Salamalikoumme.
Ah enfin ! Je suis heureux de vous proposer cette lecture et d'imaginer le plaisir que vous aurez à parcourir les pages de ce grand livre d'Histoire .
Je souhaite vous faire noter que vu les réactions primitives de certains intervenants sur le déjà extrait posté sur un autre topic , je me suis vû contraint de "censurer" certains passages (surtout vers la fin) pour ne pas leurs faire ce plaisir et leur rendre service , en les laissant m'assigner un autre rôle qui n'est que de transmettre et de partager un quelconque savoir .
A suivre ...
Ah enfin ! Je suis heureux de vous proposer cette lecture et d'imaginer le plaisir que vous aurez à parcourir les pages de ce grand livre d'Histoire .
Je souhaite vous faire noter que vu les réactions primitives de certains intervenants sur le déjà extrait posté sur un autre topic , je me suis vû contraint de "censurer" certains passages (surtout vers la fin) pour ne pas leurs faire ce plaisir et leur rendre service , en les laissant m'assigner un autre rôle qui n'est que de transmettre et de partager un quelconque savoir .
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-LES JUIFS ALGÉRIENS-
Leurs Origines
Par -Henri GARROT-ALGER
LIBRAIRIE LOUIS RELIN, 1, RUE DUMONT-D’URVILLE 1898
LA GENÈSE D’UN PEUPLE
SOMMAIRE :
Deux chapitres de la Genèse. — Une jeune France. — Les
tribus d’Israël en marche. — Le rêve d’un capitaliste. — Race
maudite. — Quarante siècles en retard. — Espions des deux
partis. — Sentiment léger de la reconnaissance. — Illusions.
Où l’on voit apparaître Crémieux le faussaire. — L’Administration
française en péril. — D’où viennent les Juifs ?
LA GENÈSE D’UN PEUPLE
-LES JUIFS ALGÉRIENS-
Leurs Origines
Par -Henri GARROT-ALGER
LIBRAIRIE LOUIS RELIN, 1, RUE DUMONT-D’URVILLE 1898
LA GENÈSE D’UN PEUPLE
SOMMAIRE :
Deux chapitres de la Genèse. — Une jeune France. — Les
tribus d’Israël en marche. — Le rêve d’un capitaliste. — Race
maudite. — Quarante siècles en retard. — Espions des deux
partis. — Sentiment léger de la reconnaissance. — Illusions.
Où l’on voit apparaître Crémieux le faussaire. — L’Administration
française en péril. — D’où viennent les Juifs ?
LA GENÈSE D’UN PEUPLE
« Or, il y eut une famine dans le pays, et Abram descendit en Égypte pour y séjourner, car la famine était grande dans le pays. Et comme il était prêt d’entrer en Égypte, il dit à Saraï, sa femme : Voici, je sais que tu es une belle femme ; et il arrivera que lorsque les Égyptiens t’auront vue, ils diront : C’est sa femme, et ils me tueront ; mais ils te laisseront vivre. Dis, je te prie, que tu es ma soeur, afin que je sois bien traité à cause de toi, et que j’aie la vie sauve grâce à toi.
Et dès qu’Abram fut arrivé en Égypte, les Égyptiens virent que cette femme était fort belle.
Et les princes de la Cour de Pharaon la virent et la louèrent devant Pharaon, et la femme fut amenée dans la maison de Pharaon.
Et il fit du bien à Abram à cause, d’elle, et il eut des brebis et des ânes, des serviteurs et des servantes, des ânesses et des chameaux. Mais l’Eternel frappa de grandes plaies Pharaon et sa maison , à cause de Saraï, femme d’Abram.
Alors Pharaon appela Abram et lui dit : Qu’est-ce que tu m’as fait ? Pourquoi ne m’as-tu pas déclaré que c’était ta femme ? Pourquoi as-tu, dit : c’est ma soeur ; en sorte que je l’ai prise pour femme ? Maintenant, voici ta femme, prends-là et vat-en. Et Pharaon donna ordre pour lui à des gens qui le reconduisirent, lui et sa femme, et tout ce qui lui appartenait.
« Abraham partit de là pour le pays da Midi, et il demeura entre Kadés et Shur, et il séjourna à Guérar. Et Abraham dit de Sara sa femme : c’est ma soeur.
Et Abimélek,roi de Guérar,envoya enlever Sara. Mais Dieu vint vers Abimélek, en songe,pendant la nuit, et lui dit : Voici, tu es mort, à cause de la
femme que tu as prise, car elle a un mari. Or, Abimèlek ne s’était point approché d’elle.
Et il répondit : Seigneur ferais-tu périr même une nation juste ? Ne m’a-t-il pas dit : C’est ma soeur ?
