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cooperation algero americaine sur le dossier du nucleaire

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  • cooperation algero americaine sur le dossier du nucleaire

    l Algerie en a t elle vraiment besoin ?

    الوفد الأمريكي في الجزائر للتوقيع على الاتفاق النووي اليوم
    تاريخ المقال 08/06/2007
    حل، أمس بالجزائر، وفد عن كتابة الدولة الأمريكية للطاقة رفيع المستوى يضم خبراء في الطاقة النووية من وزارتي الخارجية والطاقة الأمريكيتين، في "زيارة عمل" تدوم أربعة أيام لغاية 13 جوان الجاري، حيث سيوقع الوفد مساء اليوم مع وزارة الطاقة والمناجم، بمقر هذه الأخيرة، "اتفاقا نوويا" في مجال الاستعمال السلمي للطاقة الذرية وتسيير النفايات النووية، وأفاد "بيان" صدر عن الوزارة نهاية الأسبوع الماضي أن الاتفاق يحمل تسمية "اتفاق سيستر لابوراتوري".

    وأشار الوزير، منذ أيام، إلى أن بروتوكول الاتفاق الذي سيوقع اليوم بالجزائر من شأنه أن يحدد "آليات التعاون و تبادل التجارب و المعارف و زيارات الخبراء و الأخصائيين و كذا سبل إقامة برامج مشتركة" في مجال البحث النووي، مضيفا أن الجزائر تتعامل حاليا في هذا المجال مع كل من الصين والأرجنتين وروسيا على أمل أن توسع تعاونها لكل من مصر وجنوب إفريقيا.

    وسيقوم الوفد الأمريكي النووي خلال فترة تواجد بالجزائر بإجراء زيارة تفقدية لكل من المفاعلين النووين بعين وسارة بالجلفة والدرارية بالجزائر العاصمة، كما سيجري محادثات مع ممثلي محافظة الطاقة الذرية المشتغلة بمجال الأبحاث النووية لأغراض سلمية ذات "أهداف مدنية".

    ويشار أن مفاعل تطوير الطاقة "السلام" بعين وسارة والذي قدرته 15 ميجا واط، ركب بالجزائر عقب اتفاق شراكة في المجال النووي المدني تم مع الصين الشعبية، فيما حصلت الجزائر على مفاعل الدرارية "النور" والمقدر طاقته ب 3 ميجا واط بعد توقيع اتفاق شراكة مع الأرجنتين. على صعيد آخر، تشهد محافظة الطاقة النووية بالجزائر حالة استياء وغضب وسط الباحثين الذين اعتصموا على مدى يومي الثلاثاء والأربعاء من نهاية الأسبوع المنصرم، حيث نظم عشرات الباحثين العاملين بالمركز النووي وقفة احتجاجية في الساحة الداخلية لمبنى محافظة الطاقة النووية بالعاصمة على مدى ساعتين من الزمن لغاية منتصف النهار، منتقدين الوضع الحالي في تسيير شؤون القطاع كما تحدثوا عن انعدام استرتيجية للقطاع وكذا غياب القانون الأساسي المنظم لمهنة الباحث التابع للقطاع النووي، داعين إلى رد الاعتبار للبحث النووي بالجزائر. للعلم فانه، سيتبع حفل التوقيع على الاتفاق الجزائري الأمريكي ندوة صحفية ينشطها وزير الطاقة والمناجم شكيب خليل.

    بلقاسم عجاج

    http://www.echoroukonline.com/module...ticle&sid=8685

  • #2
    L'Algérie et les Etats-Unis signent un protocole d'accord sur le nucléaire civil
    Accord sur le nucléaire civil

    [Aps 9/6/07] Alger - Le ministère algérien de l'Energie et des Mines et le Département américain de l'Energie ont conclu samedi à Alger un protocole d'accord dans le domaine de l'énergie nucléaire à usage pacifique. L'accord a été signé du côté algérien, par le secrétaire général du ministère de l'Energie et des Mines, M. Faycel Abbas, et du côté américain, par l'administrateur adjoint pour la sûreté nucléaire au département américain de l'Energie, M. William H. Tobey, en présence du ministre, M. Chakib Khelil et de l'ambassadeur des Etats-Unis à Alger, M. Robert S. Ford.


    M. Khelil a qualifié la signature de cet accord d'événement "historique" devant permettre, selon lui, "un échange d'experts et d'expertise en plus du développement des programmes communs de recherche entre les experts des deux pays".

    "C'est un bon démarrage d'une coopération qui s'annonce très fructueuse", puisque, a-t-il dit, la délégation américaine et les experts du Commissariat à l'énergie atomique (Comena) ont déjà tenu ce matin des réunions avant même la signature de l'accord.

    "Ils vont développer des programmes de recherche dans l'intérêt des deux pays", a-t-il ajouté devant un parterre impressionnant de journalistes de la presse nationale et internationale.

    L'ambassadeur américain a indiqué pour sa part que l'accord signé samedi à Alger entre son pays et l'Algérie était "un protocole de jumelage de laboratoires

    (sister laboratory) qui soutient l'utilisation pacifique de l'énergie nucléaire".

