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Fatima Ezzahra

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  • Fatima Ezzahra

    j'ouvre ce topic dans le but de me renseigner sur la vie de " FATIMA EZZARRA " fille du prophète mohamed ( saw )
    je sais seulement qu'elle etait l'épouse de sayedna ali et mère de hassen et housseine ....
    ce que j'aimerais savoir surtout ,c'est si elle a été tuer ou est -elle morte d'une mort naturelle ..?

    merci

  • #2
    c'est si elle a été tuer ou est -elle morte d'une mort naturelle ..?


    de ce que j'ai pu en lire, elle est morte de mort naturelle, jeune puisque je crois qu'elle avait 29 ans.
    elle avait une relation privilégiée avec le prophéte (saw), d'ailleurs il ya un épisode qui précéde la mort du Prophéte qui est touchant, le prophéte a demandé a son chevet sa fille et il lui a parlé à l'oreille, la 1ère fois le visage de Fatima s'inonda de larmes et la seconde fois il s'illumina d'un sourire. on lui a alors demandé la raison de ces changements, Fatima répondit que la 1ère fois le prophéte lui avait annoncé qu'il succomberait bientôt à son mal, donc elle s'est mise à pleurer et la 2ème fois il lui annonca que de sa famille, elle serait la 1ère à le rejoindre, d'où le sourire de joie.
    et effectivement elle est morte très peu de temps après le prophéte (saw), 5 ou 6 mois après
    ne dépense pas deux mots, si un seul te suffit.

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    • #3
      j'ouvre ce topic dans le but de me renseigner sur la vie de " FATIMA EZZARRA " fille du prophète mohamed ( saw )
      je sais seulement qu'elle etait l'épouse de sayedna ali et mère de hassen et housseine ....
      ce que j'aimerais savoir surtout ,c'est si elle a été tuer ou est -elle morte d'une mort naturelle ..?

      merci
      As salam alaykom!

      Fais tres attention quand tu lis sur la famille du Prophete, tu sais que les chiites les divinisent et racontent 3.026 526,42 tonnes de delires et de science fiction a leur propos.

      Un exemple : sa mort, les chiites accusent Omar d'en etre la cause, en effet il croient (tiens toi bien) qu'il l'a frappé et brisé une cote (d'ailleurs beaucoup jurent comme ça : Je jure par la cote de Fatima) et qu'il a seré la porte contre elle entrainant la mort du son bébé dans son ventre, et qu'il a menacé de bruler la maison qui l'abritait avec Ali et ses deux enfants tout ça sous le regard de son mari Ali...etc bon bref ce genre de delires insensés.

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      • #4
        merci sergina torsen

        pour vos réponses

        la porte contre elle entrainant la mort du son bébé dans son ventre, et qu'il a menacé de bruler la maison
        c'est justement cette histoire que j'ai entendu sur une chaîne télévisée que je ne savais pas chiites !!

        ou pourrais je lire la vraie histoire de fatima ??

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        • #5
          c'est claire que des fois, il y a à prendre et à laisser.
          moi ce que j'ai lu de fatima, je l'ai lu à travers les biographies du prophete (saw), c'est déjà une première approche.
          mais tu peux aller dans les librairies spécialisées, et voir directement sur place, il doit bien y avoir des livres consacrés à l'entourage féminin du prophete (saw)
          ne dépense pas deux mots, si un seul te suffit.

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          • #6
            @abeille

            ... ou pourrais je lire la vraie histoire de fatima ??

            Y'a pas vraiment d'histoire specifique la concernant, hormis dans la litterature chiite.

            Em gros c'etait une des filles du prophete, son chouchou, elle etait tres proche de son pere, tres pieuse selon ce qu'on raconte, et elle etait l'epouse du cousin a son pere, je jeune 'Ali ibn Abi Talib, que Dieu l'agree. Comme elle mourut jeune et a peien quelques mois apres la mort de son pere, elle n'eut pas un tres grand role a la periode initiale de l'Islam, mais elle laissa quand meme al-Hassan et al-Hussein, que Dieu les agree tous.
            "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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            • #7
              Fatimah et al-Abbas allèrent trouver Abu Bakr pour lui demander leur part de l’héritage du Messager de Dieu. Ils voulaient la terre du Messager de Dieu à Fadak et sa part du tribut de Khaybar. Abu Bakr a répondu : “J’ai entendu le Messager de Dieu dire, “Nous (les Prophètes) ne laissons aucun bien en héritage. Tout ce que nous laissons derrière nous est aumône ». C’est la nourriture de la famille de Muhammad (a répondu Fatimah) Par Dieu, je n’abandonnerai pas un chemin que j’ai vu le Messager de Dieu emprunter mais (au contraire) je continuerai (à agir) comme lui. Fatimah s’est détournée de lui et ne lui a plus parlé jusqu’à sa mort. Ali l’enterra pendant la nuit et ne permit pas à Abu Bakr d’assister à ses funérailles.
              TABARI