Et elle, elle aussi, n’a-t-elle pas dit : C’est mon frère ? C’est dans l’intégrité de mon coeur et dans l’innocence de mes mains que j’ai fait cela.
Et Dieu lui dit en songe : Moi aussi je sais que tu l’as fait dans l’intégrité de ton coeur ; aussi t’ai-je empêché de pécher contre moi ; c’est pour cela que je n’ai point permis que tu la touchasses.
Mais maintenant rends la femme de cet homme, car il est prophète ; et il priera pour toi , et tu vivras.
Mais si tu ne la rends pas, sache que tu mourras certainement, toi et tout ce qui est à toi.Et Abimèlek se leva de bon matin, et appela tous ses serviteurs,et leur fit entendre toutes ces paroles ; et ces gens furent saisis de crainte. Puis Abimélek appela Abraham et lui dit : Que nous as-tu fait ? Et en quoi t’ai je offensé que tu as fait venir sur moi et sur mon royaume un aussi grand péché ? Tu as fait à mon égard des choses qui ne se font pas. Puis Abimélek dit à Abraham : Qu’avais-tu en vue pour en agir ainsi ?
Et Abraham répondit : C’est que je me suis dit : Il n’y a sûrement aucune crainte de Dieu dans ce lieu et ils me tueront à cause de ma femme.
Mais aussi, en vérité, elle est ma soeur, fille de mon père,seulement elle n’est point fille de ma mère ; et elle est devenue ma femme.
Or, lorsque Dieu me fit errer loin de la maison de mon père, je lui dis : Voici la faveur que tu me feras : Dans tous les lieux où nous irons, dis de moi : C’est mon frère.
Alors Abimélek prit des brebis et des boeufs, des serviteurs et des servantes et les donna à Abraham, et il lui rendit sa femme Sara.
Et Abimélek dit : Voici, mon pays est à votre disposition, habite où il te plaira. Et il dit à Sara : Voici, j’ai donné à ton frère mille pièces d’argent , voici ce sera pour toi un voile sur les yeux, devant tous ceux qui sont avec toi ; et , auprès de tous, tu seras justifiée.
Et Abraham pria Dieu, et Dieu guérit Abimélek, sa femme et ses servantes, et elles enfantèrent.
Car l’Éternel avait entièrement rendu stérile toute la maison d’Abimélek, à cause de Sara, femme d’Abraham ».
La Genèse, CHAPITRE XX. »
Il y a 27 ans, parlant de d’Algérie, on citait ce pays comme une terre heureuse.
C’est que la génération nouvelle alors en formation dans la colonie, allait rapidement, en dépit des imperfections inhérentes au groupement trop précipité peut être d’éléments divers et partant dissemblables, vers la constitution d’une jeune France africaine au sang frais et vigoureux.
A ce moment, les tribus d’Israël, devenues depuis les créancières implacables des sociétés, cheminaient.
Vivant depuis des siècles dans l’attente, elles attendaient.
Elles étaient dans l’expectative immuable, qui doit être éternelle, de la domination sur les gentils.
Et parce qu’un vieux bédouin, leur ancêtre Abraham, un M. Charles de l’époque, enrichi du produit des charmes avariés de la belle et dangereuse Sarah qu’il avait épousée, bien qu’elle fût sa soeur, expulsé d’Égypte et de Guérar où il faisait un trop vilain métier et revenu au pays avec un gros sac ; un soir ou il reposait, ayant compté son or, auprès de son épouse jusqu’alors stérile, avait rêvé que sa postérité devenue aussi nombreuse que les étoiles brillant au ciel, commanderait un jour aux nations; les fils des arrières petits fils de la Juive chassés du lit du Pharaon et de la couche d’Abimélek, marchaient à la conquête de la domination des peuples.
Faisant leur route à travers les mondes, ils allaient, confiants dans la réalisation d’un songe venu au cerveau halluciné d’un vieillard fatigué, pendant le cauchemar d’une nuit agitée.
Cette annonce insensée d’un avènement impossible, est cependant la nuée conductrice, guidant à travers les ages depuis 4,000 ans, cette race qui va, souffre, jouit, mêlée à tout,ne se mêlant jamais, et demeurant intacte.
Dieu la marqua du signe de sa malédiction ; et quand les peuples unis, les mains tendues, se groupent allant ensemble vers le progrès ; cette race aveuglée, ne reconnaissant pas que tous songes sont mensonges, revient à ses légendes et vivant parmi nous, retarde de quarante siècles !
Les Juifs indigènes d’Algérie, venus dans ce pays après les dispersions, n’en étaient pas plus avancés il y a 27 ans, au point de vue moral, qu’ils l’étaient à l’époque où la Judée fût réduite en province romaine.
