite ont été condamnés à la prison à vie, R. Toufik, R. Mohamed et B. Mohamed Amine, présents à l’audience, ont écopé chacun de 10 de prison ferme ; par contre, 3 accusés ont été acquittés.
(Le soir d'algérie)
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