              Pour ce qui concerne les brutalités d'Omar après qu'Abu Bakr ait pris le pouvoir :


              « Ibn Hamid nous a raconté, selon ce que Jarir a raconté, selon Moughira, selon ibn Koleib qui a dit : Omar fils de Khatab vint au domicile d’Ali où Thalat, Zobeir et d’autres hommes parmi les immigrés s’était réfugiés et les menaça en ces termes « Je jure de brûler la maison si vous ne sortez pas faire acte d’allégeance » Zobeir sortit après avoir sortit son épée de son fourreau, mais il trébucha et l’épée tomba de sa main, ils sautèrent sur lui et le saturèrent».
              Tabari volume 2 page 233.


              « Abou Bakr envoya Omar à la demeure de Fatima afin de contraindre Ali de faire acte d’allégeance. Omar arriva devant la demeure de Fatima et il avait dans sa main une mèche de feu, il rencontra Fatima sur le pas de la porte cette dernière lui dit « O fils de Kattab es-tu venu mettre le feu à ma maison ?» Ce dernier lui répondit « oui ».
              Balazuri page 586.

              selon la version de Yarkoubi, Fatima dût même menacer de retirer son voile pour calmer Omar :

              « Fatima menaca les assaillants en ces termes « par Dieu si vous ne sortez pas de chez moi j’enlève mon hijab ( Littéralement Fatima dit « Sortez de chez moi ou je découvre ma chevelure !) »
              « L’histoire » par Yarkoubi » tome 2 page 126



              === Evitez l'abus de couleurs et de gras - Lisez et respectez la charte du forum, svp ===

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              • #8
                Fatimah et al-Abbas allèrent trouver Abu Bakr pour lui demander leur part de l’héritage du Messager de Dieu. Ils voulaient la terre du Messager de Dieu à Fadak et sa part du tribut de Khaybar. Abu Bakr a répondu : “J’ai entendu le Messager de Dieu dire, “Nous (les Prophètes) ne laissons aucun bien en héritage. Tout ce que nous laissons derrière nous est aumône ». C’est la nourriture de la famille de Muhammad (a répondu Fatimah) Par Dieu, je n’abandonnerai pas un chemin que j’ai vu le Messager de Dieu emprunter mais (au contraire) je continuerai (à agir) comme lui. Fatimah s’est détournée de lui et ne lui a plus parlé jusqu’à sa mort. Ali l’enterra pendant la nuit et ne permit pas à Abu Bakr d’assister à ses funérailles.
                TABARI


                Les super preuves !!! , meme hollywood ne peut pas faire comme les menteurs shiias.

                Je parie que tu vas me dire que tu rapporte ça d'un livre sunnite d'un savant sunnite, n'est ce pas ? et moi te pose la question suivante :

                - Sais tu comment lire un livre ? ma question est tres serieuse, il ne s'agit pas de comprendre les desseins qui s'y trouvent l'interieur.


                Pour ce qui concerne les brutalités d'Omar après qu'Abu Bakr ait pris le pouvoir :


                « Ibn Hamid nous a raconté, selon ce que Jarir a raconté, selon Moughira, selon ibn Koleib qui a dit : Omar fils de Khatab vint au domicile d’Ali où Thalat, Zobeir et d’autres hommes parmi les immigrés s’était réfugiés et les menaça en ces termes « Je jure de brûler la maison si vous ne sortez pas faire acte d’allégeance » Zobeir sortit après avoir sortit son épée de son fourreau, mais il trébucha et l’épée tomba de sa main, ils sautèrent sur lui et le saturèrent».
                Tabari volume 2 page 233.


