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La Gendarmerie nationale tire la sonnette d'alarme ...
En effet, selon un rapport diffusé en projection par le colonel Zeghida, la culture du cannabis prend des proportions alarmantes dans notre pays et risque même de s’étendre à la culture des produits dérivés qui sont toxiques et néfastes pour la santé publique.
L’exposé, qui ne fournit pas de chiffres sur les quantités saisies, démontre néanmoins que l’Algérie est passé d’un pays de transit à un pays de production. Des enquêtes ont prouvé que le cannabis est produit en Algérie dans les régions du Sud et les hauts plateaux.
Les enquêteurs de la gendarmerie ont aussi confirmé que l’opium est produit dans certaines zones du Sud. Une quantité importante, près de 60 kg, a été découverte et saisie du côté de Ghardaïa et une autre a été saisie à… Béjaïa. Les enquêteurs s’interrogent sur le développement de la culture de l’opium et engagent des recherches approfondies pour connaître les endroits potentiels de sa culture.
Les premiers éléments des enquêtes menées ont montré que les premières graines de pavot ont été importées d’Afghanistan. Par ailleurs, les forces de la gendarmerie ont réussi à établir un lien direct entre le trafic de drogue et la contrebande au niveau des frontières.
Les narcotrafiquants activant entre le Mali et le Niger sollicitent souvent les services de Mokhtar Benmokhtar, un redoutable terroriste et trafiquant, pour escorter leurs marchandises à travers les ergs. Avant d’arriver à destination, ces contrebandiers paient rubis sur l’ongle la protection des éléments armés.
Dans son exposé, le colonel Zeghida indique que ces pratiques existent toujours au niveau des frontières, mais les forces de la gendarmerie ont adopté une stratégie de lutte efficace grâce au traitement des informations transmises par satellite.
Le même moyen est utilisé pour localiser les champs de culture d’opium situés dans des régions sahariennes souvent inaccessibles.
- Le Jeune Independant
En effet, selon un rapport diffusé en projection par le colonel Zeghida, la culture du cannabis prend des proportions alarmantes dans notre pays et risque même de s’étendre à la culture des produits dérivés qui sont toxiques et néfastes pour la santé publique.
L’exposé, qui ne fournit pas de chiffres sur les quantités saisies, démontre néanmoins que l’Algérie est passé d’un pays de transit à un pays de production. Des enquêtes ont prouvé que le cannabis est produit en Algérie dans les régions du Sud et les hauts plateaux.
Les enquêteurs de la gendarmerie ont aussi confirmé que l’opium est produit dans certaines zones du Sud. Une quantité importante, près de 60 kg, a été découverte et saisie du côté de Ghardaïa et une autre a été saisie à… Béjaïa. Les enquêteurs s’interrogent sur le développement de la culture de l’opium et engagent des recherches approfondies pour connaître les endroits potentiels de sa culture.
Les premiers éléments des enquêtes menées ont montré que les premières graines de pavot ont été importées d’Afghanistan. Par ailleurs, les forces de la gendarmerie ont réussi à établir un lien direct entre le trafic de drogue et la contrebande au niveau des frontières.
Les narcotrafiquants activant entre le Mali et le Niger sollicitent souvent les services de Mokhtar Benmokhtar, un redoutable terroriste et trafiquant, pour escorter leurs marchandises à travers les ergs. Avant d’arriver à destination, ces contrebandiers paient rubis sur l’ongle la protection des éléments armés.
Dans son exposé, le colonel Zeghida indique que ces pratiques existent toujours au niveau des frontières, mais les forces de la gendarmerie ont adopté une stratégie de lutte efficace grâce au traitement des informations transmises par satellite.
Le même moyen est utilisé pour localiser les champs de culture d’opium situés dans des régions sahariennes souvent inaccessibles.
- Le Jeune Independant