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Bonsoir
Une source sécuritaire avait révélé qu’un groupe de terroristes ayant bénéficiés des dispositions de la Charte pour la paix et de la réconciliation nationale serait en phase de recomposition. Ce même groupe, qui avait figuré sur une photo avec le fils d’Ali Benhadj, préparait son adhésion aux rangs d’El-Qaïda aux pays du Maghreb.
Les services de sécurité ont mis la main sur Challali A. alias " Abou El Hareth ", qui avait la charge d’introduire des Maghrébins dans les rangs d’El-Qaïda, avec le numéro deux de cette organisation " Samir Sayoud " alias " Mousaïb ", ce dernier a été mis hors d’état de nuire le mois d’avril dernier.
A titre de rappel, Abou El-Hareth avait bénéficié des dispositions de la charte en mars 2006. Abou El Hareth était condamné à six ans de prison ferme en 2004 et a quitté la prison, en compagnie de Abla. H, alias Ayoub et Abderahmane. Selon une source bien informée, " Abou El-Hareth et ses acolytes avaient décidés de poursuivre leur activités terroristes lorsqu’ils étaient à la prison d’El-Harrach ".
D’une part, avant leur acquittement, Abou El Hareth était muté vers la prison de Chlef, puis Sidi Bel Abbès. Notre source a ajouté que Abou El-Hareth avait repris les contacts avec " Ayoub " " quelques semaines avant leur acquittement et ils ont pu nouer des contacts avec les membres d’El-Qaïda de la région de Boghni ", avant que les services de sécurité " ne soit informés du cas de Ayoub " a précisée notre source.
D’autre part, notre source a affirmé que ces nouveaux candidats à la mort sous la houlette d’El-Qaïda " voulaient rejoindre les cellules de cette organisation dans les monts de Bouchakour aux Issers, Boumerdès. " Outre ces contacts, notre source a précisé que ces activités ont été menées au mois de mai 2006, soit deux mois après avoir quitté la prison.
Poursuivant leurs contacts, Abou El-Hareth a noué des relations avec des membres de l’ex GSPC et leur a fait savoir qu’il avait rencontré auparavant " Samir Mousaïb " le numéro deux d’El-Qaïda au Maghreb, confirme notre source qui a ajoutée que " tous les conclaves de terroristes se tenaient aux monts de Bouchakour pour mieux coordonner l’action terroriste et appuyer les autres groupes en logistiques et matériels ainsi que les déplacements entre les différentes wilayas du pays, afin de recruter de nouveaux candidats". La source a ajouté que " Ayoub " et " Samir Mousaïb " avaient recrutés trois terroristes de nationalité marocaine, qu’ils ont accueillis à Oran. Ces trois nouveaux venus renforcer les rangs d’El-Qaïda ont été mutés vers Alger pour rejoindre à la fin du parcours, les monts de Beni Amrane situés à Boumerdès. La même source a précisée que Abou El Hareth avait accueillis ces trois Marocains dans une place proche de la mairie d’Oran, puis il les a accompagné à Gué de Constantine à Alger, pour rejoindre, la nuit, les maquis de Beni Amrane, a-t-elle tenue à préciser avant d’ajouter que ces mêmes éléments ont été photographiés avec Abdelqahar Benhadj, fils de Ali Benhadj, le N° 2 de l’ex-FIS, à Boumerdès.
D’autre part, notre source ajoute que Abou El Hareth était chargé par " Ayoub " de se déplacer à Béjaïa est transporter des armes et du matériel électronique pour leur besoin en photographie et en enregistrements. Une autre mission qui lui était assignée, " est l’envoie d’enregistrements d’opérations du GSPC à Tizi Ouzou à la presse nationale avant d’être arrêté par les services de sécurité en mai dernier", a conclu notre source.
La Dépêche de Kabylie
Une source sécuritaire avait révélé qu’un groupe de terroristes ayant bénéficiés des dispositions de la Charte pour la paix et de la réconciliation nationale serait en phase de recomposition. Ce même groupe, qui avait figuré sur une photo avec le fils d’Ali Benhadj, préparait son adhésion aux rangs d’El-Qaïda aux pays du Maghreb.
Les services de sécurité ont mis la main sur Challali A. alias " Abou El Hareth ", qui avait la charge d’introduire des Maghrébins dans les rangs d’El-Qaïda, avec le numéro deux de cette organisation " Samir Sayoud " alias " Mousaïb ", ce dernier a été mis hors d’état de nuire le mois d’avril dernier.
A titre de rappel, Abou El-Hareth avait bénéficié des dispositions de la charte en mars 2006. Abou El Hareth était condamné à six ans de prison ferme en 2004 et a quitté la prison, en compagnie de Abla. H, alias Ayoub et Abderahmane. Selon une source bien informée, " Abou El-Hareth et ses acolytes avaient décidés de poursuivre leur activités terroristes lorsqu’ils étaient à la prison d’El-Harrach ".
D’une part, avant leur acquittement, Abou El Hareth était muté vers la prison de Chlef, puis Sidi Bel Abbès. Notre source a ajouté que Abou El-Hareth avait repris les contacts avec " Ayoub " " quelques semaines avant leur acquittement et ils ont pu nouer des contacts avec les membres d’El-Qaïda de la région de Boghni ", avant que les services de sécurité " ne soit informés du cas de Ayoub " a précisée notre source.
D’autre part, notre source a affirmé que ces nouveaux candidats à la mort sous la houlette d’El-Qaïda " voulaient rejoindre les cellules de cette organisation dans les monts de Bouchakour aux Issers, Boumerdès. " Outre ces contacts, notre source a précisé que ces activités ont été menées au mois de mai 2006, soit deux mois après avoir quitté la prison.
Poursuivant leurs contacts, Abou El-Hareth a noué des relations avec des membres de l’ex GSPC et leur a fait savoir qu’il avait rencontré auparavant " Samir Mousaïb " le numéro deux d’El-Qaïda au Maghreb, confirme notre source qui a ajoutée que " tous les conclaves de terroristes se tenaient aux monts de Bouchakour pour mieux coordonner l’action terroriste et appuyer les autres groupes en logistiques et matériels ainsi que les déplacements entre les différentes wilayas du pays, afin de recruter de nouveaux candidats". La source a ajouté que " Ayoub " et " Samir Mousaïb " avaient recrutés trois terroristes de nationalité marocaine, qu’ils ont accueillis à Oran. Ces trois nouveaux venus renforcer les rangs d’El-Qaïda ont été mutés vers Alger pour rejoindre à la fin du parcours, les monts de Beni Amrane situés à Boumerdès. La même source a précisée que Abou El Hareth avait accueillis ces trois Marocains dans une place proche de la mairie d’Oran, puis il les a accompagné à Gué de Constantine à Alger, pour rejoindre, la nuit, les maquis de Beni Amrane, a-t-elle tenue à préciser avant d’ajouter que ces mêmes éléments ont été photographiés avec Abdelqahar Benhadj, fils de Ali Benhadj, le N° 2 de l’ex-FIS, à Boumerdès.
D’autre part, notre source ajoute que Abou El Hareth était chargé par " Ayoub " de se déplacer à Béjaïa est transporter des armes et du matériel électronique pour leur besoin en photographie et en enregistrements. Une autre mission qui lui était assignée, " est l’envoie d’enregistrements d’opérations du GSPC à Tizi Ouzou à la presse nationale avant d’être arrêté par les services de sécurité en mai dernier", a conclu notre source.
La Dépêche de Kabylie
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