                « Abou Bakr envoya Omar à la demeure de Fatima afin de contraindre Ali de faire acte d’allégeance. Omar arriva devant la demeure de Fatima et il avait dans sa main une mèche de feu, il rencontra Fatima sur le pas de la porte cette dernière lui dit « O fils de Kattab es-tu venu mettre le feu à ma maison ?» Ce dernier lui répondit « oui ».
                Balazuri page 586.

                selon la version de Yarkoubi, Fatima dût même menacer de retirer son voile pour calmer Omar :

                « Fatima menaca les assaillants en ces termes « par Dieu si vous ne sortez pas de chez moi j’enlève mon hijab ( Littéralement Fatima dit « Sortez de chez moi ou je découvre ma chevelure !) »
                « L’histoire » par Yarkoubi » tome 2 page 126
                Avant d'aller plus loin et pour ne pas perdre mon temps :

                - As tu un peu de science concernant les fondement de l'argumentation ?
                - Qui est Tabari ?
                - Qui est Balaruzi ?
                - Qui est Yarkoubi ?
                - Crois tu ce que ces hadiths fabriqués racontent ?

                J'espere avoir des reponses!

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                • #9
                  - Qui est Tabari ?
                  Tabarî ou Muhammad ben Jarîr ben Yazîd al-Imâm abû Ja`far at-Tabarî (arabe : محمد بن جرير بن يزيد الإمام أبو جعفر الطبري) est né en 839 au Tabaristan en Perse ce qui lui vaut son surnom de at-Tabarî. Il est un des premiers et des plus célèbres historiens et exégète du Coran. Il était dans la tradition sunnite, et a passé l'essentiel de sa vie à Bagdad, écrivant tous ses ouvrages en arabe.

                  Dès sept ans, il avait appris par cœur le Coran, au cours des deux années qui suivirent il avait fini l'étude des recueils classiques de hadiths. Il quitta le domicile familial à 12 ans pour aller étudier. Avant l'âge de 17 ans il partit pour Bagdad. Il espérait pouvoir y rencontrer Ahmed ben Hanbal mais celui-ci mourut peu de temps avant son arrivée. Après une année à Baghdad, il semble avoir voyagé dans le sud de l’Iraq (856-857) afin d’y étudier avec les savants réputés de Wasit, Bassorah et Koufa, savants qu’il dût ensuite citer dans ses oeuvres, à savoir par exemple Mohammed b. ‘Abd A’la es-San’ani (m. 869), et Mohammed ibn Bashshar, surnommé Bundar (m. 866) à Bassorah et Abou Kureyb Mohammed ibn el-‘Ala’ (m. 861 ou 862) à Koufa.

                  Il revint ensuite à Bagdad pour y rester huit ans dont une période durant laquelle il fut le tuteur de l’un des fils du vizir du calife el-Mutawakkil,
                  ‘Ubeyd Allah ibn Yahya ibn Khakan [voir IBN KHAKAN. II].

                  Il partit de nouveau en voyage, mais cette fois pour découvrir la Syrie, la Palestine et l'Égypte. Vers 870 Tabarî revient à Bagdad pour y passer les cinquante trois ans qui suivent, jusqu'à sa mort en 923. Ce dernier séjour à Bagdad a été entrecoupé de quelques aller-retours vers le Tabaristan et par un pèlerinage à La Mecque.

                  L’Imam Ibn Khouzeyma dit de lui : « Je n’ai jamais connu un homme plus savant que Ibn Jarir »

                  Ibn Kathir dit : « Il est parmi les Imams qui appliquent avec la plus grande rigueur le Coran et la Sunna du Prophète (ppsl) ».

                  Ibn Hajar dit qu’ « Il était un des grands Imams de la religion desquels on peut prendre un enseignement authentique ».

                  El Khatib el Baghdadi dit : « Il est l’un des Savants qui ont un avis qu’on peut suivre sans hésitation, une parole qu’on peut croire aveuglément, et une connaissance qui n’a pas d’égale chez n’importe qui de ses contemporains ».

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                  • #10
                    - Qui est Balazuri ?
                    Al-Balâdhurî, Ahmâd b. Yahyâ b.Djâbir b. Dâwûd.

                    L’un des plus grands historiens arabes du IXè siècle. Ni la date de naissance ni celle de
                    sa mort ne sont absolument établis mais d’après les dates de décès de ses maîtres, il est évident qu’il n’a pas pu naître plus tard que le commencement de la seconde décennie du IXè siècle.
                    Comme il aurait été traducteur du persan, on lui a arbitrairement attribué une origine persane, alors que son grand père, déjà était secrétaire au service d’al-Khasib en Egypte (al-Djahshiyârî, fol. 162a).

