par Mohamed Badaoui
On nous le répète depuis toujours : l’Algérie est un pays important tant par son histoire, par son étendue que par sa position géostratégique et ses ressources. La preuve, dit-on, le président Bouteflika est l’un des rares dirigeants du tiers-monde à être invités au sommet du G8.
On a, en outre, parlé de pays pivot de la politique internationale américaine en citant un stratège connu, Paul Kennedy. De temps à autre, des informations font part également de coopération hautement appréciée par la première puissance mondiale en matière de lutte antiterroriste.
Paris elle-même serait en train de courir à perdre haleine, depuis des années, pour décrocher un traité d’amitié avec Alger la boudeuse. Et voilà qu’on nous dit aussi que Washington a piqué une crise de jalousie après la concrétisation d’un accord qui permet à la Russie de Poutine le terrible d’écouler, en contrepartie d’un montant de 7,5 milliards de dollars, des Mig, des Sukhoi et autres armes en Algérie.
Une colère compréhensible si l’on sait aussi que les Etats-Unis ont été éconduits après leur tentative d’arracher un laissez-passer pour installer une base militaire dans le Grand-Sud algérien. A la bonne heure ! Notre pays n’est donc pas si loin des centres d’intérêts planétaires.
Reste à attendre le déversement des investissements qui le tireront définitivement du sous-développement. Un bond en avant qui renforcera sa position de leader régional, comme c’est le cas du Brésil, du Mexique ou de la Turquie. Sauf qu’en matière d’argent, les positions divergent sensiblement.
jeune indepandent
On nous le répète depuis toujours : l’Algérie est un pays important tant par son histoire, par son étendue que par sa position géostratégique et ses ressources. La preuve, dit-on, le président Bouteflika est l’un des rares dirigeants du tiers-monde à être invités au sommet du G8.
On a, en outre, parlé de pays pivot de la politique internationale américaine en citant un stratège connu, Paul Kennedy. De temps à autre, des informations font part également de coopération hautement appréciée par la première puissance mondiale en matière de lutte antiterroriste.
Paris elle-même serait en train de courir à perdre haleine, depuis des années, pour décrocher un traité d’amitié avec Alger la boudeuse. Et voilà qu’on nous dit aussi que Washington a piqué une crise de jalousie après la concrétisation d’un accord qui permet à la Russie de Poutine le terrible d’écouler, en contrepartie d’un montant de 7,5 milliards de dollars, des Mig, des Sukhoi et autres armes en Algérie.
Une colère compréhensible si l’on sait aussi que les Etats-Unis ont été éconduits après leur tentative d’arracher un laissez-passer pour installer une base militaire dans le Grand-Sud algérien. A la bonne heure ! Notre pays n’est donc pas si loin des centres d’intérêts planétaires.
Reste à attendre le déversement des investissements qui le tireront définitivement du sous-développement. Un bond en avant qui renforcera sa position de leader régional, comme c’est le cas du Brésil, du Mexique ou de la Turquie. Sauf qu’en matière d’argent, les positions divergent sensiblement.
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