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15 milliards de dollars d’investissements directs étrangers attendus en 2007

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  • 15 milliards de dollars d’investissements directs étrangers attendus en 2007

    Le montant des IDE en Algérie a atteint 1,5 milliards de dollars en 2005, 3 milliards en 2006, 15 milliards sont attendu en 2007.
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    Il s’agit pour l’Algérie de lever les contraintes à l’investissement et de “prendre ainsi sa part du gâteau” dans le flux d’investissements dans le monde.

    Environ 20 projets en investissements directs étrangers (IDE), d’une valeur de 15 milliards de dollars US, sont attendus par l’Algérie pour l’année 2007. 8 parmi ces projets, estimés à plus de 5 milliards de dollars US, sont déclarés à l’Agence nationale pour le développement de l’investissement (Andi) dans le tourisme, 5 autres pour le dessalement de l’eau de mer, d’un montant de plus de 1 milliard de dollars et un projet dans la téléphonie de 550 millions de dollars US. 3 sont également envisagés dans la production des fertilisants et un autre dans l’aluminium. Cette annonce a été faite au cours du 6e Symposium international organisé hier à Alger par le MDI ayant pour thème “Les IDE : quelles politiques d’attractivité ?” Cette rencontre a été une opportunité pour établir le bilan et lancer des pistes de réponse à cette lancinante question. “Jusqu’à maintenant, il n’y a jamais eu de politique des investissements directs étrangers (IDE) en Algérie. Les IDE ne sont qu’un élément secondaire dans une croissance d’un pays. Il faut pour cela créer toutes les conditions indispensables pour tirer profit au maximum de ces IDE. Or, tous les ingrédients sont réunis dans notre pays pour atteindre cet objectif. Les compétences sont, en effet, disponibles, la main-d’œuvre qualifiée existe, le climat des affaires s’est amélioré…” C’est sur cette analyse que le ministre de l’Industrie et de la Promotion des investissements, M. Abdelhamid Temmar, a axé son intervention lors de cette rencontre.

    Toutefois, soulignera-t-il, il y a lieu de poser la problématique dans un contexte de mondialisation et d’internationalisation. Des négociations pour ces IDE, il faut, proposera le ministre, traduire le but recherché par l’Algérie, à savoir le transfert de la technologie. Cette action dépend néanmoins des capacités des entreprises algériennes et non pas des politiques du gouvernement. “Nous ne sommes pas à la recherche de financements, mais d’un transfert de technologie et d’innovation”, soutiendra-t-il. Entre les années 2005 et 2006, sur les 9 230 projets déclarés à l’Andi, d’une enveloppe de 1 219 milliards de DA qui ont créé 200 000 emplois, 184 projets évalués à 366 milliards de DA impliquent des étrangers (IDE). Plus de 296 projets émanent de l’Union européenne, 34 d’Asie, 240 des pays arabes, soit les 2/3 de l’ensemble des déclarations. En 2006, sur 6 975 projets d’investissement déclarés, l’investissement extérieur ne représente, indiquera M. Réda Hamiani, président du Forum des chefs d’entreprise (FCE), qu’une centaine de projets qui ne sont d’ailleurs pas tous comptabilisés au chapitre des IDE, puisque comprenant aussi des opérations de partenariat. En valeur, ce portefeuille d’investissements déclarés représente, ajoutera-t-il, globalement 9,8 milliards de dollars US dont les investissements étrangers ont atteint un montant de 3,5 milliards dollars US.

    Les contraintes soulignées par M. Réda Hamiani : foncier, accès au crédit, bureaucratie et informel

    Entre 2000 et 2006, l’Andi a enregistré, selon les statistiques de M. Baghdadli, 601 projets en IDE pour une valeur de 8 milliards d’euros qui ont créé 81 000 postes d’emploi. M. Temmar a souligné que c'est dans le cadre de la stratégie industrielle, adoptée en février dernier lors d'assises nationales, que les pouvoirs publics vont déterminer le rôle des IDE avec une nouvelle politique. Le texte qui définira cette politique sera soumis bientôt, indiquera-t-il, au Conseil des ministres et c'est le président de la République qui tranchera cette question. “La contribution de l’IDE à la croissance d’un pays provient non seulement du transfert de technologie proprement dit, mais surtout peut-être de la diffusion de la connaissance et de la culture managériale qu’il génère”, dira l’un des intervenants. L’IDE est à l’origine de gains technologiques et d’efficacité, même si le volume et la nature de la technologie transférée sont en grande partie influencés par le niveau de compétitivité du pays d’accueil. “L’apport de l’IDE favorise l’utilisation et la promotion de la diffusion de technologies avancées par les firmes du pays d’accueil dans toute l’économie et la possibilité, à terme, de leur production, voire même de leur exportation lorsque certaines conditions sont remplies sur le plan local”, est-il mentionné dans une note introductive par le professeur Abdelouahab Rezig. C’est l’une des raisons pour lesquelles les IDE sont au cœur de la stratégie et des politiques de développement industriels récemment adoptées en Algérie. Mais, il est cependant nécessaire d’approfondir les réformes engagées et de passer effectivement à une économie de marché efficiente.