                    Il naquit probablement, et passa certainement la majeure partie de sa vie à Bagdad. il étudia, entre autres, avec des historiens aussi célèbre qu’al-Madâ’ini, Ibn Sa’d et Mus’ab al-Zubayrî.


                    Deux de ses oeuvres historiques nous sont parvenues :

                    - Son Histoire des conquêtes musulmanes (Futûh al-Buldân) qui est la version abrégée d’un ouvrage plus étendu sur le même sujet. L’ouvrage commence par les guerres de Mahomet, suivies par le
                    récit de ridda, des conquêtes de la Syrie, de la Djazîra, de l’Arménie, de l’Egypte et du Maghreb, et enfin par l’occupation de l‘Irak et de la Perse. Des remarques d’importance pour l’histoire
                    de la vie culturelle et sociale sont mêlées au récit historique ; par exemple, al-Balâdhurî discute la question du remplacement du grec et du persan par l’arabe comme langue, parle de la querelle avec Byzance à propos de l’emploi de formules religieuses musulmanes en têtes des lettres provenant de l’Egypte, de questions de taxation, de l’usage des cachets, de la frappe et du cours des monnaies, ainsi que de l’histoire de l’écriture arabe. L’œuvre, une des sources les plus précieuses pour l’histoire des conquêtes arabes, a été éditée pour la première fois en occident par M. J. De Goeje, Liber expugnationis regionum, Leyde 1863-66, et réimprimée depuis à plusieurs reprises. Il existe une traduction anglaise par P. K. Hitti et F. C. Murgotten, The Origins of the Islamic State, New York 1916 et 1924, et une traduction allemande (poursuivie jusqu’à la page 239 de l’édition de Goeje) par O.Rescher, Liepzig 1917-23.

                    - Ses Ansâb al-Ashrâf, oeuvre très vaste qui n’a jamais été achevée, sont ordonnés par généalogie et commencent par la vie du Prophète et les biographies de ses parents. Les ‘Abbâsides suivent les ‘Alides. Les ‘Abd Shams, parmi lesquels les Umayyades occupent la plus grande partie, suivent les Banû Hâshim.
                    Ensuite sont traités le reste des Kurayshites et les autres divisions des Mudarites. Les Kaysites, en particuliers les Thakîf, occupent la dernière partie de l’ouvrage.

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                    • #11
                      - Qui est Yarkoubi ?
                      Abû -‘Abbâs Ahmad b. Abî Yakub b. Dja’far b. Wâdih

                      Un des premiers historiens et géographes arabes.



                      Tout jeune il entra au service des Tâhirides au Khurasan. Après la chute en 872-873 des Tâhirides de
                      la région, il partit s’installer en Egypte où il mourut au début du Xè siècle.


                      Trois des ouvrages d’al-Ya’kûbî nous sont parvenus. Le plus important est le Ta‘rikh, Histoire, qui, comme il l’a lui-même décrit, est un récit « concis » des origines et de l’histoire du monde. La
                      première partie traite d’Adam et de ses descendants.

                      Une part importante du second volume est consacrée à la vie de Mahomet, à la suite de laquelle l’histoire de l’Islam est présentée selon l’ordre chronologique des califes successifs.

                      Son histoire est une des plus anciennes à adopter ce mode d’organisation (Noth,46). Les ayyâm [q.v] d’Abû Bakr, de ‘Umar et de ‘Uthmân sont rapportés successivement avant le « califat du pieux ‘Alî b. Abî Tâlib (II, 206) » et de son fils al-Hassan. Les récits s’enchaînent alors avec les ayyâm de Mu’âwiya b. Abî Sufyân et de ses successeurs umayyades, suivis par les ‘Abbâsides dont le dernier calife traité est al-Mu’tamid (m. 279/892 [q.v]).
                      Al-Ya’kûbî donne également beaucoup d’importance aux Imâmites et aux oeuvres de leurs Imâms ce qui a amené les chercheurs à discuter (sans parvenir à une certitude) si al-Yakûbî était un adepte du chiisme et duquel.

                      Bien que son hostilité envers les Omayyades soit manifeste de même que sont attrait pour Alî, l’orientation religieuse de Ya’kûbî ne peut être précisément déterminée. D’une manière générale, il semble avoir été favorable aux ‘Abbâsides malgré quelques notes discordantes. Par exemple, sa caractérisation du régime ‘abbâside comme ayyâm plutôt que comme khalîfa peut suggérer une attitude ambivalente envers cette dynastie ; son récit de la mort de Musâ al-Kazîm [q.v], reconnu comme septième imâm par les Duodécimains, alors qu’il se trouvait sous la garde de Hârûn al-Rashid (II, 499-500) ne témoigne pas en faveur des ‘Abbâsides même si le calife n’est pas directement mis en cause dans le meurtre.

                      Bien qu’al-Yakûbî ne donne pas l’isnâd par laquelle lui sont parvenus ses récits, une partie de son information provient de la famille abbâside (il était lui-même un mawlâ de cette famille ‘abbâside). Pourtant, cette information provient également de sources ‘alides (en particulier, à travers Dja’far al-Sâdik, le sixième imâm, II, 3 ; voir également Dûrî, 67).

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                      • #12
                        @caius

                        juste pour t'eclairer un peu de la place qu'occupent ces documents chez les theologiens musulmans et de l'authenticité du contenu:

                        tu trouveras aussu dans tabari comment une armée musulmane du temps des califestrversa la mere du golfe avec les cheveaux et comment la mere n'a pas depassé lezs chevilles des combattants

                        tu trouveras aussi la description d'une citée avec les murs en or..


                        les sources musulmanes les plus fiables sont celle du coran et des ahadiths sahiha ou un effort colossal a ete fait pour trier le vrai du faux..

                        et voila ce que dit le coran de ce groupe d'hommes dont fait partie ali, omar ,fatima ,aboubakr etc..



                        Al-Fat-h - 48.29. Muhammad est le Messager d'Allah. Et ceux qui sont avec lui sont durs envers les mécréants, miséricordieux entre eux. Tu les vois inclinés, prosternés, recherchant d'Allah grâce et agrément. Leurs visages sont marqués par la trace laissée par la prosternation. Telle est leur image dans la Thora. Et l'image que l'on donne d'eux dans l'évangile est celle d'une semence qui sort sa pousse, puis se raffermit, s'épaissit, et ensuite se dresse sur sa tige, à l'émerveillement des semeurs. [Allah] par eux [les croyants] remplit de dépit les mécréants. Allah promet à ceux d'entre eux qui croient et font de bonnes oeuvres, un pardon et une énorme récompense.


                        la source la plus solide des musulman etant le coran
                        « Puis-je rendre ma vie
                        Semblable à une flûte de roseau
                        Simple et droite
                        Et toute remplie de musique »

                        Commentaire


                        • #13
                          Tabarî ou Muhammad ben Jarîr ben Yazîd al-Imâm abû Ja`far at-Tabarî (arabe : محمد بن جرير بن يزيد الإمام أبو جعفر الطبري) est né en 839 au Tabaristan en Perse ce qui lui vaut son surnom de at-Tabarî. Il est un des premiers et des plus célèbres historiens et exégète du Coran. Il était dans la tradition sunnite, et a passé l'essentiel de sa vie à Bagdad, écrivant tous ses ouvrages en arabe.

                          Dès sept ans, il avait appris par cœur le Coran, au cours des deux années qui suivirent il avait fini l'étude des recueils classiques de hadiths. Il quitta le domicile familial à 12 ans pour aller étudier. Avant l'âge de 17 ans il partit pour Bagdad. Il espérait pouvoir y rencontrer Ahmed ben Hanbal mais celui-ci mourut peu de temps avant son arrivée. Après une année à Baghdad, il semble avoir voyagé dans le sud de l’Iraq (856-857) afin d’y étudier avec les savants réputés de Wasit, Bassorah et Koufa, savants qu’il dût ensuite citer dans ses oeuvres, à savoir par exemple Mohammed b. ‘Abd A’la es-San’ani (m. 869), et Mohammed ibn Bashshar, surnommé Bundar (m. 866) à Bassorah et Abou Kureyb Mohammed ibn el-‘Ala’ (m. 861 ou 862) à Koufa.

                          Il revint ensuite à Bagdad pour y rester huit ans dont une période durant laquelle il fut le tuteur de l’un des fils du vizir du calife el-Mutawakkil,
                          ‘Ubeyd Allah ibn Yahya ibn Khakan [voir IBN KHAKAN. II].

                          Il partit de nouveau en voyage, mais cette fois pour découvrir la Syrie, la Palestine et l'Égypte. Vers 870 Tabarî revient à Bagdad pour y passer les cinquante trois ans qui suivent, jusqu'à sa mort en 923. Ce dernier séjour à Bagdad a été entrecoupé de quelques aller-retours vers le Tabaristan et par un pèlerinage à La Mecque.

                          L’Imam Ibn Khouzeyma dit de lui : « Je n’ai jamais connu un homme plus savant que Ibn Jarir »

                          Ibn Kathir dit : « Il est parmi les Imams qui appliquent avec la plus grande rigueur le Coran et la Sunna du Prophète (ppsl) ».

                          Ibn Hajar dit qu’ « Il était un des grands Imams de la religion desquels on peut prendre un enseignement authentique ».

                          El Khatib el Baghdadi dit : « Il est l’un des Savants qui ont un avis qu’on peut suivre sans hésitation, une parole qu’on peut croire aveuglément, et une connaissance qui n’a pas d’égale chez n’importe qui de ses contemporains ».
                          Premirement : tu as oublié de citer la source de cette description

                          Deuxiemement : Si tu veux parler de notre Imam, le Tabari sunnite, l'auteur de " تفسير الطبري " et " تاريخ الطبري " oui, mais il y a un autre Tabari chiite qui selon L'Imam Dhahabi dans son livre " سير أعلام النبلاء " apres avoir mis en garde contre ses livres dit : (desolé les traductions pour ce genre de livres n'est pas disponible en français)

                          15
                          - كتاب "الرواة عن أهل البيت" وكتاب "المسترشد في الإمامة" / كلاهما لمحمد بن جرير الطبري ([1]) أبي جعفر.
                          قال الذهبي: قال عبد العزيز الكتاني: هو "أي الطبري" من الروافض، صنف كتبًا كثيرة في ضلالتهم، له كتاب "الرواة عن أهل البيت"، "المسترشد في الإمامة".

                          ([1]) نبه الدكتور ناصر القفاري في كتابه "أصول مذهب الشيعة الإمامية الأثنا عشرية" على أن الطبري هذا هو ليس الإمام أبو جعفر محمّد بن جرير الطبري صاحب التفسير والتاريخ بل هو أحد علماء الشيعة فقال: "بل إن الروافض استغلوا التشابه في أسماء بعض أعلامهم مع بعض أعلام أهل السنة وقاموا بدس فكري رخيص يضلل الباحثين عن الحق.. حيث ينظرون في أسماء المعتبرين عند أهل السنة فمن وجدوه موافقًا لأحد منهم في الاسم واللقب أسندوا حديث رواية ذلك الشيعي أو قوله إليه.
                          ومن ذلك محمّد بن جرير الطبري الإمام السني المشهور صاحب التفسير والتاريخ، فإنه يوافقه في هذا الاسم محمّد ابن جرير بن رستم الطبري من شيوخهم، ولاهما في بغداد، وفي عصر واحد، بل كانت وفاتهما في سنة واحدة، وهي سنة (310هـ). وقد استغل الروافض هذا التشابه فنسبوا للإمام ابن جرير بعض ما يؤيد مذهبهم مثل: كتاب المسترشد في الإمامة مع أنه لهذا الرافضي، وهم إلى اليوم يسندون بعض الأخبار التي تؤيد مذهبهم إلى ابن جرير الطبري الإمام.
                          ولقد ألحق صنيع الروافض هذا – ايضًا – الأذى بالإمام الطبري في حياته وقد أشار ابن كثير إلى أن بعض العوام اتهمه بالرفض، ومن الجهلة من رماه بالإلحاد. وقد نسب إليه كتاب عن حديث غدير خم يقع في مجلدين، ونسب إليه القول بجواز المسح على القدمين في الوضوء.
                          ويبدو أن هذ المحاولة من الروافض قد انكشف أمرها لبعض علماء السنة من قديم، فقد قال ابن كثير: ومن العلماء من يزعم أن ابن جرير اثنان أحدهما شيعي وإليه ينسب ذلك، وينزهون أبا جعفر من هذه الصفات.
                          وهذا القول الذي نسبه ابن كثير لبعض أهل العلم هو عين الحقيقة كما تبين ذلك من خلال كتب التراجم، ومن خلال آثارهما، وأين الثري من الثريا.. فالفرق بين آثار الرجلين لا يقاس، وعقيدة الإمام ابن جرير لا تلتقي مع الرفض بوجه، فهو أحد أئمة الإسلام علمًا وعملاً بكتاب الله وسنة رسوله r" أ.هـ. [المجلة].
                          Troisiement : Tu as cité une source qui est la suivante : Tabari volume 2 page 233 comme tout le monde peut le constater c'est tres vagueetil faut une correction avec le nom du savant, le nom de son livre et le numero de la page

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                          • #14
                            Bien qu’al-Yakûbî ne donne pas l’isnâd par laquelle lui sont parvenus ses récits, une partie de son information provient de la famille abbâside (il était lui-même un mawlâ de cette famille ‘abbâside). Pourtant, cette information provient également de sources ‘alides (en particulier, à travers Dja’far al-Sâdik, le sixième imâm, II, 3 ; voir également Dûrî, 67).
                            Celui la n'est pas un argument contre nous, c'est un chiite et en plus il ne donnes pas d'Isnads...

                            Pour resumer : la legende des violences contre Fatima n'est rapporté sous aucun hadith authentique, on trouve les hadiths fabriqués et aucun croyant digne de ce nom n'y croit.

                            Le fait de la trouver dans un livre d'histoire surtout comme celui de Tabari (le sunnite) qui dit dans l'introdution de son "Tarikh" qu'il ne faut pas le blamer quand le lecteur lit des abberations, il n'a fait que rassembler tous ce qui se dit sur les sujets traités en donnants les chaines des rapporteurs et qu'il a degagé sa responsabilité en citant les Isnads.

                            Tous les hadiths qui abondent dans ce sense sont classés "Mawdou'e" c'est a dire des mensonges fabriqués de toutes pieces, car il contiennent des menteurs notoires dans leur isnads, isnads qui contiennent la plupart du temps des coupures et que leur contenu est contraire au Coran, a la sunna et a la logique saine.

                            Meme chose concerant Ibn Hajar (dans le cas ou tu as l'intention d'argumenter avec lui ) il faut preciser lequel, car il y en a deux :

                            - Ibn Hajar Al Askelani, surnommé Al Hafid Ibn Hajar.
                            - Ibn Hajar Al Haythami.

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                            • #15
                              Salam,

                              Merci Torsen pour tes précieux éclaircissements, je me disais bien que qlq chose clochait…

                              @caisus
                              Savais-tu qu'il y avait deux Tabari ? Voulais-tu nous bluffer ?

                              بسم الله الرحمن الرحيم "إِلاَّتَنصُرُوهُ فَقَدْ نَصَرَهُ اللَّهُ إِذْ أَخْرَجَهُ الَّذِينَ كَفَرُواْثَانِيَ اثْنَيْنِ إِذْ هُمَا فِي الْغَارِ إِذْ يَقُولُ لِصَاحِبِهِ لاَتَحْزَنْ إِنَّ اللَّهَ مَعَنَا فَأَنزَلَ اللَّهُ سَكِينَتَهُ عَلَيْهِوَأَيَّدَهُ بِجُنُودٍ لَّمْ تَرَوْهَا وَجَعَلَ كَلِمَةَ الَّذِينَكَفَرُواْ السُّفْلَى وَكَلِمَةُ اللَّهِ هِيَ الْعُلْيَا وَاللَّهُعَزِيزٌ حَكِيمٌ" صدق الله العظيم
                              Une traduction : Si vous ne lui portez pas secours... Dieu l'a déjà secouru, lorsque ceux qui avaient mécru l'avaient banni, deuxième de deux. Quand ils étaient dans la grotte et qu'il disait à son compagnon : "Ne t'afflige pas, car Dieu est avec nous." Dieu fit alors descendre sur lui Sa sérénité "Sa sakina" et le soutint de soldats (Anges) que vous ne voyiez pas, et Il abaissa ainsi la parole des mécréants, tandis que la parole de Dieu eut le dessus. Et Dieu est Puissant et Sage.

                              Dieu ici confirme que Abou Bakr Essiddik (Radhiya Allahou 3anhou) était le compagnon du Prophète. Cette confirmation est permanente.. donc comment osez-vous insulter les compagnons du Prophète ! Abou Bakr Essiddik (Radhiya Allahou 3anhou) n'aurait jamais permis que l'on fasse du mal à Ahl El Bayt. Ni lui ni Omar (Radhiya Allahou 3anhou) ni les autres compagnons d'ailleurs. Vous aimez Ahl El Bayt, Nous aimons Ahl El Bayt, restons en la !

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