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La Kabylie et le phénomène du Prisme

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  • La Kabylie et le phénomène du Prisme

    Salam,

    Encastrée dans les haux lieux des montagnes, enlargée par ses côtes et plages, côtoyant la verdure et les sommets, la Kabylie laisse une emprinte indélibile sur les âmes, les esprits, et l'imaginaire de ses habitants. DE part son étendue, de part ses chemins serpentés, elle fait naître des poètes, des combattants, des savants, des penseurs, des lingistes, des chantuers, des beautés, des âmes sensibles, des amertumes, des larmes laissées sur les séparations forcées, des nots et souvenirs, des livres, des stelles, des mausollés, des perles, et enfin des traces pour elle meme et pour toute l'algérie qui veux la comprendre et s'harmoniser avec ses racines, historiques et a-historiques.

    La kabylie à donné naissance à des penseurs authentiques et a-typiques: je cite ceux je considère ayant qcq avec son présent et qui sont prouve de diversité , Mouloud Mammeri, Mouloud Nait Belkacem, mohamed Arkoun, et enfin Rachid Bennaissa. Tous ses penseurs , les 2 premiers nous quitté ( Allah Yarhamhoum, ) les 2 derniers activant et vivant en France ( PAris), sont preuve de la diversité que la Kabylie ait pû donné au monde de la culture, de la pensée, de l'activisme, et enfin du nationnalisme.


    Avez vous lû ou écouté leurs travaux et leur contributions, et que pensez vous de leur impacts sur la kabylie et l'algérie.
    De l'algérie je suis nostalgique

  • #2
    elle a aussi enfanté un nombre important d'hommes politiques superieure à la moyenne nationale du moins jusqu'a présent !

    voici une recente declaration de said Sadi.

    « A chaque fois que la Kabylie a été agressée, c’est l’Algérie qui a régressé. »

    suite de l'article :

    « Les valeurs culturelles sont menacées »
    Saïd Sadi

    Boumediène, je l’avais combattu, mais il avait un projet et ne misait pas sur la délinquance. Actuellement, le seul projet du Pouvoir est la démolition systématique des compétences et des valeurs positives », a lancé Saïd Sadi lors d’une conférence-débat organisée hier à l’université de Tizi Ouzou.

    L’adversité sous le parti unique était plus gérable, selon M. Sadi, que la conjoncture présente où « le Pouvoir utilise la corruption et le chantage, donnant la prime à la délinquance ». La scène politique étant devenue un champ de ruines, ce sont les valeurs culturelles qui sont actuellement menacées, dira M. Sadi, parlant de la situation en Kabylie. « L’agression des repères » se traduit par la visite d’Ouyahia en Kabylie le jour de l’anniversaire du printemps noir, ajoute le président du RCD, qui lancera : « La politique, c’est d’abord la morale. Et la préservation des repères est un impératif. Je n’ai jamais célébré le 19 Juin, et ce n’est pas à Ouyahia de commémorer le 20 Avril ou de baptiser des lieux au nom de Matoub, d’autant que le chanteur a tout dit de son vivant », faisant allusion aux activités organisées par une aile des archs qu’il a qualifiée de « délégués gouvernementaux ». Le chef du gouvernement a été dans le collimateur de M. Sadi, qui a décoché des flèches à l’encontre de celui qui fut ministre de la Justice pendant les événements de Kabylie, comme l’a-t-on rappelé au cours de la conférence. « Jusqu’ici, c’est la manœuvre qui a dominé. Qu’attend-on pour juger ceux qui ont commis les assassinats en 2001 ? On tergiverse sur la reconnaissance de tamazight en tant que langue officielle. Bouteflika a été plus courageux en disant non dès le départ », dira M. Sadi. « L’amnésie en Kabylie conditionne l’amnistie en Algérie », avertira l’orateur, qui assène une autre formule : « A chaque fois que la Kabylie a été agressée, c’est l’Algérie qui a régressé. » Il appellera à la solidarité pour remettre sur rails le combat démocratique et sortir de l’ornière faisant de la Kabylie « le laboratoire du malheur pour le régime ». Le retour à une vie politique normale, synonyme de l’expression libre des citoyens, est inéluctable, selon M. Sadi, qui mettra en garde contre la tentation d’ériger « l’empêchement des élections » en principe. La tenue d’élections partielles à mi-chemin du mandat local n’est pas convaincant aux yeux de M. Sadi, qui s’étonne qu’on se souvienne de la non-représentativité des élus deux ans et demi après la validation des résultats. Des manœuvres visant à miner de nouvelles élections sont en cours, avertira-t-il : « Faute d’imposer ses partis dans les élections locales, le Pouvoir s’occupe de parasiter des structures villageoises pour bloquer des représentations populaires cadrées par des élites politiques de la région. » Une stratégie qui entre dans « la déstructuration des repères et des valeurs culturelles locales ». Le nerf de la guerre est l’argent rendu disponible par « le score faramineux d’avril 2004 ».

    Djaffar Tamani
    elwatan 19/04/05

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    • #3
      Kabylie

      J'ai lu l'histoire de l'Algérie à plusieurs reprises ainsi qu'au niveau des évenements récents, la kabylie à toujours été un moteur pour l'Algérie et comme tous les grands de ce monde (LaFontaine, Rousseau, Descartes ...) Ils se sont attirés les foudres de tous mais heureusement qu'il garde cette rebellions en eux et cette avance sans ça on resterai sans avancer bravo la kabylie peuple que j'ai appris à connaitre et admire ,

      Dans le futur on comprera mieux tout ce que vous avez fait comme nous comprenons les personnes cités tout à l'heure maintenant bravo et merci vraiment
      jeune fille admirative

      Commentaire

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