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Actualités : BELKHADEM A PROPOS DU TRAITE D'AMITIE AVEC LA FRANCE
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A priori, la rencontre nationale sur le rôle de la femme durant la guerre de Libération nationale qui s’est tenue hier au musée El Moudjahid a retenu l’attention du chef du gouvernement qui a répondu favorablement à l’invitation d’y prendre part, même si sa venue n’a pu être confirmée qu’à la veille de la rencontre. Selon nos sources, cette visite à Oran était également l’occasion pour Abdelaziz Belkhadem de se rapprocher de sa base du FLN à Oran, qui, rappelons-le, en raison d’un mouvement de contestation lors des élections législatives a engendré la perte de sièges à l’APN, n’obtenant que cinq. Afin d’éviter le même sort pour les élections locales, le chef de file de l’ex-parti unique, tenait, nous dit-on, à s’enquérir lui-même de l’état d’esprit de sa base, y compris du côté des contestataires.
Amel B. - Oran (Le Soir) - Prenant part à la rencontre nationale, organisée par le ministère des Moudjahidine autour du rôle de la femme dans la lutte durant la Révolution nationale, après une brève allocution, le ministre des Moudjahidine a donné la parole au chef du gouvernement. Après avoir longuement loué le rôle précieux qu’a tenu la femme moudjahida durant la guerre de Libération, Abdelaziz Belkhadem a tenu à préciser qu’une telle rencontre contribue à enrichir et à prendre en considération l’importance et l’impact historiques de tels faits. Un sujet, qui, dit-il, n’a pas pris toute sa part nécessaire et importante dans l’histoire. Il poursuit : “Si notre adhésion dans le processus de la mondialisation fut une nécessité incontournable, il faut rester attachés à notre appartenance culturelle, ainsi qu’à notre civilisation. A mon avis, l’ignorance historique constitue la faille par laquelle peuvent s’infiltrer des conflits et des déperditions intellectuelles”. Pour le chef du gouvernement, le rôle mais aussi et surtout le devoir des historiens et des chercheurs sont très importants. “Ils doivent être conscients du temps perdu et donner à la femme algérienne ses droits et sa part dans l’histoire nationale à la hauteur de ce qu’elle a offert comme sacrifices pour l’Algérie”. Après une pause-café, à sa sortie du salon d’honneur du musée El Moudjahid, le chef du gouvernement fut sollicité pour un point de presse, qu’il a volontiers accepté, mais cela n’a duré que le temps de deux questions, la troisième n’ayant pas été “la bienvenue”. Il s’agissait d’une question relative à l’avenir du traité d’amitié entre l’Algérie et la France après l’élection de Nicolas Sarkozy. Belkhadem a de suite précisé qu’il ne s’agissait pas d’une conférence de presse et s’en est allé précipitamment. Il fut suivi par la délégation officielle pour se rendre à l’hôtel El Mouahidine, pour l’installation des ateliers de la rencontre nationale sur le rôle de la femme durant la Révolution.
le soir d'Algerie
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A priori, la rencontre nationale sur le rôle de la femme durant la guerre de Libération nationale qui s’est tenue hier au musée El Moudjahid a retenu l’attention du chef du gouvernement qui a répondu favorablement à l’invitation d’y prendre part, même si sa venue n’a pu être confirmée qu’à la veille de la rencontre. Selon nos sources, cette visite à Oran était également l’occasion pour Abdelaziz Belkhadem de se rapprocher de sa base du FLN à Oran, qui, rappelons-le, en raison d’un mouvement de contestation lors des élections législatives a engendré la perte de sièges à l’APN, n’obtenant que cinq. Afin d’éviter le même sort pour les élections locales, le chef de file de l’ex-parti unique, tenait, nous dit-on, à s’enquérir lui-même de l’état d’esprit de sa base, y compris du côté des contestataires.
Amel B. - Oran (Le Soir) - Prenant part à la rencontre nationale, organisée par le ministère des Moudjahidine autour du rôle de la femme dans la lutte durant la Révolution nationale, après une brève allocution, le ministre des Moudjahidine a donné la parole au chef du gouvernement. Après avoir longuement loué le rôle précieux qu’a tenu la femme moudjahida durant la guerre de Libération, Abdelaziz Belkhadem a tenu à préciser qu’une telle rencontre contribue à enrichir et à prendre en considération l’importance et l’impact historiques de tels faits. Un sujet, qui, dit-il, n’a pas pris toute sa part nécessaire et importante dans l’histoire. Il poursuit : “Si notre adhésion dans le processus de la mondialisation fut une nécessité incontournable, il faut rester attachés à notre appartenance culturelle, ainsi qu’à notre civilisation. A mon avis, l’ignorance historique constitue la faille par laquelle peuvent s’infiltrer des conflits et des déperditions intellectuelles”. Pour le chef du gouvernement, le rôle mais aussi et surtout le devoir des historiens et des chercheurs sont très importants. “Ils doivent être conscients du temps perdu et donner à la femme algérienne ses droits et sa part dans l’histoire nationale à la hauteur de ce qu’elle a offert comme sacrifices pour l’Algérie”. Après une pause-café, à sa sortie du salon d’honneur du musée El Moudjahid, le chef du gouvernement fut sollicité pour un point de presse, qu’il a volontiers accepté, mais cela n’a duré que le temps de deux questions, la troisième n’ayant pas été “la bienvenue”. Il s’agissait d’une question relative à l’avenir du traité d’amitié entre l’Algérie et la France après l’élection de Nicolas Sarkozy. Belkhadem a de suite précisé qu’il ne s’agissait pas d’une conférence de presse et s’en est allé précipitamment. Il fut suivi par la délégation officielle pour se rendre à l’hôtel El Mouahidine, pour l’installation des ateliers de la rencontre nationale sur le rôle de la femme durant la Révolution.
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