Tiré de la Depêche de Kabylie .......... d'aucuns diraient de la débauche de K. !!!!
Un plan d’urgence s’impose
l “Tout va bien mal” en Kabylie, et il n’y a qu’à jeter un coup d’œil autour de soi, écouter les citoyens ou lire la presse pour le constater. Des centaines, voire des milliers de jeunes chômeurs et qui font peur, se morfondent quotidiennement dans les cafés et sur les places publiques, des amoncellements d’ordures sur les trottoirs squattés par le marché informel, une armée de mendiants qui tirent par les manches les passants en criant leur désespoir, des agressions, des vols, des rapts, des crimes et quoi encore ?... qui ne se comptent plus et une... absence totale de l’Etat. “Tout va à merveille” donc et on continue de se faire “déplumer” dans la rue en plein jour et parfois en y laisse sa vie. Des dizaines de paisibles citoyens et citoyennes de tous âges sont victimes d’agressions à l’arme blanche et pour la plupart d’entre eux succombent à leurs blessures. Cette situation qui met en émoi toute la Kabylie n’avait pas pour autant amené les autorités locales respectives chargées de la sécurité à réagir ne serait-ce qu’en simulant une présance symbolique dans les villes et surtout sur les routes. Passé 19h, il n’y a plus aucun policier dans nos rues, et nos villes sont livrées à elles-mêmes. Les quelques rares rondes qui s’opèrent de nuit avec des véhicules essoufflés et dont le bruit des moteurs est reconnaissable à des kilomètres à la ronde, ne dissuadent plus personne. Vols à la tire, à l’étalage, cambriolages, attaques à main armée, bombes... sont le lot quotidien d’une population qui lutte chaque jour pour sa survie. “Tout baigne dans l’huile”, il ne se passe pas un jour dans la wilaya de Tizi-Ouzou, (Béjaïa, Bouira aussi) réputée, il y a quelques années en arrière, pour sa quiétude et son hospitalité - sans qu’on enregistre au niveau des urgences des hôpitaux de dix à quinze blessés à l’arme blanche. Certains malheureusement décèdent, d’autres s’en sortent avec des traumatismes et des séquelles qui durent toute leur vie. Le commerce et la consommation de drogue et de psychotropes ont désormais pignon sur rue. Le “client” sait dans quel endroit il doit aller pour s’en procurer et consommer sans risque de se faire embarquer. Les quelques saisies opérées par les brigades de stupéfiants sont dérisoires et ne sont en réalité qu’une partie infime de ce qui circule réellement. “Vous avez besoin d’un joint” ?
“Vous n’avez qu’à aller voir X ou Y !” , c’est ce qui se répète dans ces milieux autrefois très hermétiques et qui tendent aujourd’hui à gangrener tout le microcosme kabyle. Mais une chose est sûre : la drogue n’a jamais été une marchandise qui s’écoule sans la complicité d’hommes d’affaires impliqués dans le blanchiment d’argent sale et le trafic de stupéfiants qui profitent de la situation actuelle en Kabylie. De l’avis des observateurs locaux dans la ville des Genêts, la situation risque encore une fois de dégénérer avec cet été qui s’annonce caniculaire et qui a déjà fait des siennes l’année dernière. Des centaines d’hectares de forêts et autres ont été calcinés lors de plusieurs incendies criminels qui se sont abattus sur la région. Avec un taux de chômage qui frise les 60 % de la population active et la situation sécuritaire agonisante, la région de Kabylie, accusée à tort ou à raison d’être une région “frondeuse” parce que faisant partie de ce qu’on appelle “l’insoumise”, risque d’être le point de départ d’une protesta qui s’étendrait à tout le pays. En somme, tout va mal en Kabylie et cela dure depuis plus de cinq longues années.
Commentaire: une façon comme une autre de constater que, depuis 2001, rien ne va plus en kabylie et que ............... c'est voulu et prémédité !!!
Un plan d’urgence s’impose
l “Tout va bien mal” en Kabylie, et il n’y a qu’à jeter un coup d’œil autour de soi, écouter les citoyens ou lire la presse pour le constater. Des centaines, voire des milliers de jeunes chômeurs et qui font peur, se morfondent quotidiennement dans les cafés et sur les places publiques, des amoncellements d’ordures sur les trottoirs squattés par le marché informel, une armée de mendiants qui tirent par les manches les passants en criant leur désespoir, des agressions, des vols, des rapts, des crimes et quoi encore ?... qui ne se comptent plus et une... absence totale de l’Etat. “Tout va à merveille” donc et on continue de se faire “déplumer” dans la rue en plein jour et parfois en y laisse sa vie. Des dizaines de paisibles citoyens et citoyennes de tous âges sont victimes d’agressions à l’arme blanche et pour la plupart d’entre eux succombent à leurs blessures. Cette situation qui met en émoi toute la Kabylie n’avait pas pour autant amené les autorités locales respectives chargées de la sécurité à réagir ne serait-ce qu’en simulant une présance symbolique dans les villes et surtout sur les routes. Passé 19h, il n’y a plus aucun policier dans nos rues, et nos villes sont livrées à elles-mêmes. Les quelques rares rondes qui s’opèrent de nuit avec des véhicules essoufflés et dont le bruit des moteurs est reconnaissable à des kilomètres à la ronde, ne dissuadent plus personne. Vols à la tire, à l’étalage, cambriolages, attaques à main armée, bombes... sont le lot quotidien d’une population qui lutte chaque jour pour sa survie. “Tout baigne dans l’huile”, il ne se passe pas un jour dans la wilaya de Tizi-Ouzou, (Béjaïa, Bouira aussi) réputée, il y a quelques années en arrière, pour sa quiétude et son hospitalité - sans qu’on enregistre au niveau des urgences des hôpitaux de dix à quinze blessés à l’arme blanche. Certains malheureusement décèdent, d’autres s’en sortent avec des traumatismes et des séquelles qui durent toute leur vie. Le commerce et la consommation de drogue et de psychotropes ont désormais pignon sur rue. Le “client” sait dans quel endroit il doit aller pour s’en procurer et consommer sans risque de se faire embarquer. Les quelques saisies opérées par les brigades de stupéfiants sont dérisoires et ne sont en réalité qu’une partie infime de ce qui circule réellement. “Vous avez besoin d’un joint” ?
“Vous n’avez qu’à aller voir X ou Y !” , c’est ce qui se répète dans ces milieux autrefois très hermétiques et qui tendent aujourd’hui à gangrener tout le microcosme kabyle. Mais une chose est sûre : la drogue n’a jamais été une marchandise qui s’écoule sans la complicité d’hommes d’affaires impliqués dans le blanchiment d’argent sale et le trafic de stupéfiants qui profitent de la situation actuelle en Kabylie. De l’avis des observateurs locaux dans la ville des Genêts, la situation risque encore une fois de dégénérer avec cet été qui s’annonce caniculaire et qui a déjà fait des siennes l’année dernière. Des centaines d’hectares de forêts et autres ont été calcinés lors de plusieurs incendies criminels qui se sont abattus sur la région. Avec un taux de chômage qui frise les 60 % de la population active et la situation sécuritaire agonisante, la région de Kabylie, accusée à tort ou à raison d’être une région “frondeuse” parce que faisant partie de ce qu’on appelle “l’insoumise”, risque d’être le point de départ d’une protesta qui s’étendrait à tout le pays. En somme, tout va mal en Kabylie et cela dure depuis plus de cinq longues années.
Commentaire: une façon comme une autre de constater que, depuis 2001, rien ne va plus en kabylie et que ............... c'est voulu et prémédité !!!
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