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L'Europe possédait déjà un bout de la star de l'astronomie, le télescope spatial Hubble. Elle est désormais étroitement associée au programme de son successeur, le télescope James-Webb, qui doit discerner de nouveaux détails dans les profondeurs du cosmos à partir de 2013.
Un accord signé lundi 18 juin au Salon du Bourget, entre le patron de la NASA, Michael Griffin, et le directeur général de l'Agence spatiale européenne (ESA), Jean-Jacques Dordain, a officialisé cette collaboration sur un projet de 3,5 milliards de dollars (2,6 milliards d'euros).
Les Américains assureront la construction du satellite et de son télescope, doté d'un miroir de 6,5 m de diamètre.
L'ESA assurera le lancement de l'engin, grâce à une Ariane 5-ECA. L'Europe est aussi chargée de la construction de deux des quatre instruments de l'engin, notamment la caméra dans l'infrarouge moyen, préparée par le Commissariat à l'énergie atomique (CEA), avec la collaboration du Centre national d'études spatiales (CNES) et du CNRS.
- Le Monde
Un accord signé lundi 18 juin au Salon du Bourget, entre le patron de la NASA, Michael Griffin, et le directeur général de l'Agence spatiale européenne (ESA), Jean-Jacques Dordain, a officialisé cette collaboration sur un projet de 3,5 milliards de dollars (2,6 milliards d'euros).
Les Américains assureront la construction du satellite et de son télescope, doté d'un miroir de 6,5 m de diamètre.
L'ESA assurera le lancement de l'engin, grâce à une Ariane 5-ECA. L'Europe est aussi chargée de la construction de deux des quatre instruments de l'engin, notamment la caméra dans l'infrarouge moyen, préparée par le Commissariat à l'énergie atomique (CEA), avec la collaboration du Centre national d'études spatiales (CNES) et du CNRS.
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