Tweet
Après la “Valse à mille temps” des pétrodollars du Golfe arabe au Maroc, les champions Saoudiens, Emiratis, Koweïtiens et Bahareïnis sont, désormais, talonnés par leurs homologues qataris, qui pénètrent en force le marché des affaires dans le Royaume.
Le boss de la société qatari d’investissements touristiques et immobiliers, ne pensait pas si bien dire, en voulant faire partager son “rêve” qu’il poursuit, avec succès, dans la mise en œuvre des grands projets structurants au plan national, régional et international. En effet, le PDG, Nasser Hassan Al Ansari, philosophe et poète à ses heures, “rêve des choses qui n’ont jamais existé”. En ajoutant dans la foulée, que “le complexe d’Al Houara créera une communauté prospère, élégamment intégrée dans la culture marocaine traditionnelle, entourée par le riche patrimoine des villes historiques et des sites antiques arabes”.
Rien à dire, le Maroc est en train de prospérer, grâce à la solidarité fraternelle des partenaires du Golfe arabique, car les Saoudiens, Emiratis, Bahreïnis, koweïtiens et Qataris s’installent en force chez nous. Et ces derniers ont inauguré un nouveau cycle du Plan Azur dédié à la promotion des régions du Nord du Royaume, en frappant fort à Tanger, avec la construction d’un hôtel de luxe en bord de mer avec Spa et thalasso, un complexe résidentiel composé de palaces, de villas et de résidences de haut standing, un centre international de conférences, une forêt naturelle, un terrain de golf à 18 trous aux standards mondiaux, des centres sportifs, un espace équestre et autres prestations diversifiées. Il s’agit d’une véritable “station internationale unique” pour le régal des regards, des palais et des affects.
En effet, la société qatari Diar investit la coquette somme de 660 millions de dollars pour la réalisation d’un complexe touristique et immobilier de luxe, dans la cité des Grottes d’Hercule, générant 2500 emplois directs et 4500 postes indirects. Le lancement officiel de l’opération Al Houara, le jeudi 31 mai à Rabat, s’étend sur une superficie de 234 hectares pour édifier, à l’horizon 2011 un volume de 2700 lits hôteliers et un lot de 700 unités résidentielles. Et, ainsi, le rêve de Nasser Hassan Al Ansari se concrétise, lorsqu’il s’évertue à expliquer que “si vous rêvez comme nous, vous serez les hôtes de prestige de notre fabuleux voyage autour de la création d’une communauté à la culture unique”. Avant de conclure par ces propos justes : “le Maroc constitue une opportunité exceptionnelle pour bâtir la splendeur”.
Qatari Diar joue la carte de l’innovation à fond, que leur Directeur d’exploitation, l’Américain John W. Word, tente de mettre en œuvre, grâce à ses qualifications académiques, sa riche expérience dans les financements de projets, ses qualités de structuration commerciale, ses capacités d’analyse économique et financière, de gestion des risques et de management de projets, ses atouts de planification économique dont il a capitalisé les connaissances acquises un peu partout dans les grandes sociétés du monde.
Gazette du Maroc - B.M.
Le boss de la société qatari d’investissements touristiques et immobiliers, ne pensait pas si bien dire, en voulant faire partager son “rêve” qu’il poursuit, avec succès, dans la mise en œuvre des grands projets structurants au plan national, régional et international. En effet, le PDG, Nasser Hassan Al Ansari, philosophe et poète à ses heures, “rêve des choses qui n’ont jamais existé”. En ajoutant dans la foulée, que “le complexe d’Al Houara créera une communauté prospère, élégamment intégrée dans la culture marocaine traditionnelle, entourée par le riche patrimoine des villes historiques et des sites antiques arabes”.
Rien à dire, le Maroc est en train de prospérer, grâce à la solidarité fraternelle des partenaires du Golfe arabique, car les Saoudiens, Emiratis, Bahreïnis, koweïtiens et Qataris s’installent en force chez nous. Et ces derniers ont inauguré un nouveau cycle du Plan Azur dédié à la promotion des régions du Nord du Royaume, en frappant fort à Tanger, avec la construction d’un hôtel de luxe en bord de mer avec Spa et thalasso, un complexe résidentiel composé de palaces, de villas et de résidences de haut standing, un centre international de conférences, une forêt naturelle, un terrain de golf à 18 trous aux standards mondiaux, des centres sportifs, un espace équestre et autres prestations diversifiées. Il s’agit d’une véritable “station internationale unique” pour le régal des regards, des palais et des affects.
En effet, la société qatari Diar investit la coquette somme de 660 millions de dollars pour la réalisation d’un complexe touristique et immobilier de luxe, dans la cité des Grottes d’Hercule, générant 2500 emplois directs et 4500 postes indirects. Le lancement officiel de l’opération Al Houara, le jeudi 31 mai à Rabat, s’étend sur une superficie de 234 hectares pour édifier, à l’horizon 2011 un volume de 2700 lits hôteliers et un lot de 700 unités résidentielles. Et, ainsi, le rêve de Nasser Hassan Al Ansari se concrétise, lorsqu’il s’évertue à expliquer que “si vous rêvez comme nous, vous serez les hôtes de prestige de notre fabuleux voyage autour de la création d’une communauté à la culture unique”. Avant de conclure par ces propos justes : “le Maroc constitue une opportunité exceptionnelle pour bâtir la splendeur”.
Qatari Diar joue la carte de l’innovation à fond, que leur Directeur d’exploitation, l’Américain John W. Word, tente de mettre en œuvre, grâce à ses qualifications académiques, sa riche expérience dans les financements de projets, ses qualités de structuration commerciale, ses capacités d’analyse économique et financière, de gestion des risques et de management de projets, ses atouts de planification économique dont il a capitalisé les connaissances acquises un peu partout dans les grandes sociétés du monde.
Gazette du Maroc - B.M.