Les huit dirigeants ont réitéré leur promesse d’il y a deux ans d’augmenter l’aide au développement d’ici 2010.
L’aide à l’Afrique augmente. Le cercle des huit pays les plus industrialisés s’est ouvert vendredi matin à sept pays africains, ainsi qu'à l'Union africaine et à l'Onu. Les dirigeants ont décidé une aide de 60 milliards de dollars (44 milliards d’euros) pour lutter contre le sida, la malaria ou la tuberculose à destination du continent africain et de l'Europe orientale.
"La moitié [de cette somme] sera prise en charge par les Etats-Unis, l'Allemagne contribuera pour 4 milliards d'euros", a précisé la ministre allemande à l'Aide au développement. La chancelière Angela Merkel, hôte du Sommet de Heiligendamm, précisera les contours de l'accord dans la journée. "Nous sommes conscients de nos obligations et souhaitons tenir les promesses", a-t-elle d’ores et déjà commenté. En 2005, les huit s'étaient engagés à doubler le montant de leur aide à l'Afrique en 2010 par rapport à 2004, ce qui représenterait une enveloppe supplémentaire de 50 milliards de dollars par an à cette date.
Réserves
Le contenu de cette annonce était attendu. Fin mai, en effet, le président George W. Bush avait promis un doublement de l'aide américaine à 30 milliards de dollars. Mercredi, Berlin avait lui même annoncé vouloir débloquer 4 milliards de d'euros supplémentaires sur les huit années à venir afin de combattre ces pandémies dans le monde.
Le programme s'est pourtant heurté à la réserve de certains pays. L'Italie se serait ralliée au projet après avoir longuement hésité, selon les sources proches du G8. Les organisations non gouvernementales (ONG) ont également dénoncé l'attitude de blocage du Canada.
Pour cette dernière journée de travail, le G8 a entamé ses travaux avec les pays émergents (Chine, Brésil, Mexique, Afrique du Sud, Mexique, Inde), décidés à faire entendre leur voix sur le climat, leur droit au développement et à la croissance au lendemain d'un accord contre le réchauffement.
Le Figaro.
L’aide à l’Afrique augmente. Le cercle des huit pays les plus industrialisés s’est ouvert vendredi matin à sept pays africains, ainsi qu'à l'Union africaine et à l'Onu. Les dirigeants ont décidé une aide de 60 milliards de dollars (44 milliards d’euros) pour lutter contre le sida, la malaria ou la tuberculose à destination du continent africain et de l'Europe orientale.
"La moitié [de cette somme] sera prise en charge par les Etats-Unis, l'Allemagne contribuera pour 4 milliards d'euros", a précisé la ministre allemande à l'Aide au développement. La chancelière Angela Merkel, hôte du Sommet de Heiligendamm, précisera les contours de l'accord dans la journée. "Nous sommes conscients de nos obligations et souhaitons tenir les promesses", a-t-elle d’ores et déjà commenté. En 2005, les huit s'étaient engagés à doubler le montant de leur aide à l'Afrique en 2010 par rapport à 2004, ce qui représenterait une enveloppe supplémentaire de 50 milliards de dollars par an à cette date.
Réserves
Le contenu de cette annonce était attendu. Fin mai, en effet, le président George W. Bush avait promis un doublement de l'aide américaine à 30 milliards de dollars. Mercredi, Berlin avait lui même annoncé vouloir débloquer 4 milliards de d'euros supplémentaires sur les huit années à venir afin de combattre ces pandémies dans le monde.
Le programme s'est pourtant heurté à la réserve de certains pays. L'Italie se serait ralliée au projet après avoir longuement hésité, selon les sources proches du G8. Les organisations non gouvernementales (ONG) ont également dénoncé l'attitude de blocage du Canada.
Pour cette dernière journée de travail, le G8 a entamé ses travaux avec les pays émergents (Chine, Brésil, Mexique, Afrique du Sud, Mexique, Inde), décidés à faire entendre leur voix sur le climat, leur droit au développement et à la croissance au lendemain d'un accord contre le réchauffement.
Le Figaro.
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