    "Le programme de "sister lab" favorise l'utilisation pacifique de la technologie nucléaire avec les pays signataires de traité sur la non prolifération des armes nucléaires en 1968".

    Il a affirmé qu'après cette signature, "des experts techniques du ministère américain de l'énergie travailleront pendant une semaine avec leurs homologues

    du Comena ici en Algérie pour déterminer des projets d'intérêt commun (...) étant donné que l'Algérie envisage de développer son programme civil d'énergie nucléaire".

    "Ces interactions techniques commenceront dans le courant de ce mois dans les installations du Comena", a-t-il précisé.

    Cet accord établira également la coopération entre les laboratoires nationaux des Etats-Unis et les instituts de recherche nucléaire partenaires en Algérie à travers la formation, l'assistance technique et les projets de recherche en association, a-t-il ajouté.

    Il a considéré que l'accord sur le nucléaire, tout comme celui signé entre les deux pays en janvier 2006 sur la coopération dans le domaine de la science et la technologie, "renforcent davantage la coopération technique qui profite aussi bien aux Etats-Unis qu'à l'Algérie.

    Aux journalistes qui se demandaient si les Etats Unis n'allaient pas contrôler régulièrement les installations nucléaires algériennes, M. Khelil a rappelé que des experts de l'Agence internationale de l'énergie nucléaire (AIEA) effectuaient, souvent et depuis des années, ce genre de contrôles en Algérie.

    A la question de savoir si l'Algérie allait procéder à la production de l'électricité à partir du nucléaire, le ministre a indiqué que l'échange d'expertise entre l'Algérie et les Etats-Unis allait toucher à tous les domaines y compris celui de l'électricité, si les deux parties en conviennent.

    Il a rappelé que le développement de l'électronucléaire n'a pas été écarté par l'Algérie et que "cela rentre dans l'utilisation pacifique de l'énergie nucléaire". Il a souligné dans ce cadre que la production de l'électricité en Algérie dépendait pratiquement à 100% du gaz.

    "A long terme, nous allons travailler dans ce sens pour développer et générer de l'électricité à base de nucléaire et on peut le faire avec tous ceux qui seraient désireux de le faire malgré les coûts d'investissement généralement très élevés", a ajouté M. Khelil.

    Affirmant que la volonté politique de développer l'électronucléaire existait, il a indiqué qu'il faut au préalable "mettre à niveau notre expertise dans ce domaine, c'est-à-dire construire des installations, mais aussi pouvoir les faire fonctionner et les entretenir mais aussi de traiter le problème des déchets (nucléaires) à long terme".

    Il a fait savoir, dans ce cadre, qu'en plus des programmes de l'utilisation pacifique de l'énergie atomique dans les ressources en eau, dans l'agriculture, la santé et les hydrocarbures, l'Algérie a deux programmes de planification énergétique avec l'AIEA, l'un concerne l'électronucléaire et l'autre, le dessalement d'eau de mer.

    A une question sur la possibilité d'un accord similaire avec la France, M. Khelil s'est contenté de dire qu'une délégation française "sera reçue la semaine prochaine à Alger pour en discuter".

    L'Algérie est le quatrième pays avec lequel les Etats-Unis concluent un tel accord après le Maroc, la Libye et l'Egypte.

    Elle coopère déjà dans ce domaine avec la Chine, l'Argentine et la Russie, et ambitionne d'élargir cette coopération à l'Egypte et à l'Afrique du Sud.

    L'Algérie possède deux réacteurs nucléaires expérimentaux ou centres de recherches nucléaires de 3 et 15 mégawatts. Le premier, appelé Nour, est installé à Draria (Alger) et a été construit par les Argentins, et le second (Essalem) a été réalisé par les Chinois dans la wilaya de Djelfa.

    La délégation américaine qui séjourne depuis vendredi à Alger pour une visite de six jours, aura notamment des "discussions" au Commissariat à l'Energie atomique (Comena) et se rendra dans les centres de recherche nucléaire de Draria (banlieue sud d'Alger) et de Birine (Djelfa).

    [Aps 9/6/07]
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #3
      Bonsoir,

      l Algerie en a t elle vraiment besoin ?
      C'est dans le civil --> énergie électrique ! Bien sûr qu'elle en a besoin !! (même dans le militaire ça ne peut être que bénéfique = arme de dissuasion )

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      • #4
        zaki17

        c est de l argent foutu dans l air, la la libie est passé par là et apres tant d acaht de materiel et dee recherche, Kafafi s est rendu et a du rendre tout le materiel aus USA, les USA ne te laisseront jamsi aller jsuqu au bout, jute le temps pour acheter, le reste tu connais, sadam, Kadafi, et maintenat l Iran, mais l Iran s est montré inteliigente! jusuqzeu Lá

        vive l Intelligence

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        • #5
          tu peu pas savoir!!les USA peuvent laisser le nucleaire a nimporte quelle pays!!puisque ils on laisser lafghanistan te l'israel a avoir le nucleair?!
          Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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          • #6
            c est naiv mon ami de penser pareil, prendre Isreal comme exemple und reference?
            Tu veux dire le Pakisztan et pas l afganitan?!
            Pour le Pakistan, les USA le regrettent maintenat! Ils ne raterons pas l occasion pour bouziller le pays de Charif!

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