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Etudiant cherche Ecole informatique en france

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  • Etudiant cherche Ecole informatique en france

    Bonjour .
    Je suis algerien , j'habite tlemcen j'ai 20 ans .
    j'ai fait des étude , j'ai niveau terminale ( pas eux mon bac )
    j'ai un and d'etude informatique maintenance
    j'ai un diplome TS informatique chez un privée ( Programmatioin web ...etc )


    Et je cherche une école en france privée pour aller faire des étude concernant l'informatique quelque soit .

    Si quelqu'un a une idée , parce que j'ai déja fait une demande , et en m'as annulée , parce que j'ai pas de bac , si quelqu'un pourrai me donner une idée
    Merci d'avance .

  • #2
    Je sais que cette réponse ne te satisfera pas, mais passe le bac d'abords.
    En France, avec le Bac seul tu n'as rien, mais sans le bac tu n'as rien.

    Toutes les écoles d'informatique privées sérieuses requièrent le bac.

    Il faut faire attention, il y a beaucoup de pseudo-instituts de formation non reconnus par l'Etat, qui se feront une joie de t'inscrire à ce que tu veux.
    Pour peu que tu leur reverses des droits d'incriptions exorbitants.
    "Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas." Geronimo

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    • #3
      J'ai pas envi de me faire encore une foi perdre une année pour passer mon bac , 3 Fois c'est largement suffisant .

      Alors vous me conseillez une école , meme si ce n'est pas une bonne école , essenciel , moi je veux de l'informatique .

      Je veux apprendre .

      Commentaire


      • #4
        Tu serai deja en france il n'y a pas de souci mais ce n'est pas ton cas. En effet tu peut effectuer un BTS IRIS (reseau informatique) en Alternance, une semaine en entreprise, et une semaine a l'ecole, tu repasse ton bac a la fin de la premiere année pour pouvoir passer l'examen de BTS.
        un de mes amis la fais, mais bon faut deja être ici et pouvoir travailler.

        Commentaire


        • #5
          Merci beaucoup pour votre répense , mais est ce que vous pouvez me donnez l'adresse ou le site web de cette école ?
          Merci infiniment .

          Commentaire


          • #6
            tu a la filiere privée :

            http://www.ectei.fr/ (1 ecole parmis beaucoup d'autres)


            ou le public :

            http://www.diderot.org/fr/formations/bts/bts_iris.jsp (1 ecole parmis beaucoup d'autres)


            Il te suffit de faire une recherche sur BTS IRIS sur google pour trouver des ecoles ou des informations sur le programme et les ecoles

            Commentaire


            • #7
              Bonjour

              Je crains que le bac ne soit le minimum requis pour être admis pour des éudes en France



              ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR, RECHERCHE ET TECHNOLOGIE



              ÉTUDIANTS ÉTRANGERS
              Conditions d'inscription des étudiants étrangers dans les établissements d'enseignement supérieur
              NOR : MENS0202443C
              RLR : 430-2a
              CIRCULAIRE N°2002-214
              DU 15-10-2002
              MEN - DES A6
              INT
              MAE
              Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie, chancelières et chanceliers des universités ; aux vice-recteurs ; aux présidentes et presidents et directrices et directeurs des établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel ; aux directrices et directeurs d'établissements publics à caractère administratif ; aux directrices et directeurs des centres régionaux des œuvres universitaires et scolaires o L'accueil des étudiants repose sur le principe d'autonomie reconnue par la loi. La décision de leur inscription revient exclusivement aux établissements d'enseignement supérieur.
              En vertu du droit communautaire, les ressortissants d'un État membre de la Communauté européenne ou d'un État partie à l'accord sur l'Espace économique européen sont placés dans la même situation que les nationaux.
              La procédure concernant l'accueil et la formation des étudiants étrangers en France est réglementée par un ensemble de textes référencés en annexe.
              Elle s'articule autour des principes suivants :
              - exigences de niveau équivalent pour les étudiants étrangers et français ;
              - formalités d'inscription remplies dans leur pays, sauf pour les étrangers résidant en France ;
              - répartition de l'ensemble des étudiants entre les établissements.
              Afin d'améliorer les conditions de formation des étudiants étrangers et de les placer dans une situation optimale de réussite, il me paraît souhaitable de rappeler quelques règles et principes auxquels les universités, instituts et écoles doivent veiller lors de la préinscription ou inscription des étudiants étrangers.

