Face à un géant comme Sergio França Danese (ambassadeur du Brésil en Algérie), Abdelaziz Bouteflika n'avait que deux options : violer le protocole et se mettre sur un tabouret, ou bien, subir. Le soldat Bouteflika a préféré subir et tomber en héros fasciné par la cravate de son bourreau. Les derniers mots du président-martyre étaient très inspirés : "J'aime ta cravate, Sergio!"
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Bouteflika à Sergio : "j'aime ta cravate!"
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