Notre venue les délivra de l’abjection dans laquelle ils vivaient en Afrique.
En contact avec nous depuis 1830, espions de nos armées aussi bien que de celles des deys, servant les deux partis,ils n’avaient pris aucune part au mouvement d’amélioration sociale apporté par nos armes.
Avant notre arrivée ils ne possédaient rien ; mais si notre occupation, ayant été pour eux une source de profits, les avait enrichis, le sentiment de la reconnaissance n’avait jamais tenu chez eux une place encombrante.
Très au courant de tout, malgré une feinte ignorance des événements d’Europe, ils avaient appris, qu’en France, l’oeuvre s’accomplissait.
Ils savaient qu’une force puissance, celle de leur peuple , s’organisait au-delà de la mer, et confiants, ils attendaient.
Ils auraient attendu longtemps encore, si leur coreligionnaire Crémieux, profitant de nos préoccupations patriotiques pendant les tristes avènements de 1870, n’avait cru, au moyen d’un faux, les investir de nos droits.
Les Juifs abusèrent aussitôt de la situation, et firent naître ensuite de leurs exigences, de leurs prétentions, de leur orgueil , cette question juive en Algérie, qui met actuellement notre domination en péril.
D’où viennent donc les Juifs devenus encombrants dans la belle Algérie, où ils détiennent tout ?
Leur histoire, pour être compliquée ne saurait être longue , car elle se , répète ; nous; allons l’exposer.
Et dès qu’Abram fut arrivé en Égypte, les Égyptiens virent que cette femme était fort belle.
Et les princes de la Cour de Pharaon la virent et la louèrent devant Pharaon, et la femme fut amenée dans la maison de Pharaon.
Et il fit du bien à Abram à cause, d’elle, et il eut des brebis et des ânes, des serviteurs et des servantes, des ânesses et des chameaux. Mais l’Eternel frappa de grandes plaies Pharaon et sa maison , à cause de Saraï, femme d’Abram.
Alors Pharaon appela Abram et lui dit : Qu’est-ce que tu m’as fait ? Pourquoi ne m’as-tu pas déclaré que c’était ta femme ? Pourquoi as-tu, dit : c’est ma soeur ; en sorte que je l’ai prise pour femme ? Maintenant, voici ta femme, prends-là et vat-en. Et Pharaon donna ordre pour lui à des gens qui le reconduisirent, lui et sa femme, et tout ce qui lui appartenait.
» La Genèse, CHAPITRE XII.
« Abraham partit de là pour le pays da Midi, et il demeura entre Kadés et Shur, et il séjourna à Guérar. Et Abraham dit de Sara sa femme : c’est ma soeur.
Et Abimélek,roi de Guérar,envoya enlever Sara. Mais Dieu vint vers Abimélek, en songe,pendant la nuit, et lui dit : Voici, tu es mort, à cause de la
femme que tu as prise, car elle a un mari. Or, Abimèlek ne s’était point approché d’elle.
Et il répondit : Seigneur ferais-tu périr même une nation juste ? Ne m’a-t-il pas dit : C’est ma soeur ?
Et elle, elle aussi, n’a-t-elle pas dit : C’est mon frère ? C’est dans l’intégrité de mon coeur et dans l’innocence de mes mains que j’ai fait cela.
Et Dieu lui dit en songe : Moi aussi je sais que tu l’as fait dans l’intégrité de ton coeur ; aussi t’ai-je empêché de pécher contre moi ; c’est pour cela que je n’ai point permis que tu la touchasses.
Mais maintenant rends la femme de cet homme, car il est prophète ; et il priera pour toi , et tu vivras.
Mais si tu ne la rends pas, sache que tu mourras certainement, toi et tout ce qui est à toi.Et Abimèlek se leva de bon matin, et appela tous ses serviteurs,et leur fit entendre toutes ces paroles ; et ces gens furent saisis de crainte. Puis Abimélek appela Abraham et lui dit : Que nous as-tu fait ? Et en quoi t’ai je offensé que tu as fait venir sur moi et sur mon royaume un aussi grand péché ? Tu as fait à mon égard des choses qui ne se font pas. Puis Abimélek dit à Abraham : Qu’avais-tu en vue pour en agir ainsi ?
Et Abraham répondit : C’est que je me suis dit : Il n’y a sûrement aucune crainte de Dieu dans ce lieu et ils me tueront à cause de ma femme.
Mais aussi, en vérité, elle est ma soeur, fille de mon père,seulement elle n’est point fille de ma mère ; et elle est devenue ma femme.
