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L’Algérie qui estime que rien ne presse pour adhérer à OMC déplore les insuffisances constatées dans la mise en œuvre du partenariat euro-méditerranéen.
jeudi 14 juin 2007.
Avec le basculement des pays en développement vers l’économie de marché, ces derniers, loin de conquérir des parts de marché à l’étranger, peuvent même être amenés à perdre leurs propres parts de marché sur le territoire national. La préparation à une compétition économique dans un contexte où les firmes internationales se comportent comme si elles évoluent dans une guerre économique où il y aura des vainqueurs et des vaincus devrait s’inscrire dans la durée sous peine, bien évidemment, de voir s’effondrer des pans entiers de l’industrie des pays en développement. L’Algérie avait raison de dire que rien ne presse pour adhérer à OMC, comme elle avait raison lorsqu’elle signalait les insuffisances constatées dans la mise en œuvre du partenariat euro-méditerranéen, suite au constat que les partenaires du Nord n’avaient pas tenu leurs engagements.
C’est d’ailleurs une constante que les promesses ne soient pas souvent tenues, ne serait-ce qu’à se rapporter au cas où les huit pays les plus industrialisés du monde, c’est-à-dire les membres du G8, n’ont pas tenu leurs engagements envers les pays africains, ce qu’avait publiquement reconnu le chef du gouvernement de la Grande-Bretagne. Ce sont pratiquement les pays du G8, à l’exception de la Russie, qui ont exercé une forte pression sur les pays en développement comme l’Algérie pour que ceux-ci élaborent et mettent en œuvre des réformes économiques et financières qui leur permettront de s’ouvrir à l’économie de marché. Mais, ces pays riches et développés n’ont pas apporté la contrepartie promise, à savoir les IDE, plaçant les pays en développement sur une passerelle qui interdit le chemin du retour mais qui gêne énormément la marche vers le libéralisme.
jeudi 14 juin 2007.
Avec le basculement des pays en développement vers l’économie de marché, ces derniers, loin de conquérir des parts de marché à l’étranger, peuvent même être amenés à perdre leurs propres parts de marché sur le territoire national. La préparation à une compétition économique dans un contexte où les firmes internationales se comportent comme si elles évoluent dans une guerre économique où il y aura des vainqueurs et des vaincus devrait s’inscrire dans la durée sous peine, bien évidemment, de voir s’effondrer des pans entiers de l’industrie des pays en développement. L’Algérie avait raison de dire que rien ne presse pour adhérer à OMC, comme elle avait raison lorsqu’elle signalait les insuffisances constatées dans la mise en œuvre du partenariat euro-méditerranéen, suite au constat que les partenaires du Nord n’avaient pas tenu leurs engagements.
C’est d’ailleurs une constante que les promesses ne soient pas souvent tenues, ne serait-ce qu’à se rapporter au cas où les huit pays les plus industrialisés du monde, c’est-à-dire les membres du G8, n’ont pas tenu leurs engagements envers les pays africains, ce qu’avait publiquement reconnu le chef du gouvernement de la Grande-Bretagne. Ce sont pratiquement les pays du G8, à l’exception de la Russie, qui ont exercé une forte pression sur les pays en développement comme l’Algérie pour que ceux-ci élaborent et mettent en œuvre des réformes économiques et financières qui leur permettront de s’ouvrir à l’économie de marché. Mais, ces pays riches et développés n’ont pas apporté la contrepartie promise, à savoir les IDE, plaçant les pays en développement sur une passerelle qui interdit le chemin du retour mais qui gêne énormément la marche vers le libéralisme.
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