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Les universités algériennes absentes des milles premières au niveau mondial

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  • Les universités algériennes absentes des milles premières au niveau mondial

    Selon l’institution universitaire Webometrics world ranking, spécialisée dans le suivi des activités scientifiques et pédagogiques des différentes universités du monde, l’université de Tlemcen occupe la 39e place, suivie de celle de Batna à la 48e, parmi les 100 universités classées, au niveau africain, dans le domaine de la production de recherches, ainsi que leur rentabilité et leur efficacité dans les différents domaines scientifiques.

    Par ailleurs, l’université de Boumerdés occupe la 69e place, et l’université des sciences et de la technologie Houari Boumediene, occupe la 72e place, suivie de l’université de Blida à la 74e place.


    Les universités sud-africaines occupent les huit premières places, alors que l’université américaine du Caire en Egypte, occupe la 9e place.

    Dans le classement africain, il est surprenant que l’université de Dar Essalem en Tanzanie, ainsi que les universités du Zimbaoué, de Namibie et du Sénégal aient occupé les places allant de la 13e à la 17e place, ce qui veut dire que ces universités sont plus actives dans les domaines de la recherche, de la publication et des études que les universités algériennes, qui arrivent derrière les universités des petits pays, comme l’université de Mogadiscio en Somalie.

    Le classement de ces universités s’est appuyé sur quatre critères, qui sont la qualité, le rendement, la méthodologie et l’efficacité, en plus du nombre d’ouvrages publiés, et les interventions dans les congrès et les forums scientifiques sur les cinq continents.

    Soulignons que dans le classement international, le nom d’aucune université algérienne ne figure parmi les milles universités, répandues dans le monde.


    - El Khabar

  • #2
    Les universités algériennes absentes des milles premières au niveau mondial

    voici un article (traduit) et publié par le journal El-khabar du 09/06/07:

    == article posté plus haut ==
    Écrire l’Histoire, c’est foutre la pagaille dans la Géographie...

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    • #3
      ça ne m'étonne nullement, seulement en Algérie on peut pas sonner l'alarme sans faire l'objet du pillori, si les algeriens veulen étudier convenablement ils n'ont qu'à aller en tanzanie ou au kenya...

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      • #4
        Intressant article, merci. S'il n'existe pas encore, ca serait tres intressant de faire un classement des universites algeriennes, un classement generale et un classement par filiere ...

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        • #5
          Ce classement est humiliant pour notre pays et confirme l'état déplorable de nos universités et plus particulièrement de la recherche algérienne.

          Le gouvernement devrait en tirer rapidement les conclusions qui s'imposent.

          Chapeau bas pour l'Afrique du sud. Sur les 12 premières universités d'Afrique, 10 sont sud-africaines, y compris les 8 premières : http://www.webometrics.info/top100_c...sp?cont=africa

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          • #6
            trop dure tolkien l'important et ce qui compte a mon avis et que l'universite algerienne a pu produire des gens qui font marcher l'algerie d'aujourd'hui.des millier d'etudiant qui trouve un enseignement fiable.

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            • #7
              je ne suis nullement surpris du classement international basé sur des criteres standards
              pour ceux qui ne cotoient pas les jamiates algeriennes renseignez vous
              du niveau de nos etudiants et de leur "professeur" PHD ou autres
              on se tire les cheveux

              la morale me retient pour ne pas dire autres choses


              il fut un temps ou les marocains et les tunisiens envahissaient nos universités pour sa qualité d'enseignement ou de tres grands profs y enseignaient

              aujourd'hui nous fabriquons des diplomés sans honte
              je sais que je vais fort, mais la realité, peut on la cacher indefiniment non ,non et non
              Gone with the Wind.........

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              • #8
                C'est le classement de la honte, pour faire des études dans de bonnes conditions, il faut quitter le pays.

                500 enseignants l'année derniére avait quitté l'Algérie, alors les étudiants suivent le mouvement.
                Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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                • #9
                  c'est normal vu que les meilleurs se cassent en europe pour se specialiser et qui sont emauchés des la fin de leur cursus, sans parler de la fuite des professeurs au Canada. Mogadiscio c'est uen blague ?
                  ?

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                  • #10
                    bonne gouvernance et education

                    l'important et ce qui compte a mon avis et que l'universite algerienne a pu produire des gens qui font marcher l'algerie d'aujourd'hui.des millier d'etudiant qui trouve un enseignement fiable.

                    qui ta dit que ce sont eux les universitaire qui font marcher l'algerie ? d'abord les revolutionaire puis les revolutionaire est enfin les revolutionaire je pense que tu ma compris ? si c'etais les universitaires qui commande on es pas a 90% depondant du petrole . on a pas un dinars qui ne vaut pas un clou ; on a pas une ecole qui produit des illetrée ; une universite qui produit des chomeure ; une culture qui produit des hiphop , un footballe qui produit des hooligans; une politique qui produit le desordere ; une economie qui produit les bazard . vous savais qu'on ne rejette jamais un memoire de fin de cycle , q'on donne jamais une note inferieure a 16 sur 20 ; que les notes se marchande ; si c'est eus qui fon marcher l'algerie ; c'est q'on a pas former des cadre ;mais des revolutionnaire . il faut changer pou pouvoire changer .