    La réforme bancaire en particulier peut améliorer de manière notable le climat des investissements. “En tant que chefs d’entreprise, nous sommes, en effet, profondément impatients de voir notre pays s’aménager, vis-à-vis des IDE, un positionnement dans les créneaux à fort contenu technologique, dans les créneaux générateurs de valeur ajoutée et, par voie de conséquence, dans les créneaux qui sont de nature à favoriser parallèlement le développement des entreprises locales”, suggérera M. Hamiani qui tient à rappeler avec force que le FCE considère les IDE comme un facteur fondamental de la stratégie d’investissement. “Nous ne pouvons pas, non plus, ignorer que notre pays ne présente toujours pas les conditions d’attractivité requises”, renchérira-t-il.
    Pour lui, le défi majeur est d'attirer les IDE hors hydrocarbures au moment où le pays ne présente pas les conditions requises. Il a cité les contraintes empêchant les IDE, notamment le foncier, le financement, la bureaucratie, le système fiscal et l’épineux problème de l'informel. Le président du FCE reste toutefois convaincu qu’une importante marge existe pour l’Algérie de s’aménager de réelles conditions d’attractivité.

    Badredddine KHRIS
    24 Juin 2007 Liberté.
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

  • #2
    sa fait une évolution de combien?
    pureee je vous ai dis que notre pays est en bonne voix, la même que nos voisin !
    on est entrain de nous ratraper rapidement dailleur !!
    Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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    • #3
      j'ai lue dans les journaux algerien que les investissement en algerie en 2006 etait de 10 milliard juste par un groupe emiratie et le reste c'etais 3 milliard.

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      • #4
        2005 ===> 1,5 MM$

        2006 ===> 3,0 MM$ + 100%

        2007 ===> 15 MM$ + 400%

        franchement si les speculations ou plutot ces "previsions" se realisent, tout les pays du monde suivrons l'exemple algerien....mais ca reste a demontrer,
        en tout cas je vous souhaite bonne chance

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        • #5
          mais attend quelle exemple? tu ne parle pas de la bureaucratie j'espere que nn............
          puis mm l'Algerie n'a rien encore fait psk le plus dure reste a faire c de survivre a l'apres petrole et se preparer bien comme il le faut a cette periode ou ns mongerions probablemnt des pieres ou je ne c koi d'autre
          j'aime mon pays mais faut etre réalistes
          notre argents n'est comparable qu'avec la fortune de billGates donc il faut redresser notre politique envers les etrangers et leurs façilité tt le parcour de leurs investissement

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          • #6
            2007 ===> 15 MM$ + 400%
            Ce sont des chiffres sur commandes pour endormir la population et faire croire que le pays va bien.

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            • #7
              "Ce sont des chiffres sur commandes pour endormir la population et faire croire que le pays va bien."

              Même si ce chiffre est pharaonique (x 10 par rapport à 2005) attendons la fin de l'année 2007 pour juger, ne faisons pas de procès d'intention. De toute façon même si seulement 2/3 des ces IDE se realisaient (ce qui est fort probable) ça serait déjà une très bonne nouvelle pour l'économie algérienne. Moi je suis très optimiste, nous avons un énorme potentiel et les investisseurs étrangers commencent à s'en rendre compte.

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              • #8
                Même si ce chiffre est pharaonique (x 10 par rapport à 2005) attendons la fin de l'année 2007 pour juger, ne faisons pas de procès d'intention. De toute façon même si seulement 2/3 des ces IDE se realisaient (ce qui est fort probable) ça serait déjà une très bonne nouvelle pour l'économie algérienne. Moi je suis très optimiste, nous avons un énorme potentiel et les investisseurs étrangers commencent à s'en rendre compte.
                Même 2/3 c'est pharaonique, même les Maroc ou la Tunisie qui ont des politiques et des projets touristiques, industriels et technologiques assez avancé n'espére pas avoir ce volume d'investissement. Alors que dire d'un pays qui affirme ne pas avoir de politique industrielle et envisage comme projet de plancher sur une telle chose.

                2/3 -> 7 milliards de $ c'est beaucoup trop pour un pays comme l'Algérie.

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                • #9
                  "2/3 -> 7 milliards de $ c'est beaucoup trop pour un pays comme l'Algérie."