              I - Situation scolaire ou universitaire du candidat

              Le type d'établissement et la filière de formation envisagée déterminent les modalités de la procédure d'inscription.
              Pour s'inscrire en CPGE, STS, IUT,IUP, en 2ème ou 3ème cycle, dans une formation qui recrute par concours ou sur titre, l'inscription se fait auprès de l'établissement concerné sans procédure particulière. Je vous demande d'accorder une attention particulière à la situation scolaire ou universitaire des candidats s'inscrivant directement à ces niveaux d'études.
              En revanche, les étudiants étrangers titulaires d'un diplôme étranger de fin d'études secondaires sollicitant une première inscription en premier cycle universitaire, sont obligatoirement soumis à la procédure d'admission préalable, sauf cas de dispense prévus par le décret n° 71-376 du 13 mai 1971 modifié.
              De plus, un examen adapté à la formation envisagée vérifie leur niveau de compréhension de la langue française, sauf dans les cas prévus par le décret précité. Une note égale ou supérieure à la moyenne ne vaut pas inscription dans l'établissement sollicité, la décision d'admission relevant exclusivement de son ressort.
              Lors de la procédure de préinscription et d'inscription, il importe d'examiner avec attention le parcours pédagogique des candidats afin de minimiser les risques d'erreurs d'orientation ou d'échecs.
              Doivent être précisément étudiés les diplômes obtenus à l'étranger ainsi que les relevés de notes, en tenant compte de leur ancienneté et en vérifiant leur authenticité. Tout document falsifié ou toute fausse déclaration entraîne une interdiction d'inscription dans tous les établissements publics français. Cette sanction est prononcée à l'issue d'une procédure disciplinaire intentée par le président ou le directeur de l'établissement à l'encontre de l'étudiant coupable de malversation frauduleuse.
              Doivent également être examinés les motivations du candidat, les raisons qui l'ont guidé à choisir telle filière, mention et établissement et son projet professionnel ou de recherche s'il envisage cette voie.
              Ces éléments doivent permettre aux autorités universitaires compétentes de déterminer, précisément, si la formation envisagée correspond au profil pédagogique du candidat.
              J'ajoute qu'il convient de tenir compte, de l'appréciation des services de coopération et d'action culturelle dans les postes diplomatiques, lorsque ceux-ci émettent un avis sur les candidatures. Leurs connaissances du contexte éducatif local peuvent éclairer utilement l'établissement, dans sa décision de pré-inscription ou d'inscription.
              Il est souhaitable que de votre part, vous informiez ces services des décisions d'inscription que vous prenez.

              .../...
              Wahd chat'ha fi rassi loukan jaw ya3arfouha rejlia

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              • #8
                suite et fin

                II - L'entrée des étudiants étrangers en France

                Je vous rappelle qu'aux termes de la réglementation en vigueur, dont les principaux textes sont rappelés en annexe, l'admission au séjour en France est subordonnée à la présentation d'un visa étudiant, d'une durée supérieure à 3 mois (visa de long séjour), ou d'un visa de long séjour temporaire d'une durée de 6 mois.
                Toutefois, sont dispensés de visa de long séjour :
                - les ressortissants d'un État membre de la Communauté européenne ou d'un État partie à l'Espace économique européen ;
                - les étudiants polonais (convention bilatérale signée le 3 juillet 2001) ;
                - les étudiants d'Andorre, Monaco, Saint-Marin, Saint-Siège et de Suisse ;
                - les titulaires d'un visa "étudiant-concours" de court séjour.
                Pour un séjour de plus de 3 mois, une carte de séjour ou un document provisoire de séjour (récépissé ou convocation) est toutefois nécessaire pour les ressortissants de ces États.
                Toute demande d'inscription doit être examinée au fond et de manière circonstanciée, la situation du demandeur devant toujours être prise en compte, nonobstant les conditions d'entrée en France.
                Toutefois, la production du visa de long séjour est une des conditions de recevabilité de la demande de carte de séjour temporaire.
                Un étudiant entré en France avec un visa touristique et dont l'établissement a accepté l'inscription prend donc le risque de se voir refuser une carte de séjour et de se retrouver en situation irrégulière avant l'achèvement de son cursus.
                Je vous demande donc de bien vouloir veiller à éviter ce type de déconvenue en attirant l'attention des étrangers sollicitant une inscription dans votre établissement sur les conditions d'entrée des étudiants sur le territoire français.
                Par ailleurs, pour venir étudier en France, les étrangers doivent notamment justifier :
                - de moyens d'existence, correspondant à au moins 70 % de l'allocation d'entretien de base versée aux boursiers français pour l'année universitaire écoulée, soit 427 euros par mois (2 800F) en 2001-2002, sauf pour les ressortissants d'un État membre de la Communauté européenne, d'un État partie à l'accord sur l'Espace économique européenne, de la Suisse ;
                - d'une inscription dans un établissement. L'étudiant doit présenter :
                . soit un certificat d'immatriculation, d'inscription et de préinscription dans un établissement d'enseignement ou de formation initiale ;
                . soit une attestation d'inscription dans un organisme de formation professionnelle ;
                . soit une attestation justifiant qu'il bénéficie d'un programme de coopération de l'Union européenne dans les domaines de l'éducation, de la formation et de la jeunesse.
                Ces justificatifs sont produits au consulat, lors de la demande de visa et à la préfecture, lors de la demande ou du renouvellement de la carte de séjour.
                La validité de la carte de séjour ne peut excéder la durée des études suivies. Elle est renouvelable chaque année et dépend de l'appréciation par l'autorité préfectorale :
                - de l'assiduité dans les études et aux examens ;
                - du contrôle de la progression raisonnable dans le cursus universitaire ;
                - de la cohérence des changements d'orientation.

