Le ministre des affaires étrangères, Mourad Medelci, a indiqué que l’Algérie « à l’instar des autres pays, n’est pas à l’abri d’une attaque terroriste à l’arme chimique », toutefois il a déclaré « notre pays a pris ses dispositions pour éviter une éventuelle attaque au produit chimique toxique ». Il a souligné qu’il était impossible de parler « d’une sécurité globale dans ce domaine ».
Cette déclaration intervient lors du discours du ministre à Djnen El Mithak, à l’occasion de l’organisation d’un atelier autour de la Convention d’interdiction de prolifération des armes chimiques, après dix ans de son entrée en vigueur, organisée par l’organisation d’interdiction d’armes chimiques co-organisé par l’union Européenne.
Medelci a indiqué que l’Algérie était convaincu qu’il n’y a pas d’autre alternative que celle de la destruction totale des armes de destruction massives « à cause du danger réel que ces armes représentent pour la paix et la sécurité internationale ». Il a précisé que le traité « oblige les pays possédant ce genre d’armes à commencer le démantèlement de leurs structures de production puis leur destruction, sous une surveillance stricte ».
Le directeur général de l’organisation, M. Rojelio Pfirter a indiqué à ce sujet que les six pays membres de l’organisation, les plus productives en terme d’armement chimique, sont appelées à détruire leur stock d’armes estimé à 71 mille tonne avant la fin 2012, conformément à la convention.
Rojelio Pfirter a salué la coopération entre son organisation et l’Algérie, indiquant que le nombre des pays membres de la convention va bientôt atteindre les 183 après l’adhésion du Congo, et il est attendu que le Liban et l’Iraq adhèrent prochainement. Le diplomate Italien a exprimé la prédisposition de son organisation à aider les pays non signataires de la convention à dépasser la phase préparatoire d’adhésion en leur donnant des conseils techniques.
Pour sa part l’ambassadeur d’Allemagne, M. Johannes Westerhoff, a indiqué que la convention interdisant la prolifération des armes chimiques « est la fondation de base de toutes les conventions relatives aux armes de destruction massives ».
L’ambassadeur est intervenu en sa qualité de représentant du pays qui préside actuellement l’Union Européenne organisateur de l’atelier.
elkhabar
Cette déclaration intervient lors du discours du ministre à Djnen El Mithak, à l’occasion de l’organisation d’un atelier autour de la Convention d’interdiction de prolifération des armes chimiques, après dix ans de son entrée en vigueur, organisée par l’organisation d’interdiction d’armes chimiques co-organisé par l’union Européenne.
Medelci a indiqué que l’Algérie était convaincu qu’il n’y a pas d’autre alternative que celle de la destruction totale des armes de destruction massives « à cause du danger réel que ces armes représentent pour la paix et la sécurité internationale ». Il a précisé que le traité « oblige les pays possédant ce genre d’armes à commencer le démantèlement de leurs structures de production puis leur destruction, sous une surveillance stricte ».
Le directeur général de l’organisation, M. Rojelio Pfirter a indiqué à ce sujet que les six pays membres de l’organisation, les plus productives en terme d’armement chimique, sont appelées à détruire leur stock d’armes estimé à 71 mille tonne avant la fin 2012, conformément à la convention.
Rojelio Pfirter a salué la coopération entre son organisation et l’Algérie, indiquant que le nombre des pays membres de la convention va bientôt atteindre les 183 après l’adhésion du Congo, et il est attendu que le Liban et l’Iraq adhèrent prochainement. Le diplomate Italien a exprimé la prédisposition de son organisation à aider les pays non signataires de la convention à dépasser la phase préparatoire d’adhésion en leur donnant des conseils techniques.
Pour sa part l’ambassadeur d’Allemagne, M. Johannes Westerhoff, a indiqué que la convention interdisant la prolifération des armes chimiques « est la fondation de base de toutes les conventions relatives aux armes de destruction massives ».
L’ambassadeur est intervenu en sa qualité de représentant du pays qui préside actuellement l’Union Européenne organisateur de l’atelier.
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