Or, lorsque Dieu me fit errer loin de la maison de mon père, je lui dis : Voici la faveur que tu me feras : Dans tous les lieux où nous irons, dis de moi : C’est mon frère.
Alors Abimélek prit des brebis et des boeufs, des serviteurs et des servantes et les donna à Abraham, et il lui rendit sa femme Sara.
Et Abimélek dit : Voici, mon pays est à votre disposition, habite où il te plaira. Et il dit à Sara : Voici, j’ai donné à ton frère mille pièces d’argent , voici ce sera pour toi un voile sur les yeux, devant tous ceux qui sont avec toi ; et , auprès de tous, tu seras justifiée.
Et Abraham pria Dieu, et Dieu guérit Abimélek, sa femme et ses servantes, et elles enfantèrent.
Car l’Éternel avait entièrement rendu stérile toute la maison d’Abimélek, à cause de Sara, femme d’Abraham ».
La Genèse, CHAPITRE XX. »
Il y a 27 ans, parlant de d’Algérie, on citait ce pays comme une terre heureuse.
C’est que la génération nouvelle alors en formation dans la colonie, allait rapidement, en dépit des imperfections inhérentes au groupement trop précipité peut être d’éléments divers et partant dissemblables, vers la constitution d’une jeune France africaine au sang frais et vigoureux.
A ce moment, les tribus d’Israël, devenues depuis les créancières implacables des sociétés, cheminaient.
Vivant depuis des siècles dans l’attente, elles attendaient.
Elles étaient dans l’expectative immuable, qui doit être éternelle, de la domination sur les gentils.
Et parce qu’un vieux bédouin, leur ancêtre Abraham, un M. Charles de l’époque, enrichi du produit des charmes avariés de la belle et dangereuse Sarah qu’il avait épousée, bien qu’elle fût sa soeur, expulsé d’Égypte et de Guérar où il faisait un trop vilain métier et revenu au pays avec un gros sac ; un soir ou il reposait, ayant compté son or, auprès de son épouse jusqu’alors stérile, avait rêvé que sa postérité devenue aussi nombreuse que les étoiles brillant au ciel, commanderait un jour aux nations; les fils des arrières petits fils de la Juive chassés du lit du Pharaon et de la couche d’Abimélek, marchaient à la conquête de la domination des peuples.
Faisant leur route à travers les mondes, ils allaient, confiants dans la réalisation d’un songe venu au cerveau halluciné d’un vieillard fatigué, pendant le cauchemar d’une nuit agitée.
Cette annonce insensée d’un avènement impossible, est cependant la nuée conductrice, guidant à travers les ages depuis 4,000 ans, cette race qui va, souffre, jouit, mêlée à tout,ne se mêlant jamais, et demeurant intacte.
Dieu la marqua du signe de sa malédiction ; et quand les peuples unis, les mains tendues, se groupent allant ensemble vers le progrès ; cette race aveuglée, ne reconnaissant pas que tous songes sont mensonges, revient à ses légendes et vivant parmi nous, retarde de quarante siècles !
Les Juifs indigènes d’Algérie, venus dans ce pays après les dispersions, n’en étaient pas plus avancés il y a 27 ans, au point de vue moral, qu’ils l’étaient à l’époque où la Judée fût réduite en province romaine.
Notre venue les délivra de l’abjection dans laquelle ils vivaient en Afrique.
En contact avec nous depuis 1830, espions de nos armées aussi bien que de celles des deys, servant les deux partis,ils n’avaient pris aucune part au mouvement d’amélioration sociale apporté par nos armes.
Avant notre arrivée ils ne possédaient rien ; mais si notre occupation, ayant été pour eux une source de profits, les avait enrichis, le sentiment de la reconnaissance n’avait jamais tenu chez eux une place encombrante.
Très au courant de tout, malgré une feinte ignorance des événements d’Europe, ils avaient appris, qu’en France, l’oeuvre s’accomplissait.
Ils savaient qu’une force puissance, celle de leur peuple , s’organisait au-delà de la mer, et confiants, ils attendaient.
Ils auraient attendu longtemps encore, si leur coreligionnaire Crémieux, profitant de nos préoccupations patriotiques pendant les tristes avènements de 1870, n’avait cru, au moyen d’un faux, les investir de nos droits.
Les Juifs abusèrent aussitôt de la situation, et firent naître ensuite de leurs exigences, de leurs prétentions, de leur orgueil , cette question juive en Algérie, qui met actuellement notre domination en péril.
D’où viennent donc les Juifs devenus encombrants dans la belle Algérie, où ils détiennent tout ?
Leur histoire, pour être compliquée ne saurait être longue , car elle se , répète ; nous; allons l’exposer.
A suivre ...
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