                III - L'accueil des étudiants étrangers à la rentrée universitaire prochaine

                La réussite de l'accueil des étudiants étrangers à la prochaine rentrée dans les conditions aujourd'hui prévisibles d'augmentation importante de la demande, sans capacités d'accueil supplémentaires, dépendra de la solidarité de tous les acteurs concernés.
                Il convient donc de sensibiliser d'ores et déjà ces acteurs (universités, CROUS, pôles universitaires, associations étudiantes, bailleurs sociaux) aux difficultés prévisibles. Il semble tout d'abord important que les informations délivrées aux étudiants étrangers par les services des rectorats, des universités ou des CROUS, soient mieux coordonnées.
                Par ailleurs, il serait souhaitable qu'à l'issue de réunions regroupant les acteurs mentionnés plus haut, on puisse :
                - mobiliser toutes les ressources disponibles, par ville, par bassin géographique, pour offrir des possibilités de logement social ou à prix modérés ;
                - mettre à disposition des solutions temporaires, le temps de trouver un logement, pour les étudiants étrangers qui disposent des ressources suffisantes pour être accueillis dans le secteur privé ;
                - mettre en place des commissions communes universités-CROUS pour les aides sur les fonds de solidarité (FSU-FSDIE), l'exonération éventuelle des droits d'inscription pouvant être accordée par l'université ;
                - faire des avances sur ressources propres des CROUS pour faciliter le règlement de certaines situations (exemple de Toulouse où les sommes remboursées, d'un montant faible, sont ensuite imputées sur le FSU) ;
                - mettre en réserve un certain nombre de chambres pour faire face à d'éventuelles situations de crise.
                Je vous demande de veiller au respect de l'ensemble des exigences rappelées dans cette circulaire qui ont pour objectif :
                - de placer les étudiants étrangers dans une situation où les contingences administratives ou matérielles ne viendront pas entraver leur formation ;
                - de ne pas favoriser les détournements de procédure qui pourraient provoquer un accueil défaillant des étudiants étrangers venant ternir l'image de l'université aussi bien en France que dans le monde.

                Pour le ministre de la jeunesse, de l'éducation nationale et de la recherche
                et par délégation,
                Le directeur de l'enseignement supérieur
                Jean-Marc MONTEIL
                Pour le ministre de l'intérieur,
                de la sécurité intérieure et des libertés locales
                et par délégation,
                Le directeur des libertés publiques et des affaires juridiques
                Stéphane FRATACCI
                Pour le ministre des affaires étrangères
                et par délégation,
                La directrice de la coopération scientifique, universitaire et de recherche
                Élisabeth BETON DELEGUE

                Annexe PRINCIPAUX TEXTES CONCERNANT L'ACCUEIL DES ÉTUDIANTS ÉTRANGERS EN FRANCE - le code de l'éducation (notamment l'article L. 612-3) ;
                - le décret n° 71-376 du 13 mai 1971 modifié, relatif à l'inscription des étudiants dans les universités et les établissements publics à caractère scientifique et culturel, en particulier les dispositions concernant l'accueil des étudiants étrangers (titre 3) ;
                - l'arrêté du 31 décembre 1981, relatif aux modalités de l'évaluation de la connaissance de la langue française pour les ressortissants étrangers prévue par l'article 16 du décret n° 71-376 du 13 mai 1971 ;
                - l'arrêté du 15 mars 1985, relatif aux modalités de dépôt et de transmission des demandes d'admission en première inscription en premier cycle pour les ressortissants étrangers ;
                - le décret n° 2000-457 du 23 mai 2000, relatif au recensement automatisé des vœux d'orientation des élèves en premier cycle de l'enseignement supérieur et à la répartition des effectifs en cas de saturation des capacités d'accueil en Ile-de-France ;
                - la loi n° 98-349 du 11 mai 1998 relative à l'entrée et au séjour des étrangers en France et au droit d'asile, modifiant l'ordonnance n° 45-2658 du 2 novembre 1945 relative aux conditions d'entrée et de séjour des étrangers en France ;
                - le décret n° 46-1574 du 30 juin 1946 modifié relatif aux conditions d'entrée et de séjour en France des étrangers ;
                - la circulaire du 26 mars 2002 du ministère de l'emploi et de la solidarité, du ministère de l'intérieur et du ministère de l'éducation nationale, relative aux conditions d'entrée et de séjour en France des étudiants étrangers et modalités de renouvellement des cartes de séjour "étudiant" ;
                - la circulaire DMP/DMI 2 n° 2002-25 du 15 janvier 2002 du ministère de l'emploi et de la solidarité et du ministère de l'intérieur, relative à la délivrance et au renouvellement des autorisations de travail aux étudiants étrangers ;
                - la circulaire DMP/DMI 2 n° 2002-26 du 16 janvier 2002 du ministère de l'emploi et de la solidarité et du ministère de l'intérieur, relative au traitement des demandes d'autorisation de travail des étrangers.