                  2/3 de 15 milliards ça fait 10 milliards et non 7. Peu importe le chiffre, moi je pense qu'il aura des IDE records en Algerie en 2007 (je pense entre 7 et 10 milliards d'euros). La mise en service de l'usine d'aluminium, les projets immobiliers emiratis, l'investissement dans l'hydrocarbure, les telecommunication...et je compte pas le tourisme (les investissements sont trop aleatoires).
                  D'autre part, ne compare la tunisie et le maroc à l'algérie pour 2 raisons:

                  - L'algérie sort d'une periode d'isolement presque totale, tres peu d'IDE ont été realisés pendant cette période contrairement au maroc et la tunisie qui ont toujours été très atractifs en terme d'IDE, donc l'Algerie ne fait que rattrapper son retard (à vitesse grand "v").

                  - N'oublie pas que l'Algerie a lancé d'énormes chantiers (metro, autoroute est/ouest, usines dessalement eau de mer...) avec des reserves de changes qui commencent à faire saliver beaucoup d'investisseurs étrangers qui veulent leur part du gateau.

                  Pour toutes ces raisons, oui je suis optimiste pour l'avenir de l'Algérie. In challah.

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                  • #10
                    Même 2/3 c'est pharaonique, même les Maroc ou la Tunisie qui ont des politiques et des projets touristiques, industriels et technologiques assez avancé n'espére pas avoir ce volume d'investissement. Alors que dire d'un pays qui affirme ne pas avoir de politique industrielle et envisage comme projet de plancher sur une telle chose.

                    2/3 -> 7 milliards de $ c'est beaucoup trop pour un pays comme l'Algérie.
                    Ben justement dahlab95 tu viens precisement d'argumenter ce probable record prévu pour 2007. L'Algerie attirera plus d'IDE que ses voisins justement parce que le terrain est vierge, il y a bcp à faire sur le marché algerien. Contrairement aux 2 voisins où certains secteurs sont saturés. Aujourd'hui avec le plan de relance economique, avec une main d'oeuvre bon marché, avec du petrole et du gaz à foison... ce record est donc tout à fait realiste et atteignable. Inch'Allah.
                    Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                    "L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants." Thomas Mann
                    Cette citation me vient de mon cousin chaoui Adhrhar

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                    • #11
                      Ce sont des chiffres sur commandes pour endormir la population et faire croire que le pays va bien.
                      Madame
                      Nous parlons économie ici, pas la peine de troubler le débat, nous savons très bien que tout ne va pas bien, mais nous savons aussi que nous avançons et à grands pas, et nous savons aussi que les IDE ne sont pas une fin en eux même car jamais des IDE n'ont sorti un pays du sous développement donc restons ZEN.

                      Bref, au lieu de retourner les phrases dans tout les sens faisons le calcul, depuis le début de 2007, que chacun cherche et ramène un chiffre et on voit si ce chiffre de 15MDS$ est plausible ou pas.

                      A qui l’honneur ?
                      .


                      Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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                      • #12
                        Allez jz commence:

                        1) Mubadala Development and SNC-Lavalin chosen as the winning bidder for the 900 million$ Algeria's Hadjret Ennous IPP

                        2) Le consortium émirati Dubal Mubadala s’installe en Algérie où il construira en partenariat avec Sonatrach, un complexe industriel de production d’aluminium d’un coût total estimé à 5 MDS$ .
                        Dernière modification par azouz75, 25 juin 2007, 10h43.
                        .


                        Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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                        • #14
                          pas de doublon STP comme ça le compte sera bon à la cloture

                          3) Projet d’ammoniac d’Arzew (ouest de l’Algérie) pour la production de 1 320 000 t/an d’ammoniac et 1 072 000 tonnes d’urée en partenariat entre Sonatrach et Orascom pour un investissement de 1,5 MDS$

                          4) Projets de réalisation des usines de dessalement de Skikda, Béni Saf et Honaïne d’une capacité de 500 000 mètres cubes/jour en partenariat entre l’AEC et le consortium espagnol Geida pour un investissement de 540 millions de dollars. Projets de réalisation des usines de dessalement de 5) Cap Djinet, Mostaganem et Fouka d’une capacité de 420 000 mètres cubes/jour pour un investissement de 534 millions de dollars en partenariat respectivement avec le consortium espagnol Inima Aqualia pour les deux premières et Snc Lavalin pour la troisième.

                          6) Sidar entre 500 Millions et quelques MDS $ voir le site SIDAR dans la rubrique projets futures
                          .


                          Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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                          • #15
                            Sami gardont les pieds sur terre si l'Algérie maintient son chiffre à 3 milliards ce sera déjà bien.

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