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Le ministre Chérif Rahmani représente l’Algérie au 13e Forum économique des Amériques qui se tient dans la capitale du Québec du 18 au 21 juin.
mercredi 20 juin 2007.
L'Algérie participe au 13e Forum économique des Amériques de Montréal (JPEG) Cette année, l’Algérie participe aux travaux du 13e Forum économique international des Amériques qui se tient dans la capitale du Québec du 18 au 21 juin . « Réussir dans un monde incertain : de l’évaluation du risque à la décision stratégique » est le thème retenu pour l’édition de cette année. C’est une manifestation de grande envergure à laquelle prennent part plus de 3 000 délégués, notamment des ministres et des représentants de gouvernements, d’organismes officiels ainsi que des universitaires. La première journée du forum a observé l’intervention du directeur général du FMI, du gouverneur de la banque du Canada, du secrétaire général de l’organisation internationale de la francophonie, du premier ministre du Québec, du président de la Banque centrale européenne Jea, et d’autres intervenants sur des thèmes intéressants, notamment le développement économique, la globalisation, la lutte contre la pauvreté, la marginalisation et les grands enjeux du développement.
Les participants axeront, pendant quatre jours, leurs négociations sur les grands enjeux et les défis économiques mondiaux, mais aussi sur les problèmes que posent les finances, la gouvernance, le développement durable, la lutte contre la pauvreté et le sous-développement. Les experts aborderont différents secteurs tels que l’énergie, la santé, l’éducation, le commerce international, le développement, l’économie et la sécurité. Par ailleurs, ce forum économique à lequel participera l’Algérie, né il y a 13 ans au Canada, tend, selon ses organisateurs, à « susciter des discussions entre différentes nations, les organiser et faciliter la liberté de négociations sur les grandes questions économiques internationales ». Ceci tout en favorisant les échanges entre les investisseurs et les décideurs politiques et économiques dans le monde. Cependant, la conférence de Montréal ressort durant ses discussions, les problèmes de l’économie mondiale et vise à inciter les participants à se consacrer davantage à certaines questions ayant de l’impact sur l’économie dans le monde afin qu’ils puissent prendre des décision stratégiques.
Synthèse de Kahina, www.algerie-dz.com
D’après la nouvelle république
mercredi 20 juin 2007.
L'Algérie participe au 13e Forum économique des Amériques de Montréal (JPEG) Cette année, l’Algérie participe aux travaux du 13e Forum économique international des Amériques qui se tient dans la capitale du Québec du 18 au 21 juin . « Réussir dans un monde incertain : de l’évaluation du risque à la décision stratégique » est le thème retenu pour l’édition de cette année. C’est une manifestation de grande envergure à laquelle prennent part plus de 3 000 délégués, notamment des ministres et des représentants de gouvernements, d’organismes officiels ainsi que des universitaires. La première journée du forum a observé l’intervention du directeur général du FMI, du gouverneur de la banque du Canada, du secrétaire général de l’organisation internationale de la francophonie, du premier ministre du Québec, du président de la Banque centrale européenne Jea, et d’autres intervenants sur des thèmes intéressants, notamment le développement économique, la globalisation, la lutte contre la pauvreté, la marginalisation et les grands enjeux du développement.
Les participants axeront, pendant quatre jours, leurs négociations sur les grands enjeux et les défis économiques mondiaux, mais aussi sur les problèmes que posent les finances, la gouvernance, le développement durable, la lutte contre la pauvreté et le sous-développement. Les experts aborderont différents secteurs tels que l’énergie, la santé, l’éducation, le commerce international, le développement, l’économie et la sécurité. Par ailleurs, ce forum économique à lequel participera l’Algérie, né il y a 13 ans au Canada, tend, selon ses organisateurs, à « susciter des discussions entre différentes nations, les organiser et faciliter la liberté de négociations sur les grandes questions économiques internationales ». Ceci tout en favorisant les échanges entre les investisseurs et les décideurs politiques et économiques dans le monde. Cependant, la conférence de Montréal ressort durant ses discussions, les problèmes de l’économie mondiale et vise à inciter les participants à se consacrer davantage à certaines questions ayant de l’impact sur l’économie dans le monde afin qu’ils puissent prendre des décision stratégiques.
Synthèse de Kahina, www.algerie-dz.com
D’après la nouvelle république