                B.O. n°39 du 24 octobre 2002
                © Ministère de la jeunesse, de l'éducation nationale et de la recherche
                http://www.education.gouv.fr/bo/2002/39/sup.htm
                Wahd chat'ha fi rassi loukan jaw ya3arfouha rejlia

                Commentaire


                • #9
                  Alors tout simplement ca veux dire que je ne peut pas aller puisque le bac est un minimum pour étudier en france ?

                  A votre jugement ?

                  Quesque vous en dites ?

                  Commentaire


                  • #10
                    Ca c'est clair salim113.

                    Si tu n'es pas francais et que tu veux venir continuer tes études en France .
                    T'es obligé d'avoir le bac.

                    Il vaut donc mieux que tu repasse ton bac.
                    Je souhaite être tout ce que je suis capable de devenir. K.M.
                    Je suis épuisée par la peine de mon pays.
                    Je ne peux rien pour toutes ces femmes, mes soeurs de là-bas. D.K.

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                    • #11
                      C'est bien stipulé comme vous l'avez écrit :
                      Par ailleurs, pour venir étudier en France, les étrangers doivent notamment justifier :
                      soit une attestation d'inscription dans un organisme de formation professionnelle
                      Donc si on suit ce qui est écrit, s'il s'inscrit dans un établissement de formation professionnelle ici : il n'est pas tenu de produire des moyens d'existence. C'est déjà çà.

                      Commentaire


                      • #12
                        Le fait que tu aies ton Bac ou que tu aies le niveau Bac est discutable selon les établissements de formation professionnelle.

                        Mais d'une manière ou d'une autre, il faudra que tu viennes passer le test et l'entretien préalables et ensuite ils te donneront leur réponse à ta candidature qui sera acceptée ou non.

                        Je te donne quelques adresses à NANTES :

                        ECOLE INFORMATIQUE ENI
                        site: www.eni-ecole.fr
                        mail:[email protected]
                        (Formation : Informaticien micro)

                        CESI
                        site: www.cesi.fr
                        Contact: Aline PANNETIER Chargée des Relations Candidats
                        adresse: CESI 12 Route de la Garenne 44700 ORVAULT
                        fax: 02.40.63.99.70
                        (Formation: Technicien Supérieur Maintenance et Support Informatique...)
                        ***Pour le CESI : ils ont une filiale en Algérie à cette adresse:
                        Cesi Algérie
                        n°14 Lotissement du 11 décembre 1960
                        Dely Ibrahim
                        ALGER
                        ALGERIE
                        Tél./Fax. + 213 21 36 84 56
                        >>> voir ce lien : http://www.cge.asso.fr/ecoles/ECOLE6.phtml

                        CRI : CENTRE DE RESSOURCES INFORMATIQUES
                        site: www.crireze.com
                        (Formation : Technicien d'assistance informatique = Correspondant Micro Réseaux >>> http://www.crireze.com/formation/indexfor.htm)
                        mail: [email protected]
                        Pour ce centre, ils t'accepteront même si tu n'as pas le Bac (et les frais pédagogiques ne sont que de 600 euros)

                        En ce qui concerne la formation professionnelle, lorsqu'on te dit :
                        Niveau 4 = Bac
                        Niveau 3 = Bac + 2
                        Donc on peut te délivrer un diplôme de niveau 3 ou de niveau 4.

                        Commentaire


                        • #13
                          Merci necim , alors dite moi pour l'ecole CESI , il accepte sans bac ?

                          Merci

                          Si y'as pas d"école sans bac ca serai mieux que ca soit un thread Closed c'est mieux

                          Commentaire


                          • #14
                            Pour le CESI, il faut les contacter : envoie-leur un courrier ou un mail.Et pose-leur la question.

                            As-tu essayé de contacter leur centre à Alger ?
                            Il y a aussi cette adresse:
                            CESI Algérie, 18 Rue de Carthage

                            - Hydra - Alger

                            Tél : 213 21 48 24 65 ou Fax : 213 21 60 63 90

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