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                    • #11
                      Effectivement c'est la honte ...

                      On a au moins battu un record ... celui du plus grand coucous organisé.

                      J'aimerai qu'on se penche sur la question du pourquoi ! identifier le problème et la cause, c'est déja la moitié de la solution.

                      Donc je fais appelle à tout les forumistes et plus particulièrement à ceux qui connaissent le milieu universitaire Algérien!


                      Pourquoi en est-on arrivé là ?

                      La faute à qui ? au gouvernement ? à nos universitaires eux même ?

                      Pendant que d'autres pays arabes débloquent dizaines de Milliard de $ ? qu'attendent nos dirigents ?

                      Boutef avait-il raison en traitant le diplôme des algériens par les termes : il ne vaut rien ?



                      Q'en pensez vous ?
                      Dernière modification par absent, 09 juin 2007, 23h14.

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                      • #12
                        Salaam,

                        On a déjà parlé de ce genre de classement, mais là n'est pas le problème.
                        Afin de ne pas verser dans des analyses du Dimanche, je dirais que l'université algérienne est à l'image de la société algérienne, i.e., la science (pour la science) en elle-même n'a pas une grande valeur intrinsèque, on ne sait pas la situer sur l'échelle des valeurs; et puis il y a le manque de sérieux (à tous les niveaux), l'incompétence et le gain facile qui règnent en maître.
                        Je ne cherche plus à comprendre (la moitié de la solution selon Far), là où je me trouve, en Algérie ou à l'étranger, mon obsession est le travail fini et bien fait. C'est déjà pas mal.
                        ᴎᴏᴛ ᴇᴠᴇᴎ ᴡᴙᴏᴎɢ!

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                        • #13
                          D'acord avec toi Darwich, la faute n'est pas seulement celle du gouvernement mais aussi d'une bonne partie de nos universitaires, la majorité malheureusement.

                          Mais pour ma part je jette plus de résponsabilité au dirigeants car c'est eux qui décident et s'ils veulent éradiquer la médiocrité ils peuvent le faire et c'est d'en haut que ça doit être téléguidé.

                          Par exemple :
                          Qu'est ce qui empeche boutef de faire appel à une compétance algérienne internationale (c'est très important qu'il est vécu une longue periode à l'étrangé pour voir ce qui se fait labas et avoir une image de l'algérie de l'exterieur) et le nommer ministre de l'enseignement superieur en plus de lui procurer tout les moyens financiers (augmenter le budjet) ?

                          Cet homme pourra ensuite lancer une réforme profonde de l'université algérienne.

                          Il nommera par exemple des recteurs compétants, bosseurs, honnetes et soucieux de d'élever le niveau de nos université, ces recteurs nomerons eux aussi à la tête de chaque institut des directeurs de même, compétants, bosseurs, honnetes et ... et ainsi de suite jusqu'au bas de la pyramide. Sans oublier de mettre un système de contrôle performant pour demander des comptes.

                          Ça fera une construction hypersolide et hyper compétantes ! les médiocres seront automatiquement dépassé et écartés lorsque tout se basera sur le mérite, avec cette justice, et les moyens mis À disposition des labos, on encouragera les cerveaux étrangers à revenir au pays et le niveau commencera peu à peu à s'élever et ça ne sera plus question que de quelques 5 ou 10 années pour faire le ménage.

                          Est-ce que je suis entrain de rêver ?
                          Dernière modification par absent, 10 juin 2007, 00h25.

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                          • #14
                            Quand j'étais étudiant,je me souviens avoir eus de "mauvais" professeurs,dans le sens qu'il ne maitrisait pas le sujet,et se contentait de lire le poly sans apporté de valeur ajouté.
                            Aprés d'âpres recherches,je découvris sur internet des modules proposé par différentes universités américaines fait par des professeurs trés compétents et pédagogiques dans différentes discplines.
                            Le principe est que soit l'éléve suit en directe la conférence et peut interagir avec le prof,soit il télecharge la vidéo de la conférence et la regarde tranquillement.
                            Je pense que pour des étudiant du supérieur,qui savent travailler et se prendre en main tout seul,c'est extrement bénefique.
                            Ce secteur pourrait etre developpés,et les professeurs algériens ou autre,pourraient donner des cours a distance,mais par exemple,pour éviter toute absence,le cours sera videoprojeté dans l'amphi.
                            C'est une piste a creuser,surtout dans les domaines ou il n'y a pas besoin de matériels "lourd"comme l'informatique,mathématiques...

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                            • #15
                              Est ce qu'il y a des université ou des instituts privé en algérie?
                              .
                              .
                              ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
                              Napoléon III

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