La compagnie « Medgaz », chargée de la réalisation du gazoduc reliant l’Algérie à l’Espagne a déposé, hier, un recours au ministère de l’Industrie Espagnole, dans lequel elle a refusé les conditions imposées par la commission espagnole de l’Energie à Sonatrach, afin de permettre à cette dernière d’augmenter sa part dans ce projet de 20% à 36%.
Cette position des partenaires de Sonatrach concernant le projet « Medgaz » intervient après l’interruption des négociations entre l’Algérie et l’Espagne, suite au rejet de Madrid des demandes algériennes, pour l’augmentation inconditionnelle de la part de Sonatrach dans ce projet.
Il est à noter que la plupart des actionnaires dans la compagnie Medgaz sont des compagnies Espagnoles, notamment; la compagnie « Sipsa » qui possède 20% des actions, la compagnie « Ibredrola » qui possède 20%, et « Endesa » 12%, en plus de la compagnie Gaz de France qui possède 12% du capital social de cette compagnie.
Le président de la compagnie « Sipsa », M. Carlos Pérez Do Precio a, dans le même cadre, confirmé la légitimité du recours déposé par Sonatrach. Pour sa part, le conseiller général de « Sipsa » a expliqué que les conditions imposées par la commission Européenne bloquent la bonne marche de la compagnie « Medgaz ».
M. Carlos Pérez a affirmé que le malentendu va se résoudre le plutôt possible, et il s’attend à ce que la commission d’Energie Espagnole revienne sur sa décision. Le désaccord entre l’Algérie et l’Espagne revient au refus des autorités Espagnoles de réviser le prix du gaz algérien commercialisé en Espagne. Les autorités espagnoles ont également refusé une demande de Sonatrach de commercialiser directement des quantités de gaz estimées à 3 milliards de mètres cubes et ont limité les quantités commercialisées par l’Algérie, dans le cadre du gazoduc Medgaz, à un milliard de mètres cubes.
Cette position des partenaires de Sonatrach concernant le projet « Medgaz » intervient après l’interruption des négociations entre l’Algérie et l’Espagne, suite au rejet de Madrid des demandes algériennes, pour l’augmentation inconditionnelle de la part de Sonatrach dans ce projet.
Il est à noter que la plupart des actionnaires dans la compagnie Medgaz sont des compagnies Espagnoles, notamment; la compagnie « Sipsa » qui possède 20% des actions, la compagnie « Ibredrola » qui possède 20%, et « Endesa » 12%, en plus de la compagnie Gaz de France qui possède 12% du capital social de cette compagnie.
Le président de la compagnie « Sipsa », M. Carlos Pérez Do Precio a, dans le même cadre, confirmé la légitimité du recours déposé par Sonatrach. Pour sa part, le conseiller général de « Sipsa » a expliqué que les conditions imposées par la commission Européenne bloquent la bonne marche de la compagnie « Medgaz ».
M. Carlos Pérez a affirmé que le malentendu va se résoudre le plutôt possible, et il s’attend à ce que la commission d’Energie Espagnole revienne sur sa décision. Le désaccord entre l’Algérie et l’Espagne revient au refus des autorités Espagnoles de réviser le prix du gaz algérien commercialisé en Espagne. Les autorités espagnoles ont également refusé une demande de Sonatrach de commercialiser directement des quantités de gaz estimées à 3 milliards de mètres cubes et ont limité les quantités commercialisées par l’Algérie, dans le cadre du gazoduc Medgaz, à un milliard de mètres cubes.
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