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Tiens ! On parlait de Sonacom et de montage de bus, maintenant, c'est Sonacom qui fait parler d'elle.
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Dénonçant la détérioration de la situation du complexe
En Algérie, le complexe de voitures industrielles de Rouiba a suspendu son activité à cause de la grève surprise de plus de 3000 travailleurs
Et ce afin de tirer la sonnette d’alarme et appeler les parties concernées à intervenir dans le but de traiter ce que les protestants ont appelé « détérioration de la situation au sein du complexe ».
Une situation caractérisée de trouble et de perturbation prévaut actuellement parmi les travailleurs au complexe de voitures industrielles de Rouïba, ce qui a poussé à l’arrêt de l’activité à cause de la colère de plus de 3200 travailleurs qui sont entré en une grève de plus de trois heures hier matin pour attirer l’attention des autorités aux risques qui menacent le plus grand complexe de mécanique de la zone industrielle de Rouiba.
Ce qui a fait déborder le vase est l’augmentation des opérations de vol des pièces de rechange à l’intérieur du complexe, des pièces dont la valeur globale dépasse, selon une première estimation, dix million de dinars, autrement dit une perte de un milliard de centimes en 10 jours seulement. Ce qu’a considéré les travailleurs comme étant « une saignée des capacités financières de la compagnie dans le but l’affaiblir pour mieux la casser ».
Cette grève des travailleurs a été une opportunité pour réaffirmer leur refus du plan visant à « vider l’entreprise » en critiquant vivement la politique de « emploi tortueux » qui est en contradiction avec l’accord collectif entre le syndicat et la Direction Générale sachant qu’elle n’a pas respecté le principe de donner la priorité aux fils des retraités. Chose qui a été ignorée par les responsables qui ne traitent pas ce dossier en toute transparence.
Mokdad Messaoudi, Secrétaire Général de l’Union Locale de Rouiba, a déclaré à El Khabar que les branches syndicales de la zone ont exprimé leur soutien aux demandes des travailleurs du complexe et leur soutien dans leur défense contre les tentatives visant à casser cette compagnie symbole. Ce qui est arrivé dans le complexe révèle que la zone industrielle de Rouiba en a assez des problèmes.
H. Slimane
d4 juin 2006. El-Khabar
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Dénonçant la détérioration de la situation du complexe
En Algérie, le complexe de voitures industrielles de Rouiba a suspendu son activité à cause de la grève surprise de plus de 3000 travailleurs
Et ce afin de tirer la sonnette d’alarme et appeler les parties concernées à intervenir dans le but de traiter ce que les protestants ont appelé « détérioration de la situation au sein du complexe ».
Une situation caractérisée de trouble et de perturbation prévaut actuellement parmi les travailleurs au complexe de voitures industrielles de Rouïba, ce qui a poussé à l’arrêt de l’activité à cause de la colère de plus de 3200 travailleurs qui sont entré en une grève de plus de trois heures hier matin pour attirer l’attention des autorités aux risques qui menacent le plus grand complexe de mécanique de la zone industrielle de Rouiba.
Ce qui a fait déborder le vase est l’augmentation des opérations de vol des pièces de rechange à l’intérieur du complexe, des pièces dont la valeur globale dépasse, selon une première estimation, dix million de dinars, autrement dit une perte de un milliard de centimes en 10 jours seulement. Ce qu’a considéré les travailleurs comme étant « une saignée des capacités financières de la compagnie dans le but l’affaiblir pour mieux la casser ».
Cette grève des travailleurs a été une opportunité pour réaffirmer leur refus du plan visant à « vider l’entreprise » en critiquant vivement la politique de « emploi tortueux » qui est en contradiction avec l’accord collectif entre le syndicat et la Direction Générale sachant qu’elle n’a pas respecté le principe de donner la priorité aux fils des retraités. Chose qui a été ignorée par les responsables qui ne traitent pas ce dossier en toute transparence.
Mokdad Messaoudi, Secrétaire Général de l’Union Locale de Rouiba, a déclaré à El Khabar que les branches syndicales de la zone ont exprimé leur soutien aux demandes des travailleurs du complexe et leur soutien dans leur défense contre les tentatives visant à casser cette compagnie symbole. Ce qui est arrivé dans le complexe révèle que la zone industrielle de Rouiba en a assez des problèmes.
H. Slimane
d4 juin 2